Djarzina ou l'amour vainqueur d'...
Bône (devenue Annaba), une jolie ville de la côte algérienne, au milieu des années cinquante.
Djarzina a dix-huit ans quand elle y rencontre Michel.
Bône (devenue Annaba), une jolie ville de la côte algérienne, au milieu des années cinquante.
Djarzina a dix-huit ans quand elle y rencontre Michel.
Le banquet des châtaignes a-t-il eu lieu ? Le soir du dernier jour d’octobre 1501 Cesare Borgia aurait organisé un banquet dans ses appartements du Vatican avec une cinquantaine « d’honnêtes prostituées », appelées courtisanes.
Le tome 1 de la série « Pierrefeu-du-Var et ses alentours d’hier à aujourd’hui » est un ouvrage référent, les deux autres volumes permettront d’entrer davantage dans le détail. En effet l’auteur a réalisé un travail de recherches considérable pour mettre sur pied cette saga.
Que feriez-vous si brusquement vous réalisiez la fragilité de la vie ? Si le hasard ou la fatalité, qui sait, enrayait d’un grain de sable les rouages bien huilés de votre quotidien ?
Qui est ce soldat à demi-mort que récupère le docteur Montana aux abords de sa clinique ? Quelles sont ces étranges blessures ? Pourquoi ce blessé est-il kidnappé dès le lendemain par de mystérieux fonctionnaires qui effacent toutes ses traces ? Les indices comme les témoins disparaissent les uns après les autres…
A la demande de mes petits-fils et de ceux de Bernadette, ma compagne, j’ai fait appel à mes souvenirs. En effet, je les ai écrits pour nos descendants.
Cet ouvrage vérité, gorgé de témoignages et de photos d’époque, nous replonge dans la vie quotidienne à Al-Djazaïr avant 1830 et à Alger de 1830 à 1962.
Que du vécu. Tout commence dans La Mancha. Antonia est une enfant de la guerre civile. Dolorès, sa fille, naît avec les Trente Glorieuses.
Dans cet essai, Jean-Michel Barra, en neuf jours d’écriture ( !) entre deux romans, a osé nous dresser crûment le tableau de la vie qui nous entoure. Avec cette petite touche d’exagération qui est sa signature ! Finement con…
Déborah Le Meur infirmière en néonatalogie a eu envie d’écrire cette petite histoire du soir, légère, afin de permettre aux frères et sœurs du nouveau-né sur le point d’arriver d’exprimer leurs émotions et de renforcer le dialogue avec leurs parents.
C'est alors que le mauvais génie décida que le mauvais sang accompagnerait chaque journée. Ma mère parlait toujours sous la protection de la sacro-sainte main de Fatma afin de prémunir les siens de malchance ou de fatalité. Il faut croire que cela ne suffisait pas. En ouvrant son magasin de la rue Bab Azoun, mon père nous faussa compagnie pour s'en aller errer au firmament des paradis célestes. Une crise cardiaque l'emporta avant qu'il ait pu dire adieu à son épouse, à son fils et à ses belles-sœurs.
Benoît Mangin, quarante-huit ans, professeur agrégé des classes préparatoires aux grandes écoles, une charmante épouse, deux enfants, mène une existence agréable, bien réglée et paisible de notable, entre sa vie professionnelle, sa famille et ses actes militants dans diverses associations jusqu’à ce samedi après-midi où tout dérape.