1962 UN ALLER SIMPLE de Judith MEYER
Pour quelle raison demander aux amis du Ruisseau de la ville d’Alger, de se souvenir, de leur passage de l’Algérie, à la France ? N’ont-ils pas essuyé suffisamment de larmes pour les solliciter à nouveau ?
Pour quelle raison demander aux amis du Ruisseau de la ville d’Alger, de se souvenir, de leur passage de l’Algérie, à la France ? N’ont-ils pas essuyé suffisamment de larmes pour les solliciter à nouveau ?
Françoise est conseillère dans une banque, à Paris. Elle court tout le temps : travail, métro, famille.
Douce et arrangeante, elle accepte beaucoup de compromis afin de satisfaire un entourage exigeant et chronophage. Elle devra dépasser un burnout pour réaliser qu’elle peut se relever, prendre sa vie en main et trouver le chemin du bonheur.
Anciens militants ouvriers sexagénaires, dépités par une société délétère qu’ils subissent impuissants, ils vont se retrouver « embarqués » malgré eux dans une enquête policière aux tournures inattendues. Jean, le rouge, nostalgique d’une époque révolue, du moins dans ses formes, va renouer avec celle d’aujourd’hui. Au bord de cette méditerranée bien présente tout au long de ce roman, il va retrouver un sens à son existence auprès de ses ami(es) et de la jeunesse qu’il va rencontrer sur les ronds-points pavoisés de Jaune. Une aventure humaine dense et trépidante, nourrie de chaleur humaine, de solidarité et d’amour.
Au bout de dix ans de bons et loyaux services, le commissaire Renda décide de quitter la police officielle pour pour mener des enquêtes privées. Dans une Sicile mystérieuse et contrastée, Renda doit résoudre plusieurs intrigues : la disparition d’un vieillard à Erice, celle d’un chat à Porto Empedocle, l’apparition d’un enfant au sanctuaire de Gibilmanna, la chronique d’une mort annoncée à Cefalù, le vol de tableaux dans des églises de Palerme, l’empoisonnement d’un homme à San vito lo capo, une tentative de meurtre à la gare de Termini Imerese et un étrange Père Noël près d’Agrigente. Ces huit nouvelles sont huit clins d’œil, huit sourires à Andréa Camilleri, originaire comme l’auteur de ce recueil, de Porto Empedocle.
Muté à Toulon, Archibald s'ennuie professionnellement, mais voit sa fille s'épanouir dans sa nouvelle vie.
Le meurtre qui lui est confié relance son appétit judiciaire.
Un Parisien, chauffeur de maître recruté par un châtelain berrichon, se retrouve dans un hameau et découvre un univers dont il ignore tout.
La Vallée Noire, pays de George Sand, est une région de bocages où le modernisme côtoie des croyances surprenantes et des pratiques ancestrales perpétuées par les « rebouteux » et les « panseux ».
Roland a trente ans. Depuis cinq ans déjà, son corps se déglingue. Les maux les plus divers se multiplient et se conjuguent à l’unisson. La souffrance physique et mentale devient son quotidien. Il vit l’enfer dans ses relations sociales et amoureuses. Il ne ressent plus rien, même dans ses relations sexuelles.
Cet ouvrage écrit à quatre mains par Eric Hossan et Thierry Vieille, concocte tous les genres avec une originalité qui est le secret des auteurs. Toutes proportions gardées, vous vous retrouvez au sein d'une vaste comédie humaine comme Balzac ou Molière auraient pu l'écrire s'ils avaient vécu à notre époque.
En octobre 1860, George Sand (1804 – 1876) tombe gravement malade. Après s’être rétablie de la fièvre typhoïde, la plus célèbre des femmes de Lettres du XIX° siècle décide de quitter son cher Nohant dans le Berry pour s’établir quelques semaines au bord de la Méditerranée, plus précisément à Tamaris dans le Var.
Si l’on voulait accorder quelque crédit à la mythologie grecque, on pourrait penser que l’ombre de Gaïa plane sur l’époque que nous traversons. La déesse de la Terre serait courroucée qu’elle ne s’y prendrait pas autrement.
Nous approchons des huit milliards d’êtres humains sur la planète Terre. Entre microcosme et macrocosme, se trouve l’Êtreté. Qui sommes-nous ? Que faisons-nous dans cet Univers méconnu ?
Véritable trait d’union entre Mésodôme et sa suite, 714 pour Rio est un recueil de nouvelles dans lequel l’auteur se fait avant tout plaisir. Les références littéraires sont nombreuses, et c’est un réel hommage à Ernest Hemingway.