De la Grand'rue à l'impasse de Jean-Claude BELTRAMO
Référence: L1441
17,00 €
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Après un premier livre, Laissez-vous-en conter sans compter, dans lequel on découvrait toutes les facettes de son humour, le Commissaire Divisionnaire marseillais Jean Claude Beltramo nous invite, cette fois, à suivre l’itinéraire marginal d’une jeune ado, dans le Marseille des années 70, où rien ne lui sera épargné.
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Après un premier livre, Laissez-vous-en conter sans compter, dans lequel on découvrait toutes les facettes de son humour, le Commissaire Divisionnaire marseillais Jean Claude Beltramo nous invite, cette fois, à suivre l’itinéraire marginal d’une jeune ado, dans le Marseille des années 70, où rien ne lui sera épargné.
Jean Claude Beltramo qui eut à connaître nombre d’affaires qui défrayèrent la chronique des années 70 et 80, notamment avec le juge Michel, se consacre aujourd’hui à sa passion, l’écriture.
Marseille 2013, Capitale Européenne de la Culture… Cliché ô combien éblouissant ! Mais au-delà de celui-ci, demeure malheureusement une réalité douloureuse et plus sombre : celle d’une ville à l’image écornée par de nombreux faits divers sanglants, qui défraient trop souvent la chronique.
Comment, à partir d’une superbe fresque d’une modeste église, Mathieu Isnard, dit «Abeille», va-t-il surgir du XIIème siècle ? À quelles aventures participera-t-il en ce Moyen Âge flamboyant où s’érigent les magnifiques églises romanes du pays brionnais dépendant d’Autun ?
C’est à une véritable énigme que sera confronté un paisible apiculteur de l’Allier dans les années cinquante. Ses recherches l’amèneront sur les pas de Mathieu, allant de surprises en découvertes étonnantes. Sa quête archéologique, mêlée à sa vie campagnarde, lui permettra de remonter le temps…
Dolorès, Mère Courage exemplaire, traverse le XXe siècle, subit trois guerres, doit quitter son pays natal et son pays d’adoption et faire face aux drames familiaux qui jalonnent sa vie. Elle connaît le bonheur avec son mari, ses enfants et petits-enfants, et de nombreux malheurs qu’elle affronte tête haute, en assumant jusqu’à son dernier souffle son si prémonitoire prénom : « Dolorès » (douleurs).
Je fis la connaissance de Loan à Central Park par ces mots, lors de mon voyage à New York, pendant que je m’efforçais de commander une glace italienne auprès du vendeur du kiosque. Après avoir vite sympathisé et nous être assis sur un banc, il m’a raconté l’histoire extraordinaire de deux âmes sœurs, Salomé et Philippe.
Faisant office de jardinier aux fins d’approcher Elen, Nil, le magicien, est furieux que la fillette ait utilisé ses dons pour les êtres humains. Ils doivent lui servir à préparer l’avènement des siens (voir tome V : Le monde du miroir) et non sauver les hommes. Elle est l’enfant miracle qu’ils attendent (voir tome IV : L’enfant miracle). Entreprenant alors de l’éduquer selon les préceptes des Elfes, ce qu’il découvre va le laisser perplexe. L’étendue des pouvoirs d’Elen remet en question sa paternité. Et puis, il y a ce commissaire : Guillaume Delisle dont Nil ignore totalement le changement de nom. Pour lui, il est assurément l’oncle d’Elen.
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
Depuis trente ans déjà, Bénédicte porte en elle un grand secret. À la suite de l’agression de sa fille Manoro, elle se voit obligée de dévoiler ce qui l’oppresse depuis longtemps. Cet aveu foudroyant menace de détruire à jamais la relation quasi fusionnelle entre la mère et la fille. Le destin leur permettra-t-il de se retrouver ?
Cette saga romancée se veut un hommage au courage, à la ténacité, à l’abnégation et à la solidarité de tous les émigrés « allemands » (de Rhénanie, Palatinat, Bade-Wurtemberg et Bavière). Ils durent quitter leurs pays au XIXe siècle pour de multiples raisons (politiques, économiques et démographiques) qui les menèrent jusqu’en Algérie pour nombre d’entre eux. Ils affrontèrent les pires souffrances (conditions de voyage déplorables, installation difficile dans un environnement hostile, épidémies nombreuses…) pour contribuer à la mise en valeur de l’Algérie et en faire une seconde patrie qu’ils aimèrent et servirent jusqu’à leur dernier souffle.
Un an après le drame et la mort de Vincent, Thérèse est allée vivre chez son fils et ses deux petites-filles. Malgré son immense chagrin, la famille Novelli petit à petit panse ses plaies. Toutefois la quiétude est de courte durée. Le sort s’acharne mais le « clan » reste soudé. Quand le passé ressurgit et bouleverse l’avenir, alors toutes certitudes s’effacent. Amour, jalousie, politique, vengeance, sont les maîtres mots d’un ouvrage haletant. Ainsi, page après page, les rebondissements s’enchaînent à un tel rythme que les différents protagonistes n’ont guère de répit jusqu’au dénouement.
La Vienne d’après-guerre vue par un jeune interne en psychiatrie débarquant de sa province niçoise. Parti à la recherche d’un mystérieux docteur, notre héros découvrira, à défaut d’un génie de la médecine, un autre monde. Cette parenthèse l’amènera à se remettre en question et ébranlera bien des certitudes.
Clotilde avait vu ses étrangetés d’humeur et leurs profondes différences ; mais le mariage était organisé dans son esprit et elle était prête à accepter les imprévus qu’elle devrait affronter avec lui ; et puis, ils ne s’enliseraient pas dans la monotonie de la routine conjugale, car ils avaient en commun le tempérament de ceux, qui ne trouvant pas de satisfactions dans une vie banale, se dispensaient dans des efforts exigeants pour atteindre les vertigineuses hauteurs de la création artistique. Mais ne s’était-elle pas égarée dans le mirage de ses chimères en les cristallisant sur cet homme concentré sur son univers musical, qui n’éprouvait pas vraiment le désir de se marier ?
Après un premier livre, Laissez-vous-en conter sans compter, dans lequel on découvrait toutes les facettes de son humour, le Commissaire Divisionnaire marseillais Jean Claude Beltramo nous invite, cette fois, à suivre l’itinéraire marginal d’une jeune ado, dans le Marseille des années 70, où rien ne lui sera épargné.