Venise : la ville d’art par excellence ! Comment s’étonner que tant de richesses accumulées au cours des siècles, dans les palais de cette ville, puissent donne des idées… La découverte de faux tableaux, de parfaite facture, va susciter l’émoi dans es milieux aristocratiques et feutrés de la ville. Mais Venise c’est aussi les brumes humides de novembre, l’odeur entêtante de ses canaux endormis et de l’Acqua Alta. Qui est l’assassin qui sévit sur ses quais à la tombée de la nuit ? Qui donc se cache derrière un masque lors d’un bal costumé, version Casanova, donné dans un palais, pour mieux tuer ?
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Venise : la ville d’art par excellence ! Comment s’étonner que tant de richesses accumulées au cours des siècles, dans les palais de cette ville, puissent donne des idées… La découverte de faux tableaux, de parfaite facture, va susciter l’émoi dans es milieux aristocratiques et feutrés de la ville. Mais Venise c’est aussi les brumes humides de novembre, l’odeur entêtante de ses canaux endormis et de l’Acqua Alta. Qui est l’assassin qui sévit sur ses quais à la tombée de la nuit ? Qui donc se cache derrière un masque lors d’un bal costumé, version Casanova, donné dans un palais, pour mieux tuer ?
Les Blondières s’étalent sous la caresse du soleil printanier, frissonnent sous la griffe des frimas d’hiver et s’étirent langoureusement sous le souffle déjà chaud du printemps.
L’Ambroisie transportée par un triste sire nommé Maskilili venu de Guyane va semer ici, en ce lieu bucolique le désarroi.
Les Lorettoises et les Lorettois soutenus par les fées Herbina et Fertila seront-ils assez forts pour se libérer à la fois de cette ambroisie et de Maskilili ?
Le courant de solidarité et le courage de tous vont démontrer que l’Impossible est parfois possible… surtout au pays des fées…
Mais la réponse attendue est donnée à la fin de ce conte.
Deux mondes qui s’affrontent : la sagesse de la vieillesse d’un côté et la fougue d’une jeunesse à la supériorité orgueilleuse de l’artificiel et du virtuel de l’autre. Une rencontre qui ne semblait point promise à des lendemains. Pourtant, Jean-Michel Barra réussit à dépeindre une amitié, née entre ces deux générations si différentes, que nul n’aurait pu entrevoir sur le chemin accidenté du mieux vivre ensemble…
Grégoire a eu un coup de foudre extraordinaire pour Yann... Il l'a dans la peau ! Il n'aura de cesse de la (re)conquérir. Cheminons avec eux tout au long de leur vie, parsemée d'épisodes à rebondissements parfois tumultueux, parfois tragicomiques. Il y aura deux issues différentes à leur histoire, au choix du lecteur. Laquelle sera vraie... ou pas ? Qu'importe, ce sera une belle histoire d'amour – porteuse d’espoir et de résilience – qui fera longtemps écho en chacun nous.
Dans ce deuxième tome de La vie est un éclat de rire, les lecteurs retrouveront de nombreux personnages au tempérament bien particulier et à l’humour caustique.
Ensemble, nous traverserons les trente premières années du XXe siècle dans l’Italie aux prises avec les luttes sociales et le premier conflit mondial.
Puis viendra la montée du fascisme et la prise du pouvoir par Benito Mussolini, le Duce de sinistre mémoire.
Un récit qui tient en haleine où, là encore, l’anecdote rejoint parfois la légende.
« C’étaient de belles mains. Larges, charnues, avec des ongles carrés parfaitement dessinés ; l’empan s’étalait sur le papier blanc comme une occupation, une prise de territoire flagrante. L’image lui plut. Les veines dessinaient sous la peau le réseau saillant de leurs parcours, mais Clément ne retrouvait pas dans sa mémoire la topographie des siennes et accepta aussitôt celles-ci ; le grain de peau et l’implantation des poils, tout comme leur couleur lui convinrent...
Je n’avais jamais imaginé qu’un jour me viendrait l’idée de vous raconter tout ce qui va suivre. Aussi, je vous demande de vous armer de patience puis d’indulgence car l’histoire que je vous propose n’est pas une vie de saint homme, vous le constaterez… Notamment pendant la 2e guerre mondiale. Cependant, vous n’y trouverez nulle trace de forfaiture ou de malhonnêteté : au soir de ma vie, j’en retire une extrême satisfaction.
« C’est décidé je monte à Paris ! » s’était dit Paulin après avoir vu dans une galerie, les peintures de Marius Granet. Cette pensée ne le quittait plus, même dans l’atelier de menuiserie où son père l’avait placé à l’âge de 14 ans pour un travail d’ébénisterie. C’est ainsi qu’un jour il quitte sa famille et son quartier de la rue Saint-Paul à Hyères, pour rejoindre la capitale. L’arrivée à Paris est un choc. Il loge dans un immeuble misérable de la rue Saint-Marcel à deux pas de la rue où il travaille, quartier Saint-Antoine. Chaque soir après sa journée de labeur, Paulin se rend au Louvre, il y rencontre Topino-Lebrun, peintre révolutionnaire marseillais qui le présente au maître David. Tous deux l’encouragent à s’inscrire à l’école des Beaux-Arts.
Écrire pour exister aux yeux des autres. Lui qui avait toujours connu le succès. Lui qui était celui que l’on recherchait, que l’on écoutait, qui était brillant, qui plaisait aux femmes. Lui qui avait été, dans sa jeunesse, celui que l’on désirait dans son équipe de football, que l’on recherchait pour une belote ou simplement que l’on souhaitait pour ami, il était relégué au rang de pestiféré.
La maladie d’Alzheimer est l’un des fléaux de notre société car elle touche de plus en plus de personnes. D’autant qu’il n’y a toujours aucun traitement fiable pour l’endiguer. « Un moment d’existence » traite du rapport que va entretenir bien malgré elle l’héroïne du roman, Lucie, avec la Maladie d’Alzheimer. En effet très vite ses proches sont touchés et c’est sa vie personnelle qui vacille. Un aspect souvent éludé, celui des victimes collatérales, que l’auteur Béatrice Aubert évoque avec pudeur mais de manière réelle et concrète. Quand le stress pour autrui devient de plus en plus omniprésent. Mais Lucie n’est pas au bout de ses peines….
Nos auteurs, soucieux de s’écarter d’une tendance actuelle, celle orientée vers des récits où le crime le dispute à la perversion, ont, à contre-courant du genre apprécié par certains, pris le parti de l’émotion, de l’amour, de l’amitié et de l’aventure humaine. L’histoire fictionnelle qu’ils proposent à travers cet ouvrage pourrait être la leur, la vôtre, la nôtre.
René Caplan renoue avec le profil psychologique de ses personnages et le suspens haletant de ses missions de police secours. Les histoires s’enchaînent. Une affaire de maltraitance sur mineur avec une mère désespérée mais… soupçonnée ! Un père prêt à tout pour obtenir la garde de ses enfants. Des violences conjugales qui aboutissent à une vendetta entre deux clans rivaux. Les règlements de comptes se succèdent. Les hommes de la nuit veillent.