Les navigations des « Illusionnistes » et des « Passeurs de vie » débouchent sur la peinture à fresque des « Chemineaux de la sauvegarde » traçant leur route à la suite des chemineaux de la révolte qui surent, Partisans italiens et Républicains espagnols, s’unir aux Maquisards provençaux ou corses en quête de Liberté. Très inquiet pour le devenir des langues française et occitane, Alain Andréoli érige le rempart de la culture.
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Les navigations des « Illusionnistes » et des « Passeurs de vie » débouchent sur la peinture à fresque des « Chemineaux de la sauvegarde » traçant leur route à la suite des chemineaux de la révolte qui surent, Partisans italiens et Républicains espagnols, s’unir aux Maquisards provençaux ou corses en quête de Liberté. Très inquiet pour le devenir des langues française et occitane, Alain Andréoli érige le rempart de la culture.
Après Les Illusionnistes, Les Passeurs de Vie et Les Chemineaux de la Sauvegarde, l’auteur s’attache à une période oubliée, le Coup d’État du 2 décembre 1851
À la demande de ses quatre petits-fils, un grand-père se voit contraint de rechercher ce qui s'est passé dans son village pendant la Seconde Guerre mondiale. Ils découvrent ensemble l'invasion, la fuite devant les troupes allemandes, le chaos, la vie quotidienne durant l'occupation, la résistance, la collaboration, la libération, l'épuration…
Le goût de l’aventure, la volonté de rompre avec la monotonie de sa vie, poussent un jeune Maltais à quitter son île en 1846. A bord d’une goélette anglaise une histoire d’amour se noue, mais il devra être débarqué à Djidjelli avec sa compagne.
Marseille 2013, Capitale Européenne de la Culture… Cliché ô combien éblouissant ! Mais au-delà de celui-ci, demeure malheureusement une réalité douloureuse et plus sombre : celle d’une ville à l’image écornée par de nombreux faits divers sanglants, qui défraient trop souvent la chronique.
Ce roman est librement inspiré de faits réels, la tuerie du Bar du Téléphone, perpétrée à Marseille, le 3 octobre 1978 et jamais élucidée. Plus de trente ans après, l’ancien commissaire de la PJ, Xavier Donatello qui a eu à la suivre au début de sa carrière, a décidé de révéler le nom des tueurs dans le livre qu’il s’apprête à publier. Toutefois, son projet ne rencontre que désapprobations, mises en garde, intimidations, menaces et bien plus encore. Il est clair que dans certains milieux, personne n’a envie de voir cette vieille histoire refaire surface.
Après Initiation à l’amour, j’ai écrit ce petit livret, disons que j’ai de nouveau osé. Par ce récit, j’ai suivi les traces de mon père Eric Losfeld qui a aussi écrit des livres érotiques sous le nom de Dellfos après avoir édité de nombreux ouvrages dont Barbarella et Emmanuelle.
Qui est ce soldat à demi-mort que récupère le docteur Montana aux abords de sa clinique ? Quelles sont ces étranges blessures ? Pourquoi ce blessé est-il kidnappé dès le lendemain par de mystérieux fonctionnaires qui effacent toutes ses traces ? Les indices comme les témoins disparaissent les uns après les autres…
Dans cet ouvrage, Jean-Michel Barra nous livre pêle-mêle un inventaire, formulé en un abécédaire particulier, ses réflexions sur le temps qui passe ou sur les sujets d’une actualité de plus en plus brûlante et affolante.
Aujourd’hui nous savons que nous ne sommes pas à l’abri d’un chamboulement terrestre et que dans l’avenir, un simple fait peut devenir une catastrophe.
En réunissant les Palladions, Diane et Matthias espéraient fermer définitivement le dernier passage d’entre les mondes. Pour une raison inconnue, les Enfants-libres en ont décidé autrement. L’Aube rouge n’a pas empêché l’Obscurité de se libérer de sa toile de lumière. Resserrant son étau, avide d’envahir notre monde, elle prépare ses forces.
Été 1912, toute la tribu Sénéchal se retrouve réunie à Saint-Cyr les Lecques, pour les grandes vacances. Anaïs, belle, effrontée, venant tout juste de fêter ses dix-huit ans, déborde d’énergie et de projets. Rires et jeux tapageurs animent la bande de cousins, quand soudain la vie d’Anaïs bascule, lorsqu’elle rencontre Jacques, aviateur et fiancé à sa cousine Sophie. Dès leur rencontre, l’attirance qu’éprouvent les deux jeunes gens l’un pour l’autre est si forte, que Anaïs se retrouve cruellement partagée entre l’amour pour son bien-aimé, et sa loyauté envers sa chère cousine ! Elle tente alors d’oublier Jacques, mais en aura-t-elle vraiment le courage ?
Une belle histoire sentimentale et des personnages attachants dans une peinture sans fard de ce vingtième siècle finissant. Janine n’a pas encore quatorze ans lorsqu’elle rencontre Jacques, dix-huit ans, au cours d’un mariage en cet été 1960 qui annonce de grands bouleversements en France et dans le monde.
De nos plus lointaines origines jusqu’à un avenir plus rassurant. Tel pourrait être le parcours de ce spermatozoïde dont le docteur Jean-Pierre Simoni nous livre ici l’atypique autobiographie. Le lecteur est ainsi convié à un périple touristique à l’intérieur de cette cellule de cinq millièmes de millimètre sans laquelle personne n’existerait… Un sacré paradoxe au moment où la préservation de l’avenir de l’humanité est en jeu compte tenu de la pandémie liée à la covid-19. En effet, les recherches généalogiques en paternité par l’étude des ADN, la fertilité, les anomalies génétiques transmissibles, l’apparition des PMA et GPA, dépendent de la survivance des spermatozoïdes. C’est ainsi qu’à chaque paragraphe, l’infiniment petit rayonne immensément.
Les navigations des « Illusionnistes » et des « Passeurs de vie » débouchent sur la peinture à fresque des « Chemineaux de la sauvegarde » traçant leur route à la suite des chemineaux de la révolte qui surent, Partisans italiens et Républicains espagnols, s’unir aux Maquisards provençaux ou corses en quête de Liberté. Très inquiet pour le devenir des langues française et occitane, Alain Andréoli érige le rempart de la culture.