Mémoires des Chantiers Navals de La Seyne-sur-Mer : Les tuyauteurs de René Giovannangeli - Marcel Connan
Référence: L1546
35,00 €
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Ce recueil est un hommage à des travailleurs qui firent les Chantiers et la tuyauterie en particulier. Les initiateurs du projet ont choisi de mettre en « mémoire » tous ceux qui ont individuellement concouru au développement et à la défense de leurs outils de travail avec intelligence et pugnacité. Ils ont mis toutes leurs forces et tous leur savoir à sauvegarder une entreprise fleuron de l’industrie française. Dans ces pages, il y a cinquante ans d’histoire quotidienne dans toutes ses formes. Travail, social, syndical et politique, qui ont façonné un esprit si particulier de la tuyauterie, au point de devenir un atelier emblématique du Chantier. Trois thèmes sont développés dans cet ouvrage.
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Ce recueil est un hommage à des travailleurs qui firent les Chantiers et la tuyauterie en particulier. Les initiateurs du projet ont choisi de mettre en « mémoire » tous ceux qui ont individuellement concouru au développement et à la défense de leurs outils de travail avec intelligence et pugnacité. Ils ont mis toutes leurs forces et tous leur savoir à sauvegarder une entreprise fleuron de l’industrie française. Dans ces pages, il y a cinquante ans d’histoire quotidienne dans toutes ses formes. Travail, social, syndical et politique, qui ont façonné un esprit si particulier de la tuyauterie, au point de devenir un atelier emblématique du Chantier. Trois thèmes sont développés dans cet ouvrage. Celui sur le métier, son origine, ses transformations, ses prouesses techniques, aux antipodes de la propagande patronale sur les « bras cassés ». Le deuxième est composé de témoignages personnels. Un parcours professionnel et une vie sociale liée à un comité d’entreprise efficace et conquérant. Les tuyauteurs font le point avec justesse et modestie. Le troisième est consacré aux retrouvailles annuelles du repas de la « corpo » qui a 26 ans cette année, le premier ayant eu lieu en 1987, il fallait rester en contact avec les licenciés.
Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.
Puisse ce modeste livre témoigner de la passion et de l’amour que les élèves de la classe de CE2, CM1 et CM2 de l’école Robert Moretti du Poizat éprouvent pour ce plateau de Retord, à l’instar de Delphine Arène, écrivain, enfant du Haut-Bugey. Ceux qu’attire le champ de neige merveilleux du plateau devineront l’âme farouche et sensible qui a dicté l’écriture de cet ouvrage et qui rôde toujours, vivante, dans ces combes. En toile de fond, la nouvelle commune Le Poizat-Lalleyriat constitue ce nouveau joyau pour le Retord et tisse son avenir par un élan nouveau sous le sourire satisfait de Denis Goiffon.
Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.
Un magnifique couple, sept ans de mariage, cinq FIV et le bonheur total à votre naissance, Alexia et Gary. Une violente bagarre conjugale quelques semaines plus tard qui ressemble davantage à un guet-apens et te voilà, mon fils, Peter, privé de tout du jour au lendemain. Ton épouse enchaînant avec des accusations immondes qu’elles sont des milliers de femmes à utiliser pour priver les pères de leurs droits… Surfant sur la vague « femmes battues » et MeToo, tous l’ont crue sans mettre en doute ses qualités de « mère d’exception » !
Le présent récit, qu’il qualifie d’imaginaire, illustre le talent d’écrivain de Robert Landi. Il y unit harmonieusement dans une composition très singulière, les caractères fondamentaux de la tragédie classique à ceux du drame romantique. La fatalité y dirige les destinées. Implacable, inexorable, elle conduit au sort funeste. Ce récit est-il complètement imaginaire ? Oui, dans sa mise en scène, mais à travers ses personnages, c’est l’auteur qui raconte certaines de ses expériences ou qui narre avec brio ses réflexions ou pensées sur la vie. Sa richesse de langage ne pourrait s’exprimer avec autant de justesse et de bonheur sans un ressenti profondément personnel et sincère. «Ainsi passe le temps» est un récit original, un texte émouvant que le lecteur saura apprécier.
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
Marcel, personnage de cette saga… sa vie. Son enfance. Les retrouvailles venues d’un pays lointain. Son premier amour… le bonheur, l’envoûtement, l’angoisse… la peur ! Le calme après la tempête ! La découverte des U.S.A., du Pays de Galles, de l’Île de Ténérife. Le travail, la persévérance, les récompenses. Les femmes de sa vie… Moon, J-J, Bunny, Babylove… et Marline aussi ! Et les échecs bien sûr ! Marcel, ses petits animaux, de bons amis…
Marquee Club à Londres, Golf Drouot à Paris, Star Club à Hambourg et Twenty Club à Mouscron ! Le Twenty, ancien dancing du Relais de la Poste, devient ce lieu mythique des sixties grâce à Jean Vanloo. Après Gene Vincent, il fait venir Animals, Small Faces, Kinks, Moody Blues, The Jimi Hendrix Experience, Yardbirds avec Jimmy Page...
Dans cet ouvrage la thérapeute Christine Toulemonde évoque ses années d’enfance, de jeunesse, tous ses souvenirs heureux et douloureux. Ses témoignages émouvants, son existence atypique et riche en péripéties ne peuvent nous laisser indifférents.
En 2021, Alban Mauzac réalise son rêve grâce à l’Expédition Pelagos : il devient éco-aventurier. Il parcourt des centaines de kilomètres en kayak sur le sanctuaire Pelagos en Méditerranée, organise des ramassages de déchets avec les associations de la région et témoigne des dégâts causés par la pollution plastique en simultané sur les réseaux sociaux. Dans ce « journal de voyage », il dévoile la beauté fragile de la nature en photos et explique le pourquoi et le comment de nos pollutions humaines tout en proposant des alternatives accessibles à tout un chacun.
Cet ouvrage vérité, gorgé de témoignages et de photos d’époque, nous replonge dans la vie quotidienne à Al-Djazaïr avant 1830 et à Alger de 1830 à 1962.
Mon rêve de devenir maman m’a poussée à adopter. En effet je savais dorénavant que je ne porterais jamais mon enfant dans mon ventre ; en revanche je le porterais dans mon cœur. Ce long combat, je l’ai mené seule en tant que célibataire. Il faut savoir que pour adopter, un agrément est nécessaire et obligatoire. Une fois ce sésame obtenu, j’ai su que mon enfant arriverait d’Haïti. Une petite fille de trois ans et demi, au joli prénom d’Angeline m’attendait. Ce furent des photos échangées, des appels téléphoniques… jusqu’au jour où l’impensable se produisit…le 12 Janvier 2010, ce terrible séisme. Angeline est une petite fille miraculée. Elle est restée sous les décombres pendant quatre longues journées et quatre longues nuits et a dû, à sa « sortie », être amputée d’une partie d’elle-même.