IL ÉTAIT NETTOYEUR DE TRANCHÉES EN 1917 de Claude SECONDI
Référence: L1807
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C’était le 23 octobre 1917, un début de soirée d’automne, Ferdinand n’avait pas encore 20 ans, il venait d’obtenir son baccalauréat. Affecté sur le front ouest, il exécutait dans des conditions difficiles les ordres reçus, alors qu’une montée à l’assaut se préparait après le passage de la première vague... Il perçut le sinistre sifflement de l’obus et une puissante déflagration… touché à la tête par un éclat, il gît dans le sang et dans la boue. Ferdinand Angousture était un Nettoyeur de Tranchées, mais ce n’était ni un " zigouilleur " ni un " tueur ". Il était un jeune Poilu engagé dans le conflit, pour participer à la libération de la France. La personnalité de ces soldats n’a jamais été bien définie.
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C’était le 23 octobre 1917, un début de soirée d’automne, Ferdinand n’avait pas encore 20 ans, il venait d’obtenir son baccalauréat. Affecté sur le front ouest, il exécutait dans des conditions difficiles les ordres reçus, alors qu’une montée à l’assaut se préparait après le passage de la première vague... Il perçut le sinistre sifflement de l’obus et une puissante déflagration… touché à la tête par un éclat, il gît dans le sang et dans la boue. Ferdinand Angousture était un Nettoyeur de Tranchées, mais ce n’était ni un " zigouilleur " ni un " tueur ". Il était un jeune Poilu engagé dans le conflit, pour participer à la libération de la France. La personnalité de ces soldats n’a jamais été bien définie. Qui étaient-ils ? Quel était leur rôle ? Remettre à l’honneur ces combattants de l’extrême qui, sous les déluges mortels de feu et de plomb, préparaient la victoire attendue, reste la modeste ambition de ce récit.
Ayant eu la chance de vivre vingt années passionnantes en Afrique, l'auteur a voulu au travers de cet ouvrage faire revivre quelques épisodes drôles, cocasses ou plus dramatiques qui ont marqué ses séjours dans cinq pays différents entre 1984 et 2014. Mais aussi faire partager sa passion pour un continent que peu d’Européens connaissent et apprécient, la plupart d'entre eux ayant une vision déformée par les médias ou le discours ambiant. Observateur attentif d'un monde africain en pleine évolution, il a au travers de ses récits fait revivre une galerie de portraits hauts en couleurs de personnages caractéristiques de cette époque.
André TRIVES, enfant de Bab el Oued et fils du « Berger de Mostaganem », écrit pour retrouver la parole perdue. Une manière de rendre hommage aux modestes aïeux que l'histoire a humiliés par le mépris, la caricature et l'oubli. La force évocatrice de son style ne peut laisser indifférent. Ce livre raconte le retour de l’auteur à Bab el Oued, 54 ans après. Il était important pour lui de rappeler la vie en Algérie avant l’arrivée de la France en 1830 et telle qu’il l’a vécue jusqu’à l’Indépendance. L'auteur apporte des réponses aux interrogations des enfants de Pieds-Noirs ; ils n'ont plus à rougir du passé de leurs parents. « Bab el Oued pour la vie » n'est pas un livre comme les autres ; c'est un réel cri du cœur, bouleversant de vérité.
En définitive, nous, les adultes, sommes des puzzles. Tous les jours ou presque, nous ajoutons des pièces comme un souvenir, une rencontre, une émotion, mais ce sont les morceaux liés à l’enfance qui donnent véritablement de la couleur au tableau final.
Récemment, lors d’une succession, l’auteur mit la main sur une mallette en carton qui semblait dormir depuis les années soixante. Il y trouva un important dossier avec des textes écrits en français, d’autres écrits en russe et en allemand et deux albums de photos en noir et blanc d’hommes en uniforme militaire et de dames sous chapeau cloche. Le tout, sans classement, pouvait paraître banal… En vérité, c’était un important dossier concernant une famille juive qui, échappant aux pogroms de Russie de 1904, s’était réfugiée à Paris où elle fit souche. Son histoire contemporaine commence en Dordogne, lors des congés payés de l’été 1939. Puis, ce fut la guerre et l’extermination d’une partie de cette famille, comme celle de milliers d’autres à Auschwitz.
En 2021, Alban Mauzac réalise son rêve grâce à l’Expédition Pelagos : il devient éco-aventurier. Il parcourt des centaines de kilomètres en kayak sur le sanctuaire Pelagos en Méditerranée, organise des ramassages de déchets avec les associations de la région et témoigne des dégâts causés par la pollution plastique en simultané sur les réseaux sociaux. Dans ce « journal de voyage », il dévoile la beauté fragile de la nature en photos et explique le pourquoi et le comment de nos pollutions humaines tout en proposant des alternatives accessibles à tout un chacun.
Quoi de plus fascinant et captivant qu’une histoire vécue ? Qui plus est, de celles qui n’arrivent pas qu’aux autres. C’est bien le cas dans cet ouvrage, où l’authenticité vous interpelle page après page.
Un récit qui s’affranchit volontairement des us et coutumes en traitant d’un sujet trop souvent éludé : celui des victimes collatérales… Libres, mais comme « emprisonnées dehors ». Un récit poignant de vérité et touchant de sincérité.
André Suarès a écrit : « Le voyageur est encore ce qui importe le plus dans un voyage ». Les présents carnets de voyage s'inscrivent dans la ligne de cette citation extraite du Voyage du condottiere. Le but de cet ouvrage est de faire mieux connaître cette catégorie particulière des gens de mer que sont les marins d'État. Un certain nombre d'anecdotes sont là pour aérer le propos et bien montrer qu'il ne s'agit pas d'un guide touristique, mais d'un hommage rendu en toute indépendance à cette belle institution.
Je t’aime, ma chérie… Ces simples mots, je les ai attendus toute ma vie, mais jamais ils ne sont venus. Les seules paroles que ma mère était capable de prononcer à mon égard n’étaient que sentences critiques : – Tu es chétive, tu ne feras jamais rien de bon, tu es inutile. Ainsi, peu à peu, émergeant du plus profond de mon être, naquit l’ours. Je devins la personne que ma mère avait créée ; bourrue, insociable, muette. Elle avait gagné et pouvait à loisir me détruire. Recluse dans ma tanière, je ne permettais à personne de franchir les portes de mon refuge. Une femme qui a mis au monde un enfant doit lui prodiguer tout son amour. Seule alors, grand-mère réussit à gagner mon affection.
Le général de Gaulle est sans contestation possible l’un des hommes politiques les plus populaires de l’histoire de France. Mais c’était à une époque où les réseaux sociaux et les chaines d’information en continu n’existaient pas. De plus les médias se voulaient bienveillants à l’égard du pouvoir. L’auteur Pierre Vedel remonte le temps via cet ouvrage au titre évocateur et symbolique « Deux Gaulle » et dévoile les différentes facettes de l’ancien président de la République. Références historiques à l’appui, l’écrivain révèle que derrière l’homme adulé se cache aussi un être manipulateur qui n’a jamais lésiné sur les moyens pour arriver à ses fins notamment lors de la Seconde Guerre mondiale puis la guerre d’Algérie.
Le sport comme fil conducteur d’une existence menée à 100 à l’heure ! Tel pourrait être le singulier raccourci de la vie d’Antoine Sassu. Ce dernier a gravité dans de nombreux milieux comme ceux du football, de l’athlétisme et enfin de la marche athlétique. Tour à tour pratiquant ou dirigeant l’intéressé revient sur un parcours atypique marqué par le défi et le dépassement de soi. Des joies, des peines, des souvenirs grandioses et d’autres à oublier… Des combats comme celui de développer la marche athlétique et la satisfaction d’avoir su transmettre sa passion aux plus jeunes et d’avoir pris part aux championnats de France. Des échecs aussi – car le bonhomme possède une certaine éthique – mais qui ont mis en exergue sa capacité à rebondir.
La présence au Niel – à partir de 1928 et jusqu’à la guerre – de Louis Renault et de son yacht, le Chryseis, a sans doute beaucoup contribué à rendre ce site digne du label de « petit port d’intérêt patrimonial » qui lui a été attribué en 2012. L’auteur de cette plaquette, ancienne présidente des Amis du Niel, s’est intéressée de ce fait à un aspect, jusqu’ici négligé, de l’activité de Louis Renault. La patiente reconstitution (à partir de documents originaux) de cette période nous introduit dans la vie du petit village de paysans pêcheurs que Giens était alors. On en apprend aussi un peu plus sur la personnalité, diverse et attachante, de Louis Renault, défenseur de l’Environnement quand il le fallait..
PROPRIÉTAIRE de bonne foi, l’auteur a fait confiance à un homme. Il lui a remis les clés de son appartement contre la promesse d’un virement immédiat. Ce locataire indélicat est resté TROIS ANS sans débourser un centime, DONT DEUX grâce ou à cause de la justice. Après avoir SUBI, devant un tribunal de proximité, une procédure judiciaire dont la longueur excessive lui a causé un PRÉJUDICE FINANCIER, l’auteur s’est interrogé. Il nous livre une ANALYSE IMPITOYABLE de cette justice qui s’arroge le droit d’être lente sans avoir à en rendre compte même quand cette lenteur génère l’injustice. Ce livre est un TÉMOIGNAGE qui révèle les faiblesses de notre justice de proximité et un DÉFI lancé aux plus hautes autorités sous forme de deux questions : SEREZ-VOUS CAPABLES d’entendre ces critiques ?