Ninon de la Rescadière traverse une période trouble de l’histoire de France en 1789 du côté de Toulon en bousculant les usages de son milieu, affirmant et revendiquant haut et fort sa liberté de pensée et d’action. Elle oblige ceux qui veulent la suivre à se surpasser, à sortir des sentiers battus pour exister. Une femme de tête et d’esprit qui ressemble étrangement à l’auteur.
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Ninon de la Rescadière traverse une période trouble de l’histoire de France en 1789 du côté de Toulon en bousculant les usages de son milieu, affirmant et revendiquant haut et fort sa liberté de pensée et d’action. Elle oblige ceux qui veulent la suivre à se surpasser, à sortir des sentiers battus pour exister. Une femme de tête et d’esprit qui ressemble étrangement à l’auteur.
Rescapée du naufrage du Titanic en avril 1912, Berthe Leroy fut quelques jours enregistrée sous l’identité de Bertha Lavory. Elle devenait ainsi l’inconnue du Carpathia, navire qui recueillit les rescapés.
Inconnue, cette anonyme fille de mineur l’aura été pendant toute son existence, inattendue, pleine d’enchantements et de drames, de suspense et de rebondissements… Comme le temps remet toujours les pendules à l’heure, le moment était venu de jeter un autre regard sur ce qu’elle fut, d’ajouter des pièces inédites au dossier et de rétablir des vérités. Ce roman le fait sous forme d’enquête et en empruntant les voies du polar.
Signes est riche de son patrimoine : Fontaine aux sorcières, Cour d’Amour. Riche de ses traditions : Fête de la Saint Jean et de la Sainte Éloi. Riche de son air vivifiant connu entre autres des Évêques marseillais qui cherchaient à s’éloigner des épidémies de peste. Riche de sa plaine alluvionnaire et de ses collines, bien connues des excursionnistes varois et marseillais. Robert, le cartophile, est originaire du village. Il a su faire apprécier à son épouse Gisèle, toute la beauté de ce terroir. Aujourd’hui le village a une zone d’activités importante près du circuit Paul Ricard (celui-ci en fut le maire de 1972 à 1980). Beaucoup d’associations sont actives et bien soutenues par le maire Jean MICHEL et son conseil municipal.
Rien ne semblait prédestiner Christian Barral-Poignard à devenir un combattant coincé dans des moments courts mais prenants et dangereux. Pourtant, les hasards et les violences de la vie ont fait que l’intéressé a été appelé sous les drapeaux pour prendre part à la guerre d’Indochine en 1953. Son existence va alors être totalement bouleversée en vie militaire avec une incidence sur sa vie privée : mariage avec Paulette Poignard, lycéenne française métis quarteronne jaune. Mais ses capacités d’adaptation et de réaction feront de lui un guerrier récompensé par de multiples médailles et distinctions mineures dans la collection décorative mais majeure pour Lui en Médaille Militaire : la seule non polluée par les politicards des partis.
S’il est un roman voluptueux et bouleversant par ses faits historiques, c’est Ninon la révolutionnaire. Cette dernière traverse la période allant de 1789 à 1792 à Toulon avec fracas, bousculant les usages de son milieu, affirmant et revendiquant haut et fort sa liberté de pensée et d’action, obligeant ceux qui veulent la suivre à se surpasser, face ou aux côtés de cette attachante vestale à l’image d’une femme exceptionnelle.
En se focalisant sur l’homme politique exceptionnel que fut Charles de Gaulle, cette synthèse déroule un survol quasi-complet de l’histoire de notre pays de 1940 à la fin des années 60. Elle pose finalement – sans prétendre traiter le sujet – le problème de la légitimité et des limites du pouvoir ; elle conteste la légende de « l’homme du 18 juin » qui a trahi la cause de l’Algérie française.
Cet ouvrage vérité, gorgé de témoignages et de photos d’époque, nous replonge dans la vie quotidienne à Al-Djazaïr avant 1830 et à Alger de 1830 à 1962.
Le surnom de « Pingouin », attribué au personnel de l’Aéronautique Navale, remonte à l’histoire de nos premiers porte-avions. Ce sobriquet ironique et amical, donné certainement par des matelots du porte-avions Béarn devant les difficultés qu’éprouvaient les marins aviateurs à faire décoller leurs engins, a traversé le temps. Toujours d’actualité, l’auteur est fier de le porter et il coiffe la figurine reçue en fin de carrière successivement d’un bonnet, d’un casque et d’une casquette. Un résumé parlant de ses 38 années passées au service de la France.
Aucun ouvrage d’ensemble n’a été à ce jour publié sur le contre-amiral René Daveluy, présentant simultanément sa biographie et analysant ses écrits. Cette lacune est aujourd’hui comblée par l’amiral Benoit Chomel de Jarnieu, un de ses arrière-petits-fils, ancien major-général de la marine puis inspecteur général des armées (marine), sur la base d’archives familiales pour la plupart inédites. Daveluy est un des plus grands penseurs maritimes du début du XXème siècle et la marine nationale le distingue encore aujourd’hui par l’attribution annuelle à des étudiants et chercheurs d’un « prix Amiral Daveluy ».
L’œuvre du Saint-Esprit a contribué à la construction du seul pont en maçonnerie existant au XVIIIe entre Lyon et la Méditerranée. Seul lien entre les deux rives du Rhône à une époque où le moindre déplacement correspondait à une véritable aventure, cet ouvrage d’art a ponctué la vie passée de la région. Pour preuve, la ville de Saint-Saturnin-du-Port a été rebaptisée Pont-Saint-Esprit. Après sept siècles de solitude sur ce site exceptionnel, l’ancien édifice a partagé l’espace avec un nouveau pont. L’évolution des conditions de circulation routière a rendu indispensable la réalisation d’un nouvel ouvrage d’art à Pont-Saint-Esprit en 1996.
Rares sont les témoignages de la Grande Guerre par les aérostiers français, qui faisaient alors partie du Génie. Les lettres d'amour de Jean à Mathilde, rapportées par ailleurs telles qu'elles ont été conservées par leurs enfants, décrivaient aussi - bien qu'en second plan - le quotidien de Jean, 25 ans, maître-tailleur promu Caporal puis Sergent-arrimeur, d'août 1914 à fin juillet 1919. Extraits et regroupés chronologiquement, les passages dédiés aux tâches et aux activités de détente de la compagnie et/ou de l'escouade de Jean Poletti font revivre les dernières années de gloire d'une section - désormais oubliée - du Génie.
À la suite de graves évènements, Bernard, ex-professeur d’anglais, aujourd’hui écrivain, a trouvé refuge dans un vieux phare hors service. Loin de la société, il aimerait y méditer tranquillement dans la tradition de quelques auteurs d’Outre-Manche qui lui sont familiers… Il devra néanmoins renouer avec son passé, et même accepter de nouveaux liens avec son voisinage pour se construire une philosophie personnelle. À la croisée de ces chemins, l’humour lui semble un instrument privilégié…
La liste de tous ces personnages attachants n’est évidemment pas exhaustive. J’ai connu la plupart d’entre eux dans mes jeunes années. Je les ai choisis en fonction d’une poignée de valeurs qui me touchent personnellement : l’amour, l’amitié, la famille, le travail, le respect et le souvenir. J’ai beaucoup d’admiration pour ces hommes et ces femmes, toutes époques confondues, qui s’investissent sans copter pour leur village natal ou d’adoption…