Les Rats aussi crèvent de la peste de...
Le brigadier Antoine Chartel en a les mains et la voix qui tremblent. Ses yeux sont encore braqués sur l’horrible vision. Dans une cave de la cité de La Verdine, un gamin à demi-nu, émasculé et étranglé...
Le brigadier Antoine Chartel en a les mains et la voix qui tremblent. Ses yeux sont encore braqués sur l’horrible vision. Dans une cave de la cité de La Verdine, un gamin à demi-nu, émasculé et étranglé...
La paix n’est-elle qu’un rêve inaccessible ! Je me suis enfuie de mon monde pour éviter une guerre absurde qui oppose mes sœurs, les gouttes d’eau, au monde du feu. Une guerre censée nous légitimer comme étant les seules mandataires du droit divin. Une guerre éternelle entre deux nations qui usurpent la foi au profit d’ambitions personnelles…
Ai-je raison de vouloir vous raconter ma vie ? N’êtes-vous pas semblable aux autres hommes ? Egoïste… Cruel ? Aujourd’hui, où tout s’achève pour moi, il m’importe peu de découvrir quelqu’un prêt à m’écouter ou à me plaindre. Devant la mort, tout change de valeur, et la vie surtout dont on ne conserve que l’amertume. Les souvenirs défilent, rapides ; la mesure du temps est renversée ; tout devient court et s’atténue.
« On se retrouve demain… Salut ! ». C’est par ces mots que l’auteur terminait ses matinales lorsqu’il travaillait dans les « locales » de Radio France. Avant cela, il était passé par le music-hall, le cabaret, la télé, les radios commerciales.
Une enquête de l’inspecteur Félicien Aubin
Un polar pas comme les autres, qui mêle amour et intrigues, dans un contexte social, politique, écologique et psychologique. Un roman dense, riche en évènements ancrés dans l’actualité.
Comment peut-on mesurer la réussite, dans sa vie ? Comment peut-on affirmer avoir réussi sa vie…
Parfois pittoresque, parfois dramatique, mais profonde à la fois, c'est l'histoire vécue de voisins qui partagent tout et nous transporte dans un monde auquel on aimerait participer. Il est si attachant qu'il nous tient en haleine de la première à la dernière page.
Après un premier livre, Laissez-vous-en conter sans compter, dans lequel on découvrait toutes les facettes de son humour, le Commissaire Divisionnaire marseillais Jean Claude Beltramo nous invite, cette fois, à suivre l’itinéraire marginal d’une jeune ado, dans le Marseille des années 70, où rien ne lui sera épargné.
Au début du vingtième siècle, dans un petit village de Provence, un jeune adolescent se passionne pour le jeu de boules.
Lorsqu’éclate la première guerre mondiale, les hommes sont mobilisés. Les tristes circonstances donnent à Pierre Barret l’opportunité de révéler son talent de joueur aux plus anciens. Il intègre ensuite l’équipe locale, suscitant curiosité, admiration et jalousie.
Pierre est persuadé que les boules de son ancêtre sont magiques : elles lui donnent le pouvoir de gagner. Son équipe acquiert bientôt une notoriété grandissante.
Mais le jeune Barret est sans nouvelle de son père, parti à son tour se battre sur le front. Les peines, les joies, les grands tournois de boules qu’il va disputer, vont définitivement transformer son existence et forger son destin.
À la suite de graves évènements, Bernard, ex-professeur d’anglais, aujourd’hui écrivain, a trouvé refuge dans un vieux phare hors service. Loin de la société, il aimerait y méditer tranquillement dans la tradition de quelques auteurs d’Outre-Manche qui lui sont familiers… Il devra néanmoins renouer avec son passé, et même accepter de nouveaux liens avec son voisinage pour se construire une philosophie personnelle. À la croisée de ces chemins, l’humour lui semble un instrument privilégié…
À la suite de graves évènements, Bernard, ex-professeur d’anglais, aujourd’hui écrivain, a trouvé refuge dans un vieux phare hors service. Loin de la société, il aimerait y méditer tranquillement dans la tradition de quelques auteurs d’Outre-Manche qui lui sont familiers… Il devra néanmoins renouer avec son passé, et même accepter de nouveaux liens avec son voisinage pour se construire une philosophie personnelle. À la croisée de ces chemins, l’humour lui semble un instrument privilégié…
Septembre 1939
À Alger, la mobilisation générale avait vu les hommes de toutes conditions et de tous horizons se regrouper dans la capitale pour être envoyés vers diverses destinations. Le Maroc, mais surtout la Tunisie et l’Algérie furent des terres de prédilection pour des hommes partis la fleur au fusil, le cœur plein d’espoir ou la peur au ventre.
Richard Atlan, Norbert Bensimon et Pierrot Abergel, les trois enfants du quartier de l'Esplanade se trouvèrent subitement confrontés à la réalité de la vie et non plus à la fiction cinématographique française ou américaine que présentaient les écrans des neuf cinémas de Bab El Oued.