C’est en pensant aux plus jeunes de mes petits- enfants et à tous les jeunes gens de leur âge qui, comme eux, n’ont qu’une très vague idée de Jésus et de son œuvre, que j’ai considéré qu’il m’appartenait, à la veille de mes quatre-vingts ans, de leur exposer quelques aspects de Sa vie, de Sa personnalité et de Son enseignement, tels que je les porte en moi.

Ce livre n’a aucune prétention littéraire et encore moins théologique. Sa seule et grande ambition est de permettre à ceux qui le liront de mieux connaître Jésus, de découvrir la richesse incommensurable de son message et de les persuader de l’absolue nécessité de sa présence dans notre vie.

Puissent ces quelques pages les en convaincre.

« Je suis l’alpha et l’oméga,

Le premier et le dernier,

Le commencement et la fin. »

Sylvestre-Mimosa, dit Sissi, chat perdu, raconte les innombrables péripéties, exaltantes, surprenantes, auxquelles il a été confronté, depuis son arrivée chez Clémentine, sa mère adoptive.

En souvenir de ses premiers mois d’une existence difficile, il essaie d’être un bon chat, sans toutefois lutter contre son instinct de petit prédateur. Mais il n’oublie pas que la Providence l’a choisi et à son tour, il essaie de venir en aide à ceux qui n’ont pas eu sa chance.

C’est la rencontre entre deux animaux, un lapereau et un chaton, qui permet au lecteur d’assister à la naissance d’une grande amitié.

Jaja et Nini, à leur tour, feront d’autres connaissances. Ils pourront organiser de nombreux jeux dans les bois, creuser un terrier où ils habiteront avec un chiot, un renardeau, un écureuil, une tortue et deux lapins, les parents de Jaja.

Leur existence sera douce, simple et belle, au contact d’une nature qui les protégera et leur fournira de quoi manger.

Mais un jour, une grosse bête arrive dans la forêt profonde...

« Bonjour les enfants !

Je m’appelle Jaja ! Je suis un petit lapin blanc aux yeux rouges.

Quand j’entends un bruit, je relève mes longues oreilles et je flaire l’air, tout autour de moi.

Chez les souris comme chez les humains, on trouve de vraies petites bavardes. On surnomme ces coquines des moulins à paroles. Mais au fait, Maman, c'est quoi, un moulin ?... à vent, à eau, à grains ? Peut-on moudre du vent ? des paroles ? Oui, quand l'imagination s'envole.

De Londres à Rome en passant par Paris, de Genève à Tunis, du nord au sud ou de l’est à l’ouest, Lisa globe-croqueuse a décidé de partir en voyage culinaire et d’inviter Le Monde à sa table.

Bébert a dit un jour : « C’est moi qui vous le dis, les pierres lévées bougent, je les ai vues bouger. » Et il ajoute : « Bien sûr que les pierres levées bougent ! Puisqu’elles sont vivantes et en plus elles guérissent ! » Mais depuis l’arrivée de lord Krakam, le Troll, ces pierres levées ne guérissent plus. La fée Félicia les libérera-t-elle du maléfice qui les possède ?

Vous voilà au cœur du MYSTÈRE DES PIERRES LEVÉES

La fille de Gaïndé – le roi Lion – a disparu. Tous les animaux de la brousse partent à sa recherche, ainsi que Samba le berger peul... Ils soupçonnent Djassit le Crocodile de l'avoir enlevée et peut-être même dévorée. Va-t-il avouer son forfait ? Va-t-on retrouver vivante la gentille Rouky, la petite Lionne ?

Les contes du Sénégal ont été inventés et mis en scène par une équipe de jeunes Sénégalais qui, depuis des années, consacrent leurs loisirs à distraire et éduquer des enfants malades. Cette généreuse démarche est faite dans le cadre de l’Ecole à l’Hôpital du Sénégal, association reconnue d’utilité publique, travaillant dans les hôpitaux de ce pays depuis quarante-cinq ans, qui prend en charge au long de l’année les études des enfants hospitalisés.

Illustrations de Véronique LE BESNERAIS

Nous, les adultes, ne connaissons pas les limites des rêves de nos enfants. Nos parents, eux-mêmes, n’attachaient que peu d’importance à nos rêves. Lors d’un salon pour la jeunesse, Mathilde une petite fille de 7 ans, élève du CE1, me dit, alors que je dédicaçais le Nuage Rose : « Je rêve souvent à beaucoup de nuages de toutes les couleurs qui s’amusent dans le ciel ». L’idée était là. Pourquoi ne pas imaginer un frère à Nuro, le nuage rose, qui serait revêtu d’une somptueuse couleur : le mauve. C’est ainsi que Numo est né ! Il va vivre, lui aussi, des aventures amusantes au bord de la Méditerranée, dans un petit village qui ne figure que sur la grande carte du Merveilleux et qui s’appelle Saint-Jean-des-Flots quelque part entre Six Fours et Toulon.

Une ville et sa mémoire à découvrir avec Lisa.

Éclatante comme une aube lumineuse sur les pentes de la Croix-Rousse, comme un rayon ensoleillé qui se glisse derrière Fourvière, comme les façades colorées des immeubles du Vieux Lyon, comme les étals chatoyants du marché sur les quais de Saône, Lyon ville des lumières respire le mystère… C’est dans un décor historique que Lisa et Jojo, le petit gone de Saint-Jean, vont vivre une aventure hors du temps.

Suryanher, jeune hérisson recherché par un Vagabond sans scrupule, a élu domicile à Sury-le-Comtal pour y trouver abri et protection.

Conseillé par Prince le hibou, aidé par le chat Ted et ses compagnons, protégé par les enfants de l’école, il va reprendre courage.

La fée Mima se montrera ambitieuse et généreuse en apportant son aide à Suryanher qui a été cruellement séparé des siens.

Les hérissons de Sury-le-Comtal vont-ils enfin vivre en paix et en sécurité pour poursuivre leur tâche appréciée par les hommes dans la nature ?

Quel avenir la fée Mima va-t-elle réserver à Sorino le Vagabond après la libération des captifs ?

Votre imagination vous laissera deviner la réponse, qui se trouve certainement quelque part dans le livre…

Votre enfant est au C.E.2 au C.M.1 ou au C.M.2 et il ne connaît pas encore parfaitement ses tables de multiplication. Or, l’Education Nationale vient de s’apercevoir – un peu tard – que nos jeunes écoliers français ne maîtrisaient ni les tables de multiplication, ni le calcul mental. Or, il existe, maintenant, une méthode ludique d‘apprentissage raisonné de ces tables, apprentissage basé, justement, sur le calcul mental. La méthode, qui vous est proposée ici, est tirée des exemples de l’Antiquité : les écoliers grecs et romains ne connaissaient pas – et pour cause – les tables de multiplication. Pourtant, ils effectuaient des opérations importantes, en ne connaissant que le double et la moitié des nombres (en fait pour nous, la table de multiplication et de division par 2).