Cet ouvrage est un thriller noir, paranoïaque qui relate l’épopée sanglante d’un djihadiste sadique qui se prenait pour un homme pur. Mandaté par Daech, il revient en France pour y commettre des crimes terrifiants et décapiter la femme qui l’a fui.

Chargé par son ancienne hiérarchie de garder un œil sur la dame en danger, un retraité de la DGSI, endeuillé par la mort de sa fille, et qui s’échinait à faire pousser des fleurs, s’emploiera désormais à contrecarrer les plans du terroriste.

Ce livre contient des passages pouvant heurter la sensibilité de certaines personnes

Michel Chevron vit à Paris. Cet ouvrage d’une actualité brûlante est son huitième roman.

Nombre de plongeurs en ont rêvé, encore actuellement me confiait l’un de mes amis qui venait d’y réaliser quelques images sous-marines.

« Tu sais, nul n’ignore qu’il n’y a pas d’or sur cette épave, mais la légende est tenace. Alors lors des plongées que j’ai pu y faire, j’ouvrais grands mes yeux en me disant que peut être…Un genre de loto quoi, qui sera le gagnant. »

Alors, je me suis dit qu’il s’agissait là d’un bon sujet et qu’il me fallait laisser galoper mon imagination. Même et surtout en remontant très loin dans le temps.

Aussi, le héros que nous venons de créer, Julien Troubarède, le Maréchal des logis chef de la brigade de la Gendarmerie Nationale de Porquerolles était le seul à pouvoir démêler les fils d’une enquête compliquée.

Dans un monastère au Tibet, le maître annonce l’avènement, à notre époque, d’une ère meilleure qu’il nomme le cycle de Tara, « le signe de cœur », un âge où l’humanité doit se rassembler autour de l’idée de fraternité. Un roman d’aventures archéologiques où l’auteur mêle, de rebondissements en surprises, mythes et réalités historiques pour nous emporter dans un dangereux labyrinthe de secrets dont personne ne devrait pouvoir sortir vivant…

« Vous ?

Pas le temps de réaliser ce qui se passait, de me questionner sur ce vous qui était moi ou un autre, la voix continua :

– Bravo ! » 

Comme vous le saurez vite, je suis rarement reconnu, pour ainsi dire jamais et encore moins félicité. S’agissait-il de moi ou d’un autre…

 …J’étais le prototype de l’individu inexistant, fade, sans intérêt, un type ordinaire, à la vie ordinaire, au physique ordinaire …

Alors, comprenez que tous ces regards braqués sur moi avaient de quoi me surprendre…

Soudain, je restai médusé. Je me vis, moi, là, en plein milieu de l’écran…

L’auteur évoque avec force et précisions des faits marquants de l’histoire des Français d’Algérie, pourtant restés dans l’oubli. Ce quatrième ouvrage aborde la violence et les atrocités des dramatiques évènements survenus entre le 23 mars et le 5 juillet 1962, 105 jours d’humiliations, 105 jours de souffrances inexpliquées, 105 jours de lâcheté pour assassiner un peuple pacifiste sans défense. C’est dans cet univers de massacres et de turpitudes qu’une belle histoire d’amour voit le jour entre Serge, un jeune parachutiste parisien, déserteur de l’arme française, venu apporter son aide à l‘OAS en avril 1962 et Paula, une fille de Bab el Ouied. L’idylle sera brève mais intense…

Une famille embarque sur un voilier pour faire le tour du monde. Au milieu du Pacifique, une vague immense retourne le bateau. Tous sont sains et saufs, mais ils passent une semaine désespérante sur la coque renversée.

Il se trouve, au pied des Maures, dominé par la chapelle de Notre-Dame-des-Anges, un village aux seize fontaines où tout le cœur de notre Provence chuchote d’authenticité.

L’histoire de Brandade vous transportera dans la clarté de ces lieux.

Elle vous entraînera dans une destinée bâtie de courage et d’amour.

Jeanne, Vincent, François, Stanislas, et même Charles, vous apprendront qu’il existe, sur cette terre, une seule Brandade. Elle vit parmi eux, dans la chaleureuse senteur des collines qui entourent Pignans.

Le fait que l’un des huit managing directors de Zucker & Zucker Bank l’accueille directement à la sortie de l’ascenseur était une nouvelle marque de courtoisie plutôt inhabituelle.

David savait que le nom de Bolinger & Associés était connu et reconnu dans le milieu des fusions acquisitions ; pour autant, il savait aussi que son cabinet ne participait pas aux « mégadeal » des cent premières capitalisations boursières du monde auxquels prenait part régulièrement la banque d’Andrew.

Il connaissait aussi l’arrogance légendaire de ces directeurs et plus particulièrement celle de son interlocuteur, qui usaient et abusaient de leur puissance dès qu’ils en avaient l’occasion, le tout avec le sourire et le tutoiement...

Au milieu des années 1900, en province, au moment où le Front Populaire émerge politiquement et socialement, Louis, ouvrier et paysan, usé par les duretés de la vie, aborde inexorablement sa vieillesse. Veuf depuis des années et abandonné par son fils, il trouvera refuge au « Café des Amis ». Il puisera sa force et son équilibre au travers de cette bande d'amis et de son chien, sa béquille de vie, qui l'aideront à supporter les coups durs de l'existence. Pour autant, mêlé à des situations vaudevillesques et des circonstances burlesques, il sera le prisonnier volontaire de l’amitié, de la bonne humeur et la complicité de cette bande de copains jusqu'à leur dernier souffle. Aura-t-il eu raison d'espérer, d'y croire ?

L’isolement n’est pas un vain mot. Dans le monde moderne où les sentiments n’ont plus toujours leur place, de nombreuses personnes, souvent retraitées, subissent de lus en plus ce fléau. Agé, délaissé, le vieil homme n’a pratiquement plus que son chat comme confident. Cela lui suffit-il ? Ce roman relate les problèmes de l’isolement pendant la vieillesse et les relations subtiles, parfois salvatrices, entre les animaux de compagnie et l’homme. Ce cheminement désordonné, au fil d’une mémoire douloureuse, ravivée par les événements, est dédié aux personnes isolées, malheureuses de cette destinée indépendante de leur volonté.

Foutaises ! C’est ce que vous diriez si on vous annonçait que les « démons » sont à l’affût et que les adorateurs du dieu Dagon font couler le sang pour hâter son retour du fond des océans. Foutaises ! C’est ce qu’aurait dit le commandant de police Chaval avant son enquête sur le triple meurtre de la rue de Gand à Lille.

Ils veulent faire échouer l’enquête, mais l’Anonyme d’Anvers va s’en mêler. À sa façon... Et ses investigations, en exhumant des vieilles affaires marseillaises liées aux mafias de la drogue et de la ferraille, vont faire remonter d’autres cadavres à la surface.

C’est l’été 1980. Maureen et Charles se rencontrent sur une plage de sable à Cannes. Tous deux, déçus par la vie, partent naviguer jusqu’en Italie, mais leur relation destructrice bouleversera à jamais leur univers. Charles parviendra-t-il à sauver Maureen de ses démons ? Maureen survivra-t-elle à son passé ? Saura-t-elle esquiver un implacable piège ? Ils devront puiser au plus profond d’eux-mêmes pour trouver la lumière, bannir à jamais ce terrible sentiment de solitude. Une magnifique villa à Naples, une traque mortelle à Venise ; mer, nature, quête spirituelle, mafia sicilienne. Les personnages : un célèbre ténor parisien, une « escort girl », des trafiquants et toxicomanes – s’interrogent sur le but de la vie, la recherche d’un amour idéal, la maladie et la mort.