Un mariage qui coulait de source dans ce quartier de la Petite Italie qui berça leurs tendres années. Une éternité d’amour. Des projets plein la tête. Un petit appartement avec vue sur le pont de Brooklyn. Shabbat chez les parents et la vie qui déroule son livre d’images… Le temps d’aimer. Le temps de mourir. La chute. Un accident stupide à l’orée de la Petite Italie. Une route enneigée, un enfant qui déboule, un mauvais réflexe. Le drame. Sa femme au paradis. Loin de ses bras. Réapprendre la vie. Sans elle. Sans la contempler au petit matin, froissée de sommeil. Sans sa nudité impudique et son regard bleu outremer en invité permanent. Sans la magie de son amour, tout simplement… Depuis, Samuel s’était enfermé dans son métier solitaire. 

Nos auteurs, soucieux de s’écarter d’une tendance actuelle, celle orientée vers des récits où le crime le dispute à la perversion, ont, à contre-courant du genre apprécié par certains, pris le parti de l’émotion, de l’amour, de l’amitié et de l’aventure humaine. L’histoire fictionnelle qu’ils proposent à travers cet ouvrage pourrait être la leur, la vôtre, la nôtre. 

À vous d’en juger.

Julien Martini, nouvellement nommé à la police de Carcassonne, est appelé à résoudre une enquête sur une série de meurtres liés à la construction d’une route traversant le pays cathare.

Les travaux du chantier mettent en évidence les restes du squelette d’un homme assassiné plusieurs centaines d’années plus tôt.

Valérie Konzielaski, membre de l’Institut d’Archéologie Préventive va travailler sur ce meurtre et découvrir que son enquête rejoint celle du capitaine Martini.

Le policier et l’archéologue devront coopérer pour résoudre ces deux affaires quand ils comprendront qu’elles ont le même mobile : « la réincarnation des Cathares exécutés dans l’Ariège, à Montségur le 16 mars 1244 ».

La Vengeance des bêtes, c'est avant tout un message, celui qu'un chaton nous transmet. Hé oui ! Un petit chat : une prise de conscience, la sienne et au-delà, celle de l'être humain. La torture. Pourquoi ? À quoi bon ? Et celle infligée aux animaux laisse le goût amer d'un regret profond.

Lucie a une enfance et une adolescence réglées par la croyance en Dieu. L’éducation dispensée par les religieuses gagne son cœur.

« C’étaient de belles mains. Larges, charnues, avec des ongles carrés parfaitement dessinés ; l’empan s’étalait sur le papier blanc comme une occupation, une prise de territoire flagrante. L’image lui plut. Les veines dessinaient sous la peau le réseau saillant de leurs parcours, mais Clément ne retrouvait pas dans sa mémoire la topographie des siennes et accepta aussitôt celles-ci ; le grain de peau et l’implantation des poils, tout comme leur couleur lui convinrent...

Presque rien ? Vous appelez ça presque rien, vous ?

Elle s’appelle Laure, et lui Fabrice. 

Elle est enseignante, et lui médecin. 

Les caractères sont bien trempés et les décisions prises rapidement, sans jamais trop d’états d’âme. Mais quand ils en viennent à être confrontés à une maladie grave, plutôt que des schémas attendus, la réponse donnée se rapproche davantage de la formule populaire : 

« Fais ce que je dis et pas ce que je fais. »

André Chagnon est professeur de médecine interne (concours Val-de-Grâce 1980). Sa longue carrière hospitalière a été suivie d’un important volet de médecine libérale. L’ouvrage précédent* en faisait la synthèse. Il a été, en soutenant sa thèse à l’âge de vingt-deux ans, le plus jeune médecin de France. 

Un sexagénaire se voit contraint de relever le plus grand défi de son existence. Un choix qui va transformer sa vie, mais qui se terminera par une surprenante mais inévitable tragédie.

Au soir de sa vie, Marie se souvient de sa découverte du Nouveau Monde.

Fille de petits commerçants, son existence semblait toute tracée dans une petite ville du piémont pyrénéen au début du XIXe siècle. Elle ne sera pourtant pas le long fleuve tranquille souhaité par sa famille, mais un torrent impétueux émaillé de joies, de chagrins et de renoncements.

Sa rencontre émerveillée avec Cuba durant une époque troublée conduira notre héroïne à participer à sa manière aux luttes pour l’Indépendance de l’Île. Femme de caractère, passionnée mais réaliste, elle devra sans cesse faire des choix pour concilier son amour pour Cuba et les réalités plus prosaïques des contraintes familiales. Jusqu’à la fin de sa vie, elle gardera chevillé au cœur l’espoir de voir enfin libre la Perle des Antilles.

La narratrice, Rosemary, est une femme d’une quarantaine d’années qui a fui une précédente vie après un drame survenu lors de sa dernière année d’étude en Californie. Après s’être lentement reconstruite à Lewisburg, petite ville du Kentucky où tout le monde ignore son passé, elle a endossé une nouvelle peau pour une nouvelle existence. Son compagnon, Jack, vétéran du Viet-Nam, refonde aussi la sienne en s’appuyant sur elle tout autant qu’elle-même tire sa force de cet homme silencieux. Deux événements vont bouleverser cette quiétude lentement gagnée sur la peur qu’elle porte toujours au creux de son ventre. Des événements qui  vont modifier considérablement ce paysage rassurant qu’elle pensait immuable…

Le mystère de la naissance d’Elen Leroy (voir Tome 1 : La naissance d’une étoile) reste entier. Pour Guillaume Lefuret, il n’y a pas à tergiverser : rechercher les origines de la fillette revient à rechercher les siennes. Mais le seul personnage à pouvoir le renseigner, l’étrange pédiatre qui s’est occupé du bébé à sa naissance, est mort (voir Tome 2 : Le fils de la forêt). Tant pis, le jeune commissaire renonce à savoir et se jette à corps perdu dans son travail. Son amitié avec : Thierry Leroy, sa femme Morgane et ses beaux-parents, Maggy et Jules Delisle, lui permet de tourner la page. Pourtant Guillaume va devoir affronter d’autres mystères. Il y a d’abord Elen qui lui ressemble étrangement et qui s’est prise d’affection pour lui, au point de tout partager avec lui. 

En proie à une soudaine insomnie dans le froid glacial de l’hiver, Hermeline, se sent au crépuscule de sa vie. Elle en revisite la trajectoire tantôt en zigzags, tantôt en lignes droites.

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