Des Cogoni aux Sunlights, ma vérité de Chantal LOSFELD
Référence: L1020
17,00 €
TTC
Fille du célèbre éditeur des surréalistes Eric Losfeld, l’auteur fait aussi partie de la famille Cogoni depuis de nombreuses années. Qui mieux qu’elle pouvait raconter la vie de ces trois frères, émigrés italiens dans les brumes du Nord de la France ? Cet ouvrage retrace leur parcours avec la plus grande sincérité. Par leur travail et leur ambition, ils ont gravi les marches du succès pour devenir premiers dans les hits parades.
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Fille du célèbre éditeur des surréalistes Eric Losfeld, l’auteur fait aussi partie de la famille Cogoni depuis de nombreuses années. Qui mieux qu’elle pouvait raconter la vie de ces trois frères, émigrés italiens dans les brumes du Nord de la France ? Cet ouvrage retrace leur parcours avec la plus grande sincérité. Par leur travail et leur ambition, ils ont gravi les marches du succès pour devenir premiers dans les hits parades.
Durant cent trente-deux ans, la France n'eut de cesse de combattre la misère et les maladies héritées à son arrivée en 1830 sur un territoire sans nom ni frontières, exploité par deux colonialismes en même temps, celui des Arabes depuis onze siècles et celui des Ottomans depuis trois cent quinze ans.
Ce recueil est un hommage à des travailleurs qui firent les Chantiers et la tuyauterie en particulier. Les initiateurs du projet ont choisi de mettre en « mémoire » tous ceux qui ont individuellement concouru au développement et à la défense de leurs outils de travail avec intelligence et pugnacité. Ils ont mis toutes leurs forces et tous leur savoir à sauvegarder une entreprise fleuron de l’industrie française. Dans ces pages, il y a cinquante ans d’histoire quotidienne dans toutes ses formes. Travail, social, syndical et politique, qui ont façonné un esprit si particulier de la tuyauterie, au point de devenir un atelier emblématique du Chantier. Trois thèmes sont développés dans cet ouvrage.
Ayant eu la chance de vivre vingt années passionnantes en Afrique, l'auteur a voulu au travers de cet ouvrage faire revivre quelques épisodes drôles, cocasses ou plus dramatiques qui ont marqué ses séjours dans cinq pays différents entre 1984 et 2014. Mais aussi faire partager sa passion pour un continent que peu d’Européens connaissent et apprécient, la plupart d'entre eux ayant une vision déformée par les médias ou le discours ambiant. Observateur attentif d'un monde africain en pleine évolution, il a au travers de ses récits fait revivre une galerie de portraits hauts en couleurs de personnages caractéristiques de cette époque.
Elle a toujours aimé relater toutes ces journées qui passent sans lui. Elle aurait voulu aller le chercher, le ramener à elle... Ils étaient si bien tous les deux, même vieux, même moins beaux.
Il était son amour, elle était sa mémoire.
Embrasse-moi lui disait-elle. Et toi répondait-il, continue à me raconter...
Toulon libéré, la guerre n’est pas terminée, Monsieur Charles Bruno, mon ami, me demande d’être son second, au sein de l’entreprise de bâtiments Bruno et fils, (c’est lui le fils-gérant), et me confie la partie technico-administrative de la société. Il y a du pain sur la planche, car Toulon a beaucoup souffert ces trois dernières années. J’avais vingt-trois ans. Je passais subitement, à l’évaluation des dommages de guerre (travaux d’urgences) que je chiffrais et donnais aux architectes, puis au Ministère de la Reconstruction pour accord. Charles s’occupait alors des travaux. Je faisais la facturation. L’entreprise était cotée, elle avait de beaux jours devant elle.
Voici la vie d’Angelina, ou la vie de celle qui, par discrétion, dans les ouvrages précédents, se nommait Ange-Elle. On aurait pu penser qu’elle était un être humain semblable à tous les autres mais il fallait se rendre à l’évidence qu’elle n’appartenait pas au monde d’ici-bas. Conçue d’amour universel, elle aimait, au détriment de sa propre existence, tous les êtres vivants : humain, animal ou végétal. Les pathologies n’avaient pas de secret pour cette guérisseuse. Elle redonnait la santé et entourait de protection. Elle avait un don. Elle constatait avec abnégation : « J’existe pour les autres. C’est mon don de naissance. Même Là-Haut, je serai là. Éternellement. »
Retraité dans le sud de la France, natif de la Somme où s’est déroulée la célèbre bataille de 1916, Romain BRIERE petit-fils de Poilu, s’est toujours senti concerné par la Grande Guerre.
En allant sur la tombe de son grand-père en 2010, il découvre un procès-verbal d’abandon datant de 2008 pour une reprise de concession en 2011 sans avoir été contacté.
C’est de là que sont nées sa révolte et sa volonté de faire savoir ce qu’ont vécu les Poilus.
Son livre est une fresque de la Grande Guerre 1914-1918.
Le présent récit, qu’il qualifie d’imaginaire, illustre le talent d’écrivain de Robert Landi. Il y unit harmonieusement dans une composition très singulière, les caractères fondamentaux de la tragédie classique à ceux du drame romantique. La fatalité y dirige les destinées. Implacable, inexorable, elle conduit au sort funeste. Ce récit est-il complètement imaginaire ? Oui, dans sa mise en scène, mais à travers ses personnages, c’est l’auteur qui raconte certaines de ses expériences ou qui narre avec brio ses réflexions ou pensées sur la vie. Sa richesse de langage ne pourrait s’exprimer avec autant de justesse et de bonheur sans un ressenti profondément personnel et sincère. «Ainsi passe le temps» est un récit original, un texte émouvant que le lecteur saura apprécier.
L’idée de ces chroniques, lancée comme une boutade autour d’un repas d’anciens journalistes, s’est vite concrétisée, en allumant la flamme de l’écriture, jamais éteinte, mais parfois endormie.
En 2021, Alban Mauzac réalise son rêve grâce à l’Expédition Pelagos : il devient éco-aventurier. Il parcourt des centaines de kilomètres en kayak sur le sanctuaire Pelagos en Méditerranée, organise des ramassages de déchets avec les associations de la région et témoigne des dégâts causés par la pollution plastique en simultané sur les réseaux sociaux. Dans ce « journal de voyage », il dévoile la beauté fragile de la nature en photos et explique le pourquoi et le comment de nos pollutions humaines tout en proposant des alternatives accessibles à tout un chacun.
Mon rêve de devenir maman m’a poussée à adopter. En effet je savais dorénavant que je ne porterais jamais mon enfant dans mon ventre ; en revanche je le porterais dans mon cœur. Ce long combat, je l’ai mené seule en tant que célibataire. Il faut savoir que pour adopter, un agrément est nécessaire et obligatoire. Une fois ce sésame obtenu, j’ai su que mon enfant arriverait d’Haïti. Une petite fille de trois ans et demi, au joli prénom d’Angeline m’attendait. Ce furent des photos échangées, des appels téléphoniques… jusqu’au jour où l’impensable se produisit…le 12 Janvier 2010, ce terrible séisme. Angeline est une petite fille miraculée. Elle est restée sous les décombres pendant quatre longues journées et quatre longues nuits et a dû, à sa « sortie », être amputée d’une partie d’elle-même.
Fille du célèbre éditeur des surréalistes Eric Losfeld, l’auteur fait aussi partie de la famille Cogoni depuis de nombreuses années. Qui mieux qu’elle pouvait raconter la vie de ces trois frères, émigrés italiens dans les brumes du Nord de la France ? Cet ouvrage retrace leur parcours avec la plus grande sincérité. Par leur travail et leur ambition, ils ont gravi les marches du succès pour devenir premiers dans les hits parades.