Des Cogoni aux Sunlights, ma vérité de Chantal LOSFELD
Référence: L1020
17,00 €
TTC
Fille du célèbre éditeur des surréalistes Eric Losfeld, l’auteur fait aussi partie de la famille Cogoni depuis de nombreuses années. Qui mieux qu’elle pouvait raconter la vie de ces trois frères, émigrés italiens dans les brumes du Nord de la France ? Cet ouvrage retrace leur parcours avec la plus grande sincérité. Par leur travail et leur ambition, ils ont gravi les marches du succès pour devenir premiers dans les hits parades.
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Fille du célèbre éditeur des surréalistes Eric Losfeld, l’auteur fait aussi partie de la famille Cogoni depuis de nombreuses années. Qui mieux qu’elle pouvait raconter la vie de ces trois frères, émigrés italiens dans les brumes du Nord de la France ? Cet ouvrage retrace leur parcours avec la plus grande sincérité. Par leur travail et leur ambition, ils ont gravi les marches du succès pour devenir premiers dans les hits parades.
Retraité dans le sud de la France, natif de la Somme où s’est déroulée la célèbre bataille de 1916, Romain BRIERE petit-fils de Poilu, s’est toujours senti concerné par la Grande Guerre.
En allant sur la tombe de son grand-père en 2010, il découvre un procès-verbal d’abandon datant de 2008 pour une reprise de concession en 2011 sans avoir été contacté.
C’est de là que sont nées sa révolte et sa volonté de faire savoir ce qu’ont vécu les Poilus.
Son livre est une fresque de la Grande Guerre 1914-1918.
Ce livre est l’œuvre du père Pierre Bilard qui s’est mis au service des personnes détenues comme aumônier catholique à la maison d’arrêt de Dijon pendant 13 ans, jusqu’à ce qu’il soit atteint par la limite d’âge. Ses qualités d’homme de Dieu et d’homme de lettres l’ont conduit à entretenir un abondant courrier avec les prisonniers. C’est l’ensemble de ces témoignages écrits qu’il nous rapporte dans cet ouvrage avec beaucoup de simplicité, sans commentaires excessifs mais avec une grande vérité, laissant au lecteur la liberté de juger de la pertinence de ces témoignages. Ce livre confirme qu’en prison la quête spirituelle est très présente et suscite souvent l’admiration.
Ce petit personnage très attachant, fille aînée de Tatiana, vous séduira par sa spontanéité, sa gentillesse, son intelligence hors du commun. Effrontée, lucide, elle n’en est pas moins une peste qui fait l’unanimité autour d’elle. Sa fragilité, ses émotions à fleur de peau, sa maîtrise en toutes circonstances en font une adorable fillette qui ravira le cœur de Jeannot. Son défaut de langue, ses yeux de braise et ses pitreries vous feront passer de merveilleux moments de lecture. Junior est une surdouée heureuse de vivre… Mais, elle prendra une décision immédiate, radicale, qui va affoler son entourage, confrontée à une situation qu’elle n’accepte pas. L'émotion est au rendez-vous. Le rire aussi.
Le récit autobiographique de Philippe Gormond est de ceux qui font réfléchir sur la fragilité de l’existence car en définitive tout ne tient parfois qu’à un fil. Quand un accident de moto change le cours d’une vie. Celle d’un sportif convaincu. Page après page c’est une véritable ode à la résilience. La force mentale de ce passionné de basket-ball alors en fin d’études va lui servir pour rebondir. Même s’il a fallu passer le cap du déni puis de l’acceptation. Voilà pourquoi le titre de son livre « Ça pourrait être pire » traduit surtout un état d’esprit. Une quête pour continuer à vivre en transmettant de la « positive attitude » autour de soi…
Parcourir les routes du monde ! Pour découvrir d'autres horizons, d'autres valeurs, pour apprendre à mieux se connaître... Nous l'avons fait mon fils de 14 ans et moi, à moto entre Hyères et le cap Nord pendant 4 semaines.
Juin 1945 L’Ascanius, un bateau anglais, transport de troupes, pénètre dans le port de Marseille. Le navire accoste près du quai de la Joliette. À bord, un millier de rescapés des camps de déportation rejoignent leur pays d’origine. Parmi eux, Jean Perotti, un enfant de Marseille. Une jeune femme l’accompagne. Elle s’appelle Kotechka. Une Polonaise. Elle a recueilli Jean après son évasion de la citadelle de Lwow en Pologne. Ils s’aiment.
André TRIVES, enfant de Bab el Oued et fils du « Berger de Mostaganem », écrit pour retrouver la parole perdue. Une manière de rendre hommage aux modestes aïeux que l'histoire a humiliés par le mépris, la caricature et l'oubli. La force évocatrice de son style ne peut laisser indifférent. Ce livre raconte le retour de l’auteur à Bab el Oued, 54 ans après. Il était important pour lui de rappeler la vie en Algérie avant l’arrivée de la France en 1830 et telle qu’il l’a vécue jusqu’à l’Indépendance. L'auteur apporte des réponses aux interrogations des enfants de Pieds-Noirs ; ils n'ont plus à rougir du passé de leurs parents. « Bab el Oued pour la vie » n'est pas un livre comme les autres ; c'est un réel cri du cœur, bouleversant de vérité.
Vous ne pourrez plus jamais dire : « JE NE SAVAIS PAS ».
Que cela eut été voulu ou non, certaines vérités n'ont pas été suffisamment diffusées en France, ou ont été volontairement faussées. Il y en a assez des falsificateurs et des menteurs ! Revenant sur ce qu’on a appelé : « Colonisation », « Génocide de l’identité algérienne », « Opération du maintien de l’ordre »… L’auteur s’engage à faire éclater une vérité que l’on ne doit plus cacher.
« J’admire la façon dont vous savez donner vie aux moindres objets d’une maison, que vous parvenez à faire goûter presque physiquement. À vous lire, je sens l’odeur de l’entrée de Viazac, ou de sa cuisine. J’entends les bruits de l’étage, je reconnais les pas d’oncle Roger, je frissonne au vent qui balaie la terrasse… Il y a, dans votre façon d’écrire, une sorte de réalisme à la fois méticuleux et léger. Vous dites les choses avec une densité étonnante. Vos phrases, précises et nettes, semblent s’enchaîner à toute vitesse mais les termes en sont si exactement choisis – parce qu’intensément sentis – qu’elles contiennent une prodigieuse richesse descriptive, inaperçue en première lecture. On est pris, ensorcelé et c’est pourquoi on y revient...
Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.
Entre Tunis, Paris, Lyon, l’Europe et les États-Unis, Paul Dana nous prend par la main pour un parcours où la joie, le bonheur et l’optimisme, ses amitiés, ses amours, ses rencontres et ses mentors restent la composante principale. Les Soleils de ma vie, récit autobiographique haut en couleurs et en saveurs, nous éclaire et nous réchauffe tels des rayons de soleil tout au long de ses multiples chemins empruntés. Il s’agit là d’une belle leçon de vie, remplie d’anecdotes et d’enseignements, guidée par une constante résilience.
Pour quelle raison demander aux amis du Ruisseau de la ville d’Alger, de se souvenir, de leur passage de l’Algérie, à la France ? N’ont-ils pas essuyé suffisamment de larmes pour les solliciter à nouveau ?