René Caplan renoue avec le profil psychologique de ses personnages et le suspens haletant de ses missions de police secours. Les histoires s’enchaînent. Une affaire de maltraitance sur mineur avec une mère désespérée mais… soupçonnée ! Un père prêt à tout pour obtenir la garde de ses enfants. Des violences conjugales qui aboutissent à une vendetta entre deux clans rivaux. Les règlements de comptes se succèdent. Les hommes de la nuit veillent.
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René Caplan renoue avec le profil psychologique de ses personnages et le suspens haletant de ses missions de police secours. Les histoires s’enchaînent. Une affaire de maltraitance sur mineur avec une mère désespérée mais… soupçonnée ! Un père prêt à tout pour obtenir la garde de ses enfants. Des violences conjugales qui aboutissent à une vendetta entre deux clans rivaux. Les règlements de comptes se succèdent. Les hommes de la nuit veillent.
« À quoi bon chercher comment a été préparé le crime si nous ne pouvons établir qu’il y en a eu un ? ». Lorsque le commissaire Dupin pose cette question, il résume la complexité de sa sixième enquête sur la côte d’Azur. Pour lui « il n’y a pas que le résultat qui compte ». Ne rien trouver, ce n’est pas échouer : c’est éliminer le doute et il faut donc toujours persévérer. Pourtant, lorsque d’autres affaires surgissent, il est inévitablement conduit à préconiser un « non-lieu ». Mais il ne renonce pas pour autant à son expression favorite selon laquelle « il n’y a pas de crime parfait, il n’y a que des enquêtes ratées ».
Cinq ans qu’Inès attendait un signe de son père, le Général, pour qu’elle revienne au Domaine. Enfin, elle avait reçu cette lettre tant espérée, elle allait retrouver ce père, si dur, mais aussi sa mère, si présente même après leur divorce, et son frère, qui lui avait tant manqué, malgré leurs échanges téléphoniques.
16 années se sont écoulées. « IL » tente de se reconstruire. Alors que son quotidien de baqueux du 9-3 le plonge dans les ténèbres de l’humanité, une découverte inattendue va l’obliger à mener une enquête qui dérange, où la noirceur des âmes ne permet plus de discerner à qui se fier.
Pourtant, toute cette histoire semble bel et bien avoir commencé en l’an 41 après J.-C.
Quand l’envie de justice se retrouve anéantie par la quête du pouvoir absolu, l’impensable devient possible.
Alors que le suicide de l’un de ses collaborateurs, survenu la semaine précédente, ne fait aucun doute, l’un des avocats les plus médiatisés de Marseille demande aux policiers d’ouvrir une enquête préliminaire et de revoir les conclusions de leurs dernières investigations. Se basant sur une lettre anonyme qu’il a reçue à son domicile, il laisse supposer non seulement que son associé ne s’est pas suicidé, mais aussi qu’il est le prochain sur la liste. Malgré ses réticences, le commandant Vincent Alguazil, secondé par les lieutenants Dany Limier et Nic Arcane, va reprendre l’enquête.
En province, il est de charmantes bourgades, paisiblement endormies au hasard d’un cours d’eau, qui peuvent parfois receler de terribles secrets, enfouis sous la poussière accumulée au fil du temps. Une petite étincelle, un petit fait parfois d’apparence insignifiante, peuvent faire rejaillir des passés que l’on croyait oubliés et profondément enterrés, des rancœurs que l’on pensait éteintes, de sombres histoires que l’on n’ose même pas murmurer du bout des lèvres dans l’obscurité d’un confessionnal. Quand les secrets ressurgissent, le meurtre deviendrait-il le seul moyen de régler à jamais, quelques comptes en souffrance ? En héritant à Saint-Aubin d’une vieille maison qu’elle voulait restaurer, Nathalie Forest ne savait pas où elle allait mettre les pieds.
Bruno, dont le grand-père a été rapatrié du Maroc, vit dans les beaux quartiers. Chaïma vient de banlieue. Son grand-père s’est battu pour l’indépendance du Maroc. Rien : ni leur éducation, ni leurs traditions ne les destinent à se rencontrer. Pourtant, ils vont se retrouver face à face. Après s’être méfiés l’un de l’autre, ils vont se chercher et finalement s’aimer. Ils devront payer leur amour au prix fort. Sur fond de violence des banlieues, de racisme ou d’intolérance, Chaïma est avant tout l’histoire de deux jeunes qui décident, envers et contre tous, d’aller de l’avant, aussi loin que possible, ensemble. C’est aussi un témoignage réaliste sur notre époque en même temps qu’une idylle si pure et si belle qu’elle paraît démodée.
« Comme mû par un sixième sens, il se tourna brutalement et aperçut la silhouette revêtue d’un ample imperméable sombre ; la tête recouverte d’un casque de moto intégral qui masquait ses traits. Horace sursauta et, subitement, prit peur. Des gouttes de sueur inondèrent son front et il ressentit des picotements désagréables le long de sa colonne vertébrale. Il sut à ce moment précis qu’il allait mourir ! »
Madame Bertrand, depuis qu’elle est veuve, se sent bien seule. Aussi occupe-t-elle ses journées à épier ses voisins. Et justement, il se passe de drôles de choses dans son lotissement.
Giufà est un personnage fictif qui apparaît dans les récits anciens de la tradition orale en Sicile. Qui a tué Giuseppe Fafa qu’on surnommait Giufà ? Dans ce village de Sicile près d’Agrigente, tout le monde se pose la question mais personne n’ose chercher la réponse. Seule La Nonna accompagnée de son petit-fils a décidé de mener l’enquête. Mais qui était réellement la victime ? Un fou du village, un bouffon du roi ou un être secret et énigmatique…
Mon premier est une fratrie marseillaise qui cherche une mamie sicilienne et trouve un papyrus. Mon deuxième est un philosophe sicilien du Ve siècle Av. J.-C. dont la doctrine physique sur les quatre éléments va fonder sa croyance en la transmigration des âmes. Mon troisième est un cathare anonyme qui en 1209 écrit une lettre posthume codée dans un monastère pas très catholique. Mon quatrième est un ordre secret antique qui va révéler le mystère de la plupart des montres et horloges de notre continent qui arbore le chiffre IIII et non IV. Mon cinquième est une association clandestine et criminelle d'individus sans religion qui n'hésite pas à faire appel à un cardinal pour recourir au meurtre et à l'intimidation.
Qui était cet homme retrouvé très gravement blessé le 17 juillet 1997 au pied de la tour Fructidor A7, cité Berthe à La Seyne, d’où il avait chuté ?
René Caplan renoue avec le profil psychologique de ses personnages et le suspens haletant de ses missions de police secours. Les histoires s’enchaînent. Une affaire de maltraitance sur mineur avec une mère désespérée mais… soupçonnée ! Un père prêt à tout pour obtenir la garde de ses enfants. Des violences conjugales qui aboutissent à une vendetta entre deux clans rivaux. Les règlements de comptes se succèdent. Les hommes de la nuit veillent.