HISTOIRE et petites histoires de FRANCE de Michel GLAIZE
Référence: L1576
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Que ces quelques anecdotes parsemant une chronologie parfois rébarbative, aient le bonheur d’intéresser nos enfants. Qu’ils comprennent que leurs racines, leur identité se trouvent dans ce roman fleuve légué par nos Aïeux.
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Que ces quelques anecdotes parsemant une chronologie parfois rébarbative, aient le bonheur d’intéresser nos enfants. Qu’ils comprennent que leurs racines, leur identité se trouvent dans ce roman fleuve légué par nos Aïeux.
L’histoire de France est un roman et les petites histoires de France passionnantes. Elles font partie de notre mémoire collective, souvent tronquées, parfois édulcorées, jamais approfondies. Qui s’est posé la question de savoir comment les hommes du paléolithique réalisaient ces chefs-d’œuvre d’art pariétal ? Quelles ont été les conséquences de l’épisode du vase de Soisson ? Que s’est-il passé au cours des 70 ans d’existence du bagne en Guyane ? L’auteur tente de répondre à ces questions en se référant à des sources sûres et complète nos connaissances en développant chacun des 31 sujets choisis.
Le surnom de « Pingouin », attribué au personnel de l’Aéronautique Navale, remonte à l’histoire de nos premiers porte-avions. Ce sobriquet ironique et amical, donné certainement par des matelots du porte-avions Béarn devant les difficultés qu’éprouvaient les marins aviateurs à faire décoller leurs engins, a traversé le temps. Toujours d’actualité, l’auteur est fier de le porter et il coiffe la figurine reçue en fin de carrière successivement d’un bonnet, d’un casque et d’une casquette. Un résumé parlant de ses 38 années passées au service de la France.
L’auteur évoque avec force et précisions des faits marquants de l’histoire des Français d’Algérie, pourtant restés dans l’oubli. Ce quatrième ouvrage aborde la violence et les atrocités des dramatiques évènements survenus entre le 23 mars et le 5 juillet 1962, 105 jours d’humiliations, 105 jours de souffrances inexpliquées, 105 jours de lâcheté pour assassiner un peuple pacifiste sans défense. C’est dans cet univers de massacres et de turpitudes qu’une belle histoire d’amour voit le jour entre Serge, un jeune parachutiste parisien, déserteur de l’arme française, venu apporter son aide à l‘OAS en avril 1962 et Paula, une fille de Bab el Ouied. L’idylle sera brève mais intense…
Herman Wijns, Belge de langue flamande né en 1931 a, dès son plus jeune âge, été gratifié d’une foi si solide qu’elle a rapidement dépassé celle de ses parents. « Prêtre ou rien », voilà ce qu’il voulait devenir dès sa sixième année. Excellent camarade, vif et généreux, courageux, héroïque même, doté d’une prescience étonnante, il a connu dans sa courte vie des épisodes dignes d’un destin exceptionnel. Aucun servant de messe n’a, sans doute, dans toute l’histoire de l’Eglise, été aussi dévoué et compétent. Il meurt à dix ans à la suite d’un accident. Sa Cause de béatification semble enfin sur le point d’être ouverte.
L’auteur, Daniel Casemode (né le 6 octobre 1944 à Reims), pilote d’avions légers et d’hélicoptères, a découvert la montgolfière en 1985 au sein de l’association Aérostatique du Nord de la France et y a passé son brevet de pilote. À la retraite, après avoir volé dans de très nombreux pays à travers le monde, il décide de se poser un peu et, devant la richesse du patrimoine aérostatique local, entreprend des recherches dans le Nord et le Pas-de-Calais afin d’écrire l’histoire de l’aérostation de cette région, de ses débuts en 1783 jusqu’à nos jours.
La Cristiada (1926-1929) est un épisode dramatique encore peu connu de l’histoire du Mexique. Seulement quelques ouvrages de langue française lui ont été consacrés et le film Les Cristeros a été chichement diffusé en France. José Sanchez del Rio, qui en est l’un des deux principaux personnages avec le général Gorostieta, interprété par Andy Garcia, s’était engagé à quatorze ans pour défendre la liberté religieuse. Fait prisonnier, il a été victime de mauvais traitements pendant trois jours et finalement martyrisé. Benoît XVI l’a béatifié en 2005 et il a été canonisé par le pape François le 16 octobre 2016.
Depuis des siècles, les rixes entre dévorants et gavots, membres d’associations compagnonniques rivales, ensanglantent le pays. Un matin de septembre 1854, La Ferveur, dignitaire dévorant, est retrouvé par l’impératrice empalé sur le pique-cierge de l’église de Vic, en Berry. Le représentant des gavots, Agricol Perdiguier, n’a que quelques jours pour éviter une sévère répression de l’Empire en prouvant que le meurtre n’est pas la conséquence de cette adversité. Le charisme de son amie George Sand, la science de Gustave Flaubert, le génie de Delacroix, alliés à la sagesse traditionnelle du compagnon, ne seront pas de trop pour résoudre l’enquête et sauver le peuple de la tyrannie.
Les ponts d’Arles ont à ce point ponctué la vie passée et présente de la cité qu’ils méritaient d’être associés à son histoire. C’est chose faite avec ce livre. Selon ses goûts, le lecteur le parcourra comme un récit pittoresque et coloré, ou s’informera du détail technique. Il permettra certainement d’apprécier toutes les difficultés de franchissement du Rhône et du Petit-Rhône depuis l’époque des bacs jusqu’aux ponts contemporains. Les caractéristiques des ouvrages construits y sont présentées successivement dans le contexte technique de leur époque.
Le surnom de « Pingouin », attribué au personnel de l’Aéronautique Navale, remonte à l’histoire de nos premiers porte-avions. Ce sobriquet ironique et amical, donné certainement par des matelots du porte-avions Béarn devant les difficultés qu’éprouvaient les marins aviateurs à faire décoller leurs engins, a traversé le temps. Toujours d’actualité, l’auteur est fier de le porter et il coiffe la figurine reçue en fin de carrière successivement d’un bonnet, d’un casque et d’une casquette. Un résumé parlant de ses 38 années passées au service de la France.
La vie tourmentée de Victor Tournel nous renvoie aux sources de ce qu’il faut bien appeler l’épopée industrielle et sociale d’une ville qui aujourd’hui encore, tout en allant de l’avant, cherche ses marques, orpheline de la grande construction navale qui pour l’essentiel a fait d’elle ce qu’elle est devenue. Ce nouveau roman de Francis Lyon nous transporte de la IIe à la IIIe République, au travers du vécu d’un petit port de pêche du bord de la Méditerranée, de la fin des petits chantiers, en passant par l’épidémie de choléra, la vague d’immigration italienne, la première grève et les premiers affrontements de 1872, événements à la suite desquels “ rien ne serait plus comme avant ”...
En 1811, Flaugergues découvre une des comètes les plus spectaculaires de l’Histoire. Elle est désignée la “Comète impériale”. Son éclat et sa longévité durant son règne inspirent l’Empereur. L’Aiglon est né cinq jours avant sa découverte, et lui-même une semaine après la grande comète de 1769, coïncidence soulignée par un récent mémoire de Messier en 1808.
Son précédent passage remontant à Ramsès II, Napoléon y voit un trait d’union avec l’Egypte qui le fascine depuis son expédition, un passage de flambeau, voire un signal céleste pour lancer à l’été 1812 sa campagne de Russie...
C’est avec un intérêt passionné, traversé d’intrigues, d’allégresse et de désespoir, que l’auteur tisse une histoire tumultueuse et toute brûlante d’amour avec les tragiques évènements de Toulon pendant la Terreur, en y mêlant scrupuleusement les références authentiques, les personnages et les lieux dits.
En novembre 1930, Georges Bernanos, tout auréolé d’une récente et tonitruante renommée littéraire, arrive dans le Var avec sa nombreuse tribu. Il le quittera définitivement en septembre 1946, après trois séjours alternés dans son « cher Toulon », puis à Hyères et Bandol, totalisant près de six années. Séjours entrecoupés de deux expériences majeures qui éprouveront l’homme et sa pensée : aux Baléares au cœur de la guerre civile espagnole qui le révolte, au Brésil lors de la deuxième guerre mondiale, où il devient depuis l’étranger une grande voix de la France résistante.
Alexandre Briano retrace, à l’aide de témoignages, de documents et d’articles de presse ces neuf mois d’élaboration d’une campagne d’élection municipale toulonnaise, entre juin 1976 et mars 1977. Elle aurait pu être d’une banalité n’intéressant qu’une infime partie des Toulonnais. A priori, la ville semblait vouloir reconduire au mieux l’équipe municipe sortante ou, au pire, la liste de gauche PCF-PS. Mais un ver fut introduit dans le fruit : la proposition de responsables politiques parisiens de vouloir, dans certaines villes, ouvrir les listes à d’autres opposants tels que les gaullistes de gauche. À Toulon, avec la proposition de faire participer le vice-amiral d’escadre Antoine Sanguinetti, dit Tony Carabine, la zizanie durant de longs mois s’installa.
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