L’histoire de France est un roman et les petites histoires de France passionnantes. Elles font partie de notre mémoire collective, souvent tronquées, parfois édulcorées, jamais approfondies. Qui s’est posé la question de savoir comment les hommes du paléolithique réalisaient ces chefs-d’œuvre d’art pariétal ? Quelles ont été les conséquences de l’épisode du vase de Soisson ? Que s’est-il passé au cours des 70 ans d’existence du bagne en Guyane ? L’auteur tente de répondre à ces questions en se référant à des sources sûres et complète nos connaissances en développant chacun des 31 sujets choisis.
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L’histoire de Peyrolles-en-Provence est intimement liée à celle de la Durance, comme l’origine de son nom ancien « Petrolis » qui trouve ses racines dans le mot latin désignant les galets du fleuve provençal. Peyrolles-en-Provence occupe depuis toujours une position privilégiée sur la route des Alpes qui se profilent au-delà du défilé de Mirabeau. À son époque, le Roi René en fit sa résidence d’été et contribua à sa fortification et son embellissement. Vous découvrirez son château, sa chapelle du Saint Sépulcre, ses autres monuments et la vie de cette cité depuis ses origines. Ainsi l’histoire de notre village se transmettra à nos futures générations.
Le surnom de « Pingouin », attribué au personnel de l’Aéronautique Navale, remonte à l’histoire de nos premiers porte-avions. Ce sobriquet ironique et amical, donné certainement par des matelots du porte-avions Béarn devant les difficultés qu’éprouvaient les marins aviateurs à faire décoller leurs engins, a traversé le temps. Toujours d’actualité, l’auteur est fier de le porter et il coiffe la figurine reçue en fin de carrière successivement d’un bonnet, d’un casque et d’une casquette. Un résumé parlant de ses 38 années passées au service de la France.
Que ces quelques anecdotes parsemant une chronologie parfois rébarbative, aient le bonheur d’intéresser nos enfants. Qu’ils comprennent que leurs racines, leur identité se trouvent dans ce roman fleuve légué par nos Aïeux.
C’est avec un intérêt passionné, traversé d’intrigues, d’allégresse et de désespoir, que l’auteur tisse une histoire tumultueuse et toute brûlante d’amour avec les tragiques évènements de Toulon pendant la Terreur, en y mêlant scrupuleusement les références authentiques, les personnages et les lieux dits.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
L’œuvre du Saint-Esprit a contribué à la construction du seul pont en maçonnerie existant au XVIIIe entre Lyon et la Méditerranée. Seul lien entre les deux rives du Rhône à une époque où le moindre déplacement correspondait à une véritable aventure, cet ouvrage d’art a ponctué la vie passée de la région. Pour preuve, la ville de Saint-Saturnin-du-Port a été rebaptisée Pont-Saint-Esprit. Après sept siècles de solitude sur ce site exceptionnel, l’ancien édifice a partagé l’espace avec un nouveau pont. L’évolution des conditions de circulation routière a rendu indispensable la réalisation d’un nouvel ouvrage d’art à Pont-Saint-Esprit en 1996.
Le 1er août 1798, un funeste évènement à caractère naval devait donner un sévère avertissement au fougueux Bonaparte, jeune général, parti à la conquête de l’Égypte (bataille d’Aboukir). Il se trouvait grand responsable des affaires militaires terrestres. Le sommet des pyramides a entendu le fameux «Quarante siècles vous contemplent » s’adressant aux braves fantassins des sables. La formule est adroite, claire, envahissante jusqu’à troubler l’esprit du soldat de base et bien d’autres.
Cet ouvrage parachève plusieurs années de travail sur une ville que l’auteur connaît bien. Il nous fait sortir des sentiers battus avec certains épisodes de la vie de la Cité pas toujours abordés dans d’autres ouvrages ou, parfois, insuffisamment traités, rectifiant au passage des erreurs ou des idées reçues.
Herman Wijns, Belge de langue flamande né en 1931 a, dès son plus jeune âge, été gratifié d’une foi si solide qu’elle a rapidement dépassé celle de ses parents. « Prêtre ou rien », voilà ce qu’il voulait devenir dès sa sixième année. Excellent camarade, vif et généreux, courageux, héroïque même, doté d’une prescience étonnante, il a connu dans sa courte vie des épisodes dignes d’un destin exceptionnel. Aucun servant de messe n’a, sans doute, dans toute l’histoire de l’Eglise, été aussi dévoué et compétent. Il meurt à dix ans à la suite d’un accident. Sa Cause de béatification semble enfin sur le point d’être ouverte.
Montségur, mars 1244. Durant la nuit précédant le massacre, trois parfaits s’échappent de la citadelle perchée sur son nid d’aigle, « la synagogue de Satan » comme l’appelait le pape. Leur mission : porter à Byzance, l’ennemie de Rome, trois livres qui, rassemblés, permettraient de retrouver la cachette du trésor des cathares et des textes sacrés embarrassants pour l’Église catholique. Trois cents ans plus tard, François de Malesterre entre fortuitement en possession de l’un de ces livres. Que sont devenus les deux autres ? Pour résoudre cette énigme et par dépit amoureux, François, assisté de deux compagnons, essaiera de remonter la piste des fugitifs pour retrouver ces manuscrits qui semblent n’être jamais parvenus à leur destinataire.
Après “Saint Tropez, histoires des gens d'ici”, Jean-Charles MEYER nous livre dans cet ouvrage une suite de ces histoires tropéziennes. Pour cela il s'est adjoint la mémoire du village, François COPPOLA. Ils ont travaillé de concert, à quatre mains, afin de poursuivre en un nouveau tome, cette saga des tropéziens et de leurs amis résidents ou de passage. C'est ainsi qu'au fil des pages vous pourrez découvrir comment en 1937, la Bravade faillit exploser, comment les peintres Georges Cotos et Dany Lartigue ont posé sur la toile leurs magnifiques oeuvres, l'origine de la fabrication des sandales tropéziennes, les vespasiennes au Conseil municipal et bien d'autres aventures telle le Grand Prix cycliste de la place des Lices, survenues dans ce "petit" village connu du monde entier.
Une marée rouge déferle sur la vieille Russie, brisant l’ordre établi, les classes sociales et les familles. Pourtant, l’automne s’annonçait prometteur chez les Vassiliev, vieille famille de la noblesse russe.
Pour notre plaisir, l’auteur nous fait partager sa passion et ses connaissances sur la capitale des Gaules. Il y réussit fort bien grâce à une écriture aisée, savante quand il le faut, mais jamais avec excès, parfois primesautière dans le meilleur sens du terme et toujours adaptée aux sujets traités. Ceux-ci se révèlent d’une grande variété : tranches d’Histoire ou anecdotes marquantes, portraits de hautes figures lyonnaises se dévouant au service de leurs semblables. Puisant aux meilleures sources historiques et archivistiques, en les confrontant au besoin, ce récit alerte, enrichi de notes et d’encadrés mettant certains faits en perspective de l’Histoire de France, nous fait découvrir des aspects inédits sur la Ville et sur quelques-uns de ses citoyens.
Une série de cassettes découvertes au cours d’un déménagement permettent de se remémorer un défunt racontant son existence particulière lors de la dernière guerre mondiale.
L’auteur évoque avec force et précisions des faits marquants de l’histoire des Français d’Algérie, pourtant restés dans l’oubli. Ce quatrième ouvrage aborde la violence et les atrocités des dramatiques évènements survenus entre le 23 mars et le 5 juillet 1962, 105 jours d’humiliations, 105 jours de souffrances inexpliquées, 105 jours de lâcheté pour assassiner un peuple pacifiste sans défense. C’est dans cet univers de massacres et de turpitudes qu’une belle histoire d’amour voit le jour entre Serge, un jeune parachutiste parisien, déserteur de l’arme française, venu apporter son aide à l‘OAS en avril 1962 et Paula, une fille de Bab el Ouied. L’idylle sera brève mais intense…