DES CITES ANCIENNES ET MAUDITES de...
Il cherchait son père. En se promenant ce matin-là, sur la plage, il pensait à la Méditerranée dans son acception plurielle, aux Méditerranées donc, et aux Suds. Très différents, ces mondes-là.
Il cherchait son père. En se promenant ce matin-là, sur la plage, il pensait à la Méditerranée dans son acception plurielle, aux Méditerranées donc, et aux Suds. Très différents, ces mondes-là.
L’auteur évoque avec force et précisions des faits marquants de l’histoire des Français d’Algérie, pourtant restés dans l’oubli. Ce quatrième ouvrage aborde la violence et les atrocités des dramatiques évènements survenus entre le 23 mars et le 5 juillet 1962, 105 jours d’humiliations, 105 jours de souffrances inexpliquées, 105 jours de lâcheté pour assassiner un peuple pacifiste sans défense. C’est dans cet univers de massacres et de turpitudes qu’une belle histoire d’amour voit le jour entre Serge, un jeune parachutiste parisien, déserteur de l’arme française, venu apporter son aide à l‘OAS en avril 1962 et Paula, une fille de Bab el Ouied. L’idylle sera brève mais intense…
Un appel de nuit. Sous le pont d'un petit village varois, un homme est sauvé du froid. Il a 38 ans et plus de nom... Le Docteur Adèle Saint-Paul, intriguée par l'étrange patient, découvre qu'il tait un ahurissant secret. Mais qui saura l'en délivrer ? Le Professeur Fourier et sa science, ou la bonne copine Muguette et son tarot ? A moins que ce ne soit la vieille madame Gauthier, doyenne de l'humanité ? Un nouveau Diogène, ami des bornes kilométriques, arpente la beauté du maquis provençal. Osez le suivre sur les chemins bordés de santolines, contempler les constellations d'un ciel peluché d'étoiles, acheter un chapeau, et pourquoi pas avec lui découvrir « le pot aux roses » de la vie ?
Trois textes apparemment très différents, mais qui relèvent pourtant du même esprit ; l’histoire familiale, voyage – même raté – mariage joyeux et mépris des idées reçues.
« La File d’attente », titre énigmatique pour certains, approprié pour d’autres. Comment rester impassible face aux souvenirs, aux interrogations et surtout aux « coups de gueule » de l’auteur ? Un ouvrage qu’il faut parfois lire au deuxième degré mais aussi avec jubilation, tant il interpelle sur de nombreux sujets en laissant la porte ouverte aux réactions de chacun, à l’échange et à la communication. Nous n’en dévoilerons pas plus et vous laissons vous faire votre propre opinion… « C’était hier l’automne… »
Manhattan, printemps 1956. Matthew Olt meurt écrasé dans un parking souterrain de la ville. L’œuvre d’un chauffard selon la police du 13e precinct, meurtre délibéré selon un SDF qui squatte les lieux et a assisté à la scène, mais qui ne veut pas témoigner. D’ailleurs, avec son pedigree serait-il crédible ? Qui pouvait bien en vouloir à un ingénieur du service municipal des Eaux ?
Après avoir publié quinze livres aux Presses du Midi, et quelques autres ouvrages chez d’autres éditeurs, Jacques Atlan entreprend ici d’éclairer plusieurs étapes de son itinéraire. Comment de la forte sympathie pour la non-violence de Gandhi, il est passé, sous l’influence de la révolution culturelle chinoise (dont à l’époque, on ne connaissait pas le terrible coût humain) à l’adhésion à la violence révolutionnaire.
« Comme mû par un sixième sens, il se tourna brutalement et aperçut la silhouette revêtue d’un ample imperméable sombre ; la tête recouverte d’un casque de moto intégral qui masquait ses traits. Horace sursauta et, subitement, prit peur. Des gouttes de sueur inondèrent son front et il ressentit des picotements désagréables le long de sa colonne vertébrale. Il sut à ce moment précis qu’il allait mourir ! »
2021 – Junior, treize ans, va vous entraîner dans de folles aventures. Un livre émouvant, un livre d’avant-garde, révolutionnaire, visionnaire. L’extraordinaire mémoire de Junior : la peur de ses parents, de Charlotte et Félix, du Professeur. Ses sentiments pour son Jeannot, son seul et unique amour. Un éclectisme incroyable. Vous serez tenu en haleine avec ses nombreux rebondissements. L’humour et le rire sont toujours là.
Employé de banque sans envergure, Lucien Domiti ne connaît que la frustration, la solitude et le harcèlement de son supérieur. Sa vie bascule soudain lorsqu’une fortune inespérée lui donne les moyens de prendre sa revanche. Mais il y a un prix à payer et le créancier se révèle être un surprenant ancêtre, Neron le prince sanguinaire.
Des poilus marqués à jamais, des héros anonymes, des faits méconnus, et puis des commémorations dignes ou mouvementées.
avertissement
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !