Ce recueil n’a pas la prétention de livrer une vue exhaustive de Toulon. Il n’est pas non plus une visite des plus beaux sites de la ville, encore moins une exposition de clichés artistiques. Il est le révélateur du beau au quotidien pour qui sait regarder. A travers ces photos, le lecteur percevra l’âme de la cité toulonnaise teintée de multiples couleurs… Le bleu de la mer et du ciel, le blanc des tenues d'apparat des marins, le rouge et noir qui fait la fierté de ses habitants. Entre sa maison et son lieu de travail, l’homme qui s’expose en ces pages se transforme au fil des jours en photographe-habitant pour saisir à la volée le parcours de sa réalité au cœur de la vieille ville et de sa rade.
L’ivresse du quotidien. Ce recueil n’a pas la prétention de livrer une vue exhaustive de Toulon. Il n’est pas non plus une visite des plus beaux sites de la ville, ni seulement une exposition de clichés artistiques. Cet ouvrage est un révélateur de la beauté de la vielle ville pour qui sait regarder. Entre sa maison et son lieu de travail, l’auteur devient photographe-habitant pour saisir à la volée le parcours de sa réalité au cœur de la vieille ville. Il capte alors l’extraordinaire de sa réalité et souhaite habiter sa ville pour y percevoir le reflet de son âme. Les photos de cet ouvrage, tantôt en noir et blanc, tantôt en couleur, vibrent d’une extrême densité. Elles témoignent à elles seules que la beauté se livre à qui souhaite l’accueillir.
La pétanque c'est avant tout une ambiance, véhiculée sur les terrains par ses champions ou par ses anonymes. Le jeu décontracté et chambreur de Marco Foyot, la rigueur de Christian Fazzino, le charisme de Philippe Quintais ou le pur talent de Dylan Rocher ont beaucoup fait pour elle. De ces joueurs élevés au rang de légendes par la télévision aux simples amateurs qui jouent pour le plaisir, il n'y a pourtant qu'un pas que ce livre franchit allègrement, appareil photo en bandoulière. Car la pétanque est avant tout un grand sport populaire qui se joue partout, des petits terrains intimistes aux carrés d'honneur des grandes compétitions internationales. A l'ombre ou en plein cagnard. Avec ou sans spectateurs.
L’histoire des pochettes de disques s’est développée selon diverses modes liées à l’époque, qu’elles soient photographiques ou illustrées. Les pin-ups dessinées ont toujours capté et captivé les regards. Ainsi quoi de plus normal qu’elles se soient retrouvées en guise d’appât, en embellissant les pochettes de disques. Le présent ouvrage représente une anthologie non exhaustive des pochettes de disques ou livrets de CD ornés d’une pin-up, le choix esthétique se limitant aux œuvres peintes ou dessinées, à l’exclusion de toutes photographies.
Les modèles présentés sur des mannequins de 70 cm de hauteur (échelle ½) ont été reconstitués en majorité d’après des costumes authentiques gracieusement prêtés et portés dans la région varoise. Des femmes de la haute bourgeoisie, à l’occasion de déplacements vers la capitale rapportaient la mode parisienne. Celle-ci se diffusait par les couturières qui s’en inspiraient pour habiller la bourgeoisie locale. Selon la classe sociale, on employait des tissus et des garnitures de dentelles et rubans, plus ou moins riches et abondants. J’ai bien entendu respecté la façon d’assemblage de chaque époque. Chaque modèle représente entre 100 et 150 heures de travail.
L’histoire des pochettes de disques s’est développée selon diverses modes liées à l’époque, qu’elles soient photographiques ou illustrées. Les pin-ups dessinées ont toujours capté et captivé les regards. Ainsi quoi de plus normal qu’elles se soient retrouvées en guise d’appât, en embellissant les pochettes de disques. Le présent ouvrage représente une anthologie non exhaustive des pochettes de disques ou livrets de CD ornés d’une pin-up, le choix esthétique se limitant aux œuvres peintes ou dessinées, à l’exclusion de toutes photographies.
Tamerlan, Samarkand, Marco Polo et la légendaire route de la soie… Que de sujets, que d’images qui ont alimenté les rêves et l’imaginaire de notre enfance ! L’Ouzbekistan, avec ses vastes plaines bordées par la chaîne du Pamir, de l’Indu Kouch, tout proche de l’Afghanistan, voit renaître ses cités légendaires : Samarkand, Boukhara, Khiva. Entre photos et aquarelles, Robert Audiffren nous fait découvrir ce pays à nul autre pareil qui a su garder son authenticité aussi bien architecturale que vestimentaire ou gastronomique.