Les particules délicates persévéraient à éviter les faux pas. La suspension dans l’air était leur vie. Le toucher du moindre objet les transformait en poussière. Près de la porte d’entrée, un aiguillon s’ingéniait à embrasser une framboise.
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Les particules délicates persévéraient à éviter les faux pas. La suspension dans l’air était leur vie. Le toucher du moindre objet les transformait en poussière. Près de la porte d’entrée, un aiguillon s’ingéniait à embrasser une framboise. Il habitait sur la même ronce qu’elle, mais n’arrivait pas à l’atteindre. Alors, les yeux baissé et sur un ton d’infériorité pour éviter le moindre risque d’apparaître méchante ou insolente, la femme qui faisait briller le parquet dit à la femme sur laquelle brillaient des bijoux précieux : « Personne n’échappe au destin. » Le jeu commençait. Ni l’un ni l’autre ne connaissaient la façon dont les Egyptiens avaient construit les pyramides. Mais tous les deux maîtrisaient l’architecture nécessaire pour bâtir un empire. Kopeleff sourit plus fort. Il savait comment devenir le seul empereur. Les petits cristaux d’eau congelés avaient hâte de cacher ce corps transi et l’espoir pénible dans les yeux. Pour préserver la réputation de la neige. Et n’être que des flocons de neige féeriques dans un décor féerique, blanc et propre.
Jadis, chaque village de Provence avait un enchanteur. À cette même époque, survenait un terrible phénomène. Les pouvoirs magiques, jusque-là bien gardés, ne l’étaient plus. Ils se retrouvaient à la merci de toutes les convoitises. D’après les chasseurs d’esprits maléfiques, le salut viendrait d’un petit garçon. Seulement, ce sauveur s’avérerait atteint d’une maladie compliquée. Pour la première fois, le sort dépendrait d’un enfant à la santé vacillante. Or, ses amis et lui étaient des intrépides. L’aventure s’annonçait pleine de surprises.
Montségur, mars 1244. Durant la nuit précédant le massacre, trois parfaits s’échappent de la citadelle perchée sur son nid d’aigle, « la synagogue de Satan » comme l’appelait le pape. Leur mission : porter à Byzance, l’ennemie de Rome, trois livres qui, rassemblés, permettraient de retrouver la cachette du trésor des cathares et des textes sacrés embarrassants pour l’Église catholique. Trois cents ans plus tard, François de Malesterre entre fortuitement en possession de l’un de ces livres. Que sont devenus les deux autres ? Pour résoudre cette énigme et par dépit amoureux, François, assisté de deux compagnons, essaiera de remonter la piste des fugitifs pour retrouver ces manuscrits qui semblent n’être jamais parvenus à leur destinataire.
Un homme égorgé dans les toilettes du TGV Nice-Paris. Une polémique qui défraye la chronique en Provence : la ligne à grande vitesse doit traverser le beau pays varois et, pour certains, dénaturer ses paysages typiques. Un gros bonnet de la mafia russe qui tire d’étranges ficelles. Un tueur en série qui n’en est peut-être pas vraiment un. Enquête difficile pour le capitaine Félicien Aubin et ses adjoints de la PJ toulonnaise, marqués par un terrible drame lors d’une affaire précédente. Dans ce 5e opus de la série, on retrouve les personnages familiers, attachants. Ils évoluent dans des lieux bien réels (la côte varoise et l’arrière-pays) et dans un contexte sociétal d’actualité (le projet de ligne à grande vitesse entre Marseille et Nice).
Justine et Clara, deux sœurs au tempérament opposé, passent leur enfance dans un climat de rivalités permanentes, au grand désarroi de leurs parents. Pourtant, à l'adolescence, un fait majeur va les rapprocher et les rendre enfin complices. Que s'est-il passé de si important pour provoquer un tel bouleversement et pousser par la suite Justine à s'expatrier ? Malgré le déchirement éprouvé, celle-ci ne trouvera en effet que cette solution radicale pour parvenir à s'interroger sur le sens réel de sa vie et accomplir enfin ses rêves. Les douleurs que l’on croit enfouies remontent toujours à la surface à un moment ou à un autre. Et ce sont alors des vies qui basculent…
Voici le récit de cette rencontre improbable et de ce conte de fée, avec la légende d'Anaïs, qui permettra la naissance inimaginable de Jorick, le 15 août 2002 (on retrouvera la suite dans le roman "Jorick le dernier GOTH").
« Je prenais conscience soudainement que je n’étais rien. Tout ce que j’avais pu faire dans l’entreprise n’avait servi à rien. Je m’y étais consacré avec tant d’entrain, j’avais fait tant d’heures supplémentaires non rétribuées que ce résultat me dégoûtait. J’avais volé tant de quarts d’heure à mes enfants que j’en éprouvais maintenant un vif regret. »
Une famille embarque sur un voilier pour faire le tour du monde. Au milieu du Pacifique, une vague immense retourne le bateau. Tous sont sains et saufs, mais ils passent une semaine désespérante sur la coque renversée.
Les écoliers d’Avressieux, vont vivre au pied du château de Montfleury, une aventure inattendue. Hugo, dont la famille est issue de la vieille noblesse, éprouve des difficultés à s’intégrer à la jeunesse de ce village. L’esprit de l’épouvantail Avricia et celui de l’armure du Chevalier de Mareste vont s’allier pour redonner à la Tolérance ses lettres de noblesse. Leur action permettra-t-elle à Hugo d’apprécier enfin l’amitié et la compagnie des autres enfants de son âge ? La réponse vous attend dans ce livre.
Après un premier livre, Laissez-vous-en conter sans compter, dans lequel on découvrait toutes les facettes de son humour, le Commissaire Divisionnaire marseillais Jean Claude Beltramo nous invite, cette fois, à suivre l’itinéraire marginal d’une jeune ado, dans le Marseille des années 70, où rien ne lui sera épargné.
La policière Anouck Furhman n’avance pas dans son enquête. En une semaine, une étudiante décapitée dans sa chambre et une autre enlevée. Jusqu’à ce qu’un mystérieux inconnu l’agresse. Il file, mais elle réussit à prendre son chapeau. Il a laissé un billet : Prélève-t-il les cerveaux ? À partir de là, les évènements vont prendre une tournure singulière. Qui est cet homme qui porte un chapeau du temps de Rubens ? Va-t-il l’aider à coincer le monstre qui inflige à ses victimes des agonies sordides qui suscitent l’horreur ? Il faut aller vite, car le criminel ne reste pas inactif.
Ai-je raison de vouloir vous raconter ma vie ? N’êtes-vous pas semblable aux autres hommes ? Egoïste… Cruel ? Aujourd’hui, où tout s’achève pour moi, il m’importe peu de découvrir quelqu’un prêt à m’écouter ou à me plaindre. Devant la mort, tout change de valeur, et la vie surtout dont on ne conserve que l’amertume. Les souvenirs défilent, rapides ; la mesure du temps est renversée ; tout devient court et s’atténue.