Les particules délicates persévéraient à éviter les faux pas. La suspension dans l’air était leur vie. Le toucher du moindre objet les transformait en poussière. Près de la porte d’entrée, un aiguillon s’ingéniait à embrasser une framboise.
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Les particules délicates persévéraient à éviter les faux pas. La suspension dans l’air était leur vie. Le toucher du moindre objet les transformait en poussière. Près de la porte d’entrée, un aiguillon s’ingéniait à embrasser une framboise. Il habitait sur la même ronce qu’elle, mais n’arrivait pas à l’atteindre. Alors, les yeux baissé et sur un ton d’infériorité pour éviter le moindre risque d’apparaître méchante ou insolente, la femme qui faisait briller le parquet dit à la femme sur laquelle brillaient des bijoux précieux : « Personne n’échappe au destin. » Le jeu commençait. Ni l’un ni l’autre ne connaissaient la façon dont les Egyptiens avaient construit les pyramides. Mais tous les deux maîtrisaient l’architecture nécessaire pour bâtir un empire. Kopeleff sourit plus fort. Il savait comment devenir le seul empereur. Les petits cristaux d’eau congelés avaient hâte de cacher ce corps transi et l’espoir pénible dans les yeux. Pour préserver la réputation de la neige. Et n’être que des flocons de neige féeriques dans un décor féerique, blanc et propre.
Au travers d’une intrigue, l’auteur vous fait partager sa passion entre deux territoires qui lui sont chers. Le PIEMONT, berceau de ses parents, plus encore la Val Varaita “bella d’estate e stupenda d’inverno”, avec ses bergers et leur mélodieux “mazzolin dei fiori”, où, enfant, il jouait pendant ses vacances d’été. Et sa PROVENCE, aux oliviers et figuiers aromatisés par les senteurs de thym et de lavande, sous le chant des cigales, où le soleil, poussé par l’accent du mistral, réchauffe les coeurs à l’envi, en entonnant un vibrant “coupo santo” !
Aujourd’hui j’ai sauvé un livre… il était là, sur le bord du container poubelle, oscillant avec le vent et penchant dangereusement vers l’abîme des ordures… Je me suis précipité et d’une main experte je l’ai arraché au broyage où même son âme aurait disparu… Je l’ai serré contre mon cœur, il vivait encore… mon beau livre, qui que tu sois d’où que tu viennes, je t’aime… et je t’aimerai toujours… je te lirai encore et encore afin que la vie continue à travers tes belles pages…
L’isolement n’est pas un vain mot. Dans le monde moderne où les sentiments n’ont plus toujours leur place, de nombreuses personnes, souvent retraitées, subissent de lus en plus ce fléau. Agé, délaissé, le vieil homme n’a pratiquement plus que son chat comme confident. Cela lui suffit-il ? Ce roman relate les problèmes de l’isolement pendant la vieillesse et les relations subtiles, parfois salvatrices, entre les animaux de compagnie et l’homme. Ce cheminement désordonné, au fil d’une mémoire douloureuse, ravivée par les événements, est dédié aux personnes isolées, malheureuses de cette destinée indépendante de leur volonté.
Chloé, 10 ans, va se rendre en Martinique en avion. Ce sera son baptême de l’air. Au cours du vol qui durera une partie de la nuit, elle rêve au Contrôleur des Étoiles qui veille à ce que les avions ne heurtent pas les étoiles dans le ciel. Son séjour dans l’île aux mille curiosités éveillera son esprit. Elle réalisera bientôt que le Contrôleur des Étoiles et son fils Sowilo font partie du merveilleux univers des enfants. Chloé lentement se dirige vers d’autres rêves, qu’elle fera dans un autre monde… celui des adultes.
Comme bien d’autres, le désastre de 1870 et l’occupation allemande ont forcé à l’exil la famille Stoesser – Rudolphe, Elisabeth et leur fille Annelise -, originaire de Mulhouse en Alsace. Comme bien d’autres, après la déception de l’accueil en France, elle s’est tournée vers les colonies et un nouveau destin. Pour certains ce fut l’Algérie, les Stoesser ont choisi Porto-Novo où tout était à construire. C’est leur histoire que raconte Pierre Dufour dans cette saga qui s’étend sur dix ans, de 1882 à 1892.
Tout commence par la découverte du cadavre d’une jeune femme sur une plage au bord de la Méditerranée.
Banal, penserez-vous. C’est un polar ! Sauf que cette femme est nue, que son visage est méconnaissable, qu’aucun papier d’identité, ni aucun indice matériel ne sont retrouvés à proximité. Et que personne ne la connaît.
Juin 2015, Paul Nogaret, homme d’affaires monégasque, la quarantaine, revient à Issac, le village de son enfance, dans le Périgord à l’occasion des obsèques de son père, après des années d’absence. Dans le manoir familial, il découvre une vieille malle remplie de documents et de témoignages tout ce qu’il reste de l’histoire de sa famille depuis un siècle environ. Il va se plonger dans ce passé palpitant, découvrir la vie d’Auguste et de Léon, ces deux frères si différents qui ont façonné la mémoire familiale. Tous ces faits anciens sont peut-être à l’origine de ces drames qui ont frappé ses ancêtres pendant des décennies. Il ne le sait pas encore, mais sa vie va prendre un nouveau tournant après une rencontre qui va tout bouleverser.
Le lecteur accompagne Alexandre Todomalevitch dans son équipée pour fuir l’URSS dont la politique économique ne lui permettait pas de créer et développer l’entreprise de produits chimiques qu’il voulait.
Plus rien ne retient Léa Montjoue dans le sud de la France. Livrée toute jeune à elle-même par des parents qui la délaissent, quittée du jour au lendemain par l’homme avec lequel elle vit, Léa se retrouve seule. Même son travail ne l’intéresse plus.
La Voix de l’âme est un témoignage inédit, véhiculant un double message. Il propose une nouvelle vision de la relation père-fille grâce à une dimension empreinte de spiritualité, tout en ébauchant les étapes d’un cheminement vers la confiance en soi et la découverte de son moi profond...
En ce début de troisième millénaire, le fossé entre science et spiritualité se réduit constamment et il n’est plus absurde de penser qu’un jour prochain on puisse établir une possibilité de connexion entre l’homme et une autre dimension. Pour son deuxième roman, Alexis Ferrari se penche sur une exploration à la frontière entre le concret lié à l’actualité et l’irrationnel le plus étonnant. L’œuvre de René Magritte nous incite à nous méfier de nos perceptions et donc à nous demander : Qu’est-ce que la réalité ? Nous suivons l’aventure romanesque de Jeanne et c’est l’occasion pour nous de faire une incursion dans ce domaine. La proposition faite ici consiste à oser s’aventurer vers la découverte de nos autres sens en nous débarrassant des filtres obscurs.
Ce roman est librement inspiré de faits réels, la tuerie du Bar du Téléphone, perpétrée à Marseille, le 3 octobre 1978 et jamais élucidée. Plus de trente ans après, l’ancien commissaire de la PJ, Xavier Donatello qui a eu à la suivre au début de sa carrière, a décidé de révéler le nom des tueurs dans le livre qu’il s’apprête à publier. Toutefois, son projet ne rencontre que désapprobations, mises en garde, intimidations, menaces et bien plus encore. Il est clair que dans certains milieux, personne n’a envie de voir cette vieille histoire refaire surface.
Les particules délicates persévéraient à éviter les faux pas. La suspension dans l’air était leur vie. Le toucher du moindre objet les transformait en poussière. Près de la porte d’entrée, un aiguillon s’ingéniait à embrasser une framboise.