« Un premier signalement » est un ouvrage atypique, mené tambour battant, qui tient en haleine le lecteur jusqu’à son dénouement. L’auteur Didier Courtine met en scène Clotilde une enquêtrice qui débute au ministère des finances avec en corollaire la pression que cela suppose.
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« Un premier signalement » est un ouvrage atypique, mené tambour battant, qui tient en haleine le lecteur jusqu’à son dénouement. L’auteur Didier Courtine met en scène Clotilde une enquêtrice qui débute au ministère des finances avec en corollaire la pression que cela suppose. Cette jeune femme ambitieuse se voit confier une affaire difficile où elle doit mettre à jour les agissements d’un Syrien qui a déposé 200 000 euros dans une banque aixoise. Blanchiment d’argent ? Financement du terrorisme international ? Rien de tout cela ? Tout est possible car les apparences sont parfois trompeuses. La confrontation entre les deux personnages clés se révèle à multiples rebondissements d’autant que Clotilde doit aussi gérer une vie privée rythmée par les problèmes de santé de son nourrisson. Un vrai tourbillon. Quand derrière le polar se cachent des histoires humaines…
Une série de cassettes découvertes au cours d’un déménagement permettent de se remémorer un défunt racontant son existence particulière lors de la dernière guerre mondiale.
C’est avec un intérêt passionné, traversé d’intrigues, d’allégresse et de désespoir, que l’auteur tisse une histoire tumultueuse et toute brûlante d’amour avec les tragiques évènements de Toulon pendant la Terreur, en y mêlant scrupuleusement les références authentiques, les personnages et les lieux dits.
« C’est décidé je monte à Paris ! » s’était dit Paulin après avoir vu dans une galerie, les peintures de Marius Granet. Cette pensée ne le quittait plus, même dans l’atelier de menuiserie où son père l’avait placé à l’âge de 14 ans pour un travail d’ébénisterie. C’est ainsi qu’un jour il quitte sa famille et son quartier de la rue Saint-Paul à Hyères, pour rejoindre la capitale. L’arrivée à Paris est un choc. Il loge dans un immeuble misérable de la rue Saint-Marcel à deux pas de la rue où il travaille, quartier Saint-Antoine. Chaque soir après sa journée de labeur, Paulin se rend au Louvre, il y rencontre Topino-Lebrun, peintre révolutionnaire marseillais qui le présente au maître David. Tous deux l’encouragent à s’inscrire à l’école des Beaux-Arts.
À la suite de graves évènements, Bernard, ex-professeur d’anglais, aujourd’hui écrivain, a trouvé refuge dans un vieux phare hors service. Loin de la société, il aimerait y méditer tranquillement dans la tradition de quelques auteurs d’Outre-Manche qui lui sont familiers… Il devra néanmoins renouer avec son passé, et même accepter de nouveaux liens avec son voisinage pour se construire une philosophie personnelle. À la croisée de ces chemins, l’humour lui semble un instrument privilégié…
« Alors que je m’avançais vers la rubalise… je découvris un corps laiteux aux longs cheveux clairs qui s’étalaient sur l’herbe rase et mouillée par l’humidité de la nuit. Pourquoi cette jeune vie fut-elle brutalement interrompue en cette nuit fraîche de début mars ? » Quittant le quai des Orfèvres avec une affaire non élucidée, le commissaire Gouvier débarque à Marseille, la ville de son enfance, marquée par diverses formes de violence. Au milieu de ses souvenirs, son esprit est tendu sur la traque, entre la cité phocéenne et Toulon, d’un tueur en série qui signe ses crimes avec une carte de tarot.
Venise : la ville d’art par excellence ! Comment s’étonner que tant de richesses accumulées au cours des siècles, dans les palais de cette ville, puissent donne des idées… La découverte de faux tableaux, de parfaite facture, va susciter l’émoi dans es milieux aristocratiques et feutrés de la ville. Mais Venise c’est aussi les brumes humides de novembre, l’odeur entêtante de ses canaux endormis et de l’Acqua Alta. Qui est l’assassin qui sévit sur ses quais à la tombée de la nuit ? Qui donc se cache derrière un masque lors d’un bal costumé, version Casanova, donné dans un palais, pour mieux tuer ?
La policière Anouck Furhman n’avance pas dans son enquête. En une semaine, une étudiante décapitée dans sa chambre et une autre enlevée. Jusqu’à ce qu’un mystérieux inconnu l’agresse. Il file, mais elle réussit à prendre son chapeau. Il a laissé un billet : Prélève-t-il les cerveaux ? À partir de là, les évènements vont prendre une tournure singulière. Qui est cet homme qui porte un chapeau du temps de Rubens ? Va-t-il l’aider à coincer le monstre qui inflige à ses victimes des agonies sordides qui suscitent l’horreur ? Il faut aller vite, car le criminel ne reste pas inactif.
Le banquet des châtaignes a-t-il eu lieu ? Le soir du dernier jour d’octobre 1501 Cesare Borgia aurait organisé un banquet dans ses appartements du Vatican avec une cinquantaine « d’honnêtes prostituées », appelées courtisanes.
Une marée rouge déferle sur la vieille Russie, brisant l’ordre établi, les classes sociales et les familles. Pourtant, l’automne s’annonçait prometteur chez les Vassiliev, vieille famille de la noblesse russe.
L’entrée dans un nouveau millénaire, souvent synonyme d’espoirs et de projections dans l’avenir, n’efface pas la présence obsédante du passé.
Ainsi, le temps d’une après-midi automnale en cette année 2000, quatre femmes évoquent leurs destins contrariés par les ravages de la guerre civile espagnole.
Julie, une jeune et jolie femme de trente-trois ans, se perd dans des relations sans lendemain. Pourquoi cette fuite en avant, sachant qu’elle exècre le fait de se réveiller aux côtés d’un inconnu ?
L'amour de la musique pour surmonter la mort de l'amour, la rencontre de deux femmes que tout oppose mais que réunit la volonté de retrouver leur liberté, le réconfort d'un refuge au coeur d'une nature splendide et isolée, la découverte de l'univers d'un musicien baroque oublié... Voici ce qui va permettre à Martha, une violoncelliste sous l'emprise d'un mari violent et dominateur, de reconstruire sa vie. Dans ce troisième roman contemporain, Sophie Rollet trace au coeur des paysages sauvages de la campagne ardéchois le portrait de deux femmes, l'une fragile, hypersensible, en quête de la perfection de son art, l'autre intuitive et déterminée.