« Un premier signalement » est un ouvrage atypique, mené tambour battant, qui tient en haleine le lecteur jusqu’à son dénouement. L’auteur Didier Courtine met en scène Clotilde une enquêtrice qui débute au ministère des finances avec en corollaire la pression que cela suppose.
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« Un premier signalement » est un ouvrage atypique, mené tambour battant, qui tient en haleine le lecteur jusqu’à son dénouement. L’auteur Didier Courtine met en scène Clotilde une enquêtrice qui débute au ministère des finances avec en corollaire la pression que cela suppose. Cette jeune femme ambitieuse se voit confier une affaire difficile où elle doit mettre à jour les agissements d’un Syrien qui a déposé 200 000 euros dans une banque aixoise. Blanchiment d’argent ? Financement du terrorisme international ? Rien de tout cela ? Tout est possible car les apparences sont parfois trompeuses. La confrontation entre les deux personnages clés se révèle à multiples rebondissements d’autant que Clotilde doit aussi gérer une vie privée rythmée par les problèmes de santé de son nourrisson. Un vrai tourbillon. Quand derrière le polar se cachent des histoires humaines…
André TRIVES, enfant de Bab el Oued et fils du « Berger de Mostaganem », écrit pour retrouver la parole perdue. Une manière de rendre hommage aux modestes aïeux que l'histoire a humiliés par le mépris, la caricature et l'oubli. La force évocatrice de son style ne peut laisser indifférent. Ce livre raconte le retour de l’auteur à Bab el Oued, 54 ans après. Il était important pour lui de rappeler la vie en Algérie avant l’arrivée de la France en 1830 et telle qu’il l’a vécue jusqu’à l’Indépendance. L'auteur apporte des réponses aux interrogations des enfants de Pieds-Noirs ; ils n'ont plus à rougir du passé de leurs parents. « Bab el Oued pour la vie » n'est pas un livre comme les autres ; c'est un réel cri du cœur, bouleversant de vérité.
Dolorès, Mère Courage exemplaire, traverse le XXe siècle, subit trois guerres, doit quitter son pays natal et son pays d’adoption et faire face aux drames familiaux qui jalonnent sa vie. Elle connaît le bonheur avec son mari, ses enfants et petits-enfants, et de nombreux malheurs qu’elle affronte tête haute, en assumant jusqu’à son dernier souffle son si prémonitoire prénom : « Dolorès » (douleurs).
Isabelle, assistante d'un éminent chirurgien s'interroge. Qui lui envoie, le cinq de chaque mois, 23 roses rouges ? Des « Roses Montréal » du même nom que la ville où elle passe ses vacances. Le cinq comme sa date de naissance. St-ce son lunatique patron dont les exigences imprévisibles rendent impossibles sa vie professionnelle ? Ou ce jeune gastro-entérologue qui récitait chaque matin, avec emphase, du Villon sur le parking du centre hospitalier. Mais Isabelle sait surtout que cela peut être n'importe lequel des hommes qui savourent sa « Résurrection », le samedi lors des torrides soirées du Push, le club très privé des sous-sols froids et sombres de l'hôpital.
Si vous voulez sauver l’humanité, laissez tomber. Un seul homme en est capable. Un personnage très discret dont les aventures défient le temps. Un illustre alchimiste à l’époque de Rubens.
De jeune maçon inexpérimenté à flic de banlieue aguerri, Gabriele se retrouve aujourd’hui captif de ses doutes. Parviendra-t-il à faire la lumière sur ses questions restées sans réponse ?Cette ultime quête le plongera dans les siècles passés, au détour des plus beaux coins de France, englouti dans la folie d’une aventure palpitante.Codes, énigmes et personnages hauts en couleur s’entremêlent dans une danse au rythme frénétique.
Florence revient à Saint-Tropez, elle va revoir sa fille et son fils qui ont fui l’inacceptable, l’une aux États-Unis et l’autre en Russie. Il y aura aussi tous ses amis qui depuis cette nuit tragique, n’osent pas l’appeler, de peur de la déranger… Et il y aura surtout son mari, qui passe son temps à faire des allers-retours entre Paris et Nice, entre sa femme blessée et son travail. Pour eux, elle veut redevenir cette femme que tout le monde aimait, positive, active, même dans un fauteuil roulant. Elle le leur prouvera ! Mais à peine descendue de l’avion, elle comprend que rien ne sera plus comme avant…
Au bout de dix ans de bons et loyaux services, le commissaire Renda décide de quitter la police officielle pour pour mener des enquêtes privées. Dans une Sicile mystérieuse et contrastée, Renda doit résoudre plusieurs intrigues : la disparition d’un vieillard à Erice, celle d’un chat à Porto Empedocle, l’apparition d’un enfant au sanctuaire de Gibilmanna, la chronique d’une mort annoncée à Cefalù, le vol de tableaux dans des églises de Palerme, l’empoisonnement d’un homme à San vito lo capo, une tentative de meurtre à la gare de Termini Imerese et un étrange Père Noël près d’Agrigente. Ces huit nouvelles sont huit clins d’œil, huit sourires à Andréa Camilleri, originaire comme l’auteur de ce recueil, de Porto Empedocle.
Chloé, enfant et adolescente, évolue au sein d’une famille méridionale. Elle retourne dans le passé de ses ancêtres pour comprendre les raisons de leur exil. La triste réalité de l’adultère de sa mère la fait sortir des entrains insouciants de la jeunesse et la plonge dans une amertume déprimante. Les années qui suivent son mariage lui révèlent que l’amour, tel qu’elle l’avait rêvé, est illusoire. Tout ce qui a été construit avec Fabrice dans l’édifice conjugal s’écroule quand elle apprend son infidélité et leur couple ne résistera pas à cette épreuve.
Le corps de Musette jeté au vent, à la face du monde, traîné et ramassé, le corps de Musette nu et affamé, tremblant de froid, frissonnant de plaisir, suintant la lubricité, vorace de vie et de victoire, cinquante kilos de chair et d'os, trois quarts d'eau qui se meuvent à la surface de la terre. Le corps de Musette.
Rita, jeune artiste parisienne, voit sa vie s’effondrer quand elle perd soudain toute capacité à créer. Pour comprendre cette chute vertigineuse, elle entame un voyage en se laissant entraîner vers des lieux aussi différents que Jérusalem, Assise ou Brive-la-Gaillarde. Questionnements, résilience, culture, création artistique, religion, emprise familiale, amour inavouable. Autant de thèmes qui s’entremêlent dans ce roman au goût de voyage initiatique où le cocasse et le mystique se rencontrent. Il frôle volontiers la frontière du surnaturel tout comme celle de la transcendance de l’art.
Cet « itinéraire d’un enfant gâté » nous plonge dans le Cuba du début du xxe siècle avec les soubresauts qui agitent le monde et, en particulier, le grand voisin américain. Guerre mondiale, krach de Wall Street, prohibition, mafia et corruption impactent la vie cubaine et celle du héros de ce roman.
Comme bien d’autres, le désastre de 1870 et l’occupation allemande ont forcé à l’exil la famille Stoesser – Rudolphe, Elisabeth et leur fille Annelise -, originaire de Mulhouse en Alsace. Comme bien d’autres, après la déception de l’accueil en France, elle s’est tournée vers les colonies et un nouveau destin. Pour certains ce fut l’Algérie, les Stoesser ont choisi Porto-Novo où tout était à construire. C’est leur histoire que raconte Pierre Dufour dans cette saga qui s’étend sur dix ans, de 1882 à 1892.
« Un premier signalement » est un ouvrage atypique, mené tambour battant, qui tient en haleine le lecteur jusqu’à son dénouement. L’auteur Didier Courtine met en scène Clotilde une enquêtrice qui débute au ministère des finances avec en corollaire la pression que cela suppose.