Un homme égorgé dans les toilettes du TGV Nice-Paris. Une polémique qui défraye la chronique en Provence : la ligne à grande vitesse doit traverser le beau pays varois et, pour certains, dénaturer ses paysages typiques. Un gros bonnet de la mafia russe qui tire d’étranges ficelles. Un tueur en série qui n’en est peut-être pas vraiment un. Enquête difficile pour le capitaine Félicien Aubin et ses adjoints de la PJ toulonnaise, marqués par un terrible drame lors d’une affaire précédente. Dans ce 5e opus de la série, on retrouve les personnages familiers, attachants. Ils évoluent dans des lieux bien réels (la côte varoise et l’arrière-pays) et dans un contexte sociétal d’actualité (le projet de ligne à grande vitesse entre Marseille et Nice).
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Un homme égorgé dans les toilettes du TGV Nice-Paris. Une polémique qui défraye la chronique en Provence : la ligne à grande vitesse doit traverser le beau pays varois et, pour certains, dénaturer ses paysages typiques. Un gros bonnet de la mafia russe qui tire d’étranges ficelles. Un tueur en série qui n’en est peut-être pas vraiment un. Enquête difficile pour le capitaine Félicien Aubin et ses adjoints de la PJ toulonnaise, marqués par un terrible drame lors d’une affaire précédente. Dans ce 5e opus de la série, on retrouve les personnages familiers, attachants. Ils évoluent dans des lieux bien réels (la côte varoise et l’arrière-pays) et dans un contexte sociétal d’actualité (le projet de ligne à grande vitesse entre Marseille et Nice).
Le corps nu d’une jeune fille est retrouvé au parc de Font Obscure dans le treizième arrondissement de Marseille. Si les premiers indices laissent supposer qu’elle s’est pendue, les enquêteurs se rendent vite compte qu’il est impossible que cela se soit produit sur les lieux de la découverte, d’autant qu’aucun élément ne permet de l’identifier.
16 années se sont écoulées. « IL » tente de se reconstruire. Alors que son quotidien de baqueux du 9-3 le plonge dans les ténèbres de l’humanité, une découverte inattendue va l’obliger à mener une enquête qui dérange, où la noirceur des âmes ne permet plus de discerner à qui se fier.
Pourtant, toute cette histoire semble bel et bien avoir commencé en l’an 41 après J.-C.
Quand l’envie de justice se retrouve anéantie par la quête du pouvoir absolu, l’impensable devient possible.
Aiguisé, tranchant comme une lame pourrait-on ajouter. À l’image de ce polar noir qui se déroule dans la ville de Lyon. Pas celle de la fête des lumières. Mais plutôt l’autre face de la capitale des Gaules, plus sombre, plus glauque. Une atmosphère lourde et pesante qui va donner lieu à une lutte d’influence entre deux flics. Un sacré baptême du feu pour le commissaire principal Maxime Bertrand, récemment muté depuis Paris qui va devoir faire ses preuves dans un contexte déjà compliqué tout en évitant les pièges d’un collègue « ripou ». Avec en toile de fond le port marchand Édouard Herriot et tout le corollaire de va-et-vient que cela suppose. Manipulation, coups de pression et trafic d’influence pour un suspense maximal.
Giufà est un personnage fictif qui apparaît dans les récits anciens de la tradition orale en Sicile. Qui a tué Giuseppe Fafa qu’on surnommait Giufà ? Dans ce village de Sicile près d’Agrigente, tout le monde se pose la question mais personne n’ose chercher la réponse. Seule La Nonna accompagnée de son petit-fils a décidé de mener l’enquête. Mais qui était réellement la victime ? Un fou du village, un bouffon du roi ou un être secret et énigmatique…
Pourquoi la maîtresse de cette école trouve-t-elle chaque matin son tableau souillé de messages menaçants et sa salle vandalisée ? Qui peut lui en vouloir à ce point et surtout comment le malfaiteur fait-il pour pénétrer dans une salle fermée à double tour ? L’humour et le suspense haletant de cette enquête ont de quoi satisfaire le plus exigeant des jeunes lecteurs. Le tout agrémenté d’anecdotes scolaires désopilantes ou affligeantes.
La policière Anouck Furhman n’avance pas dans son enquête. En une semaine, une étudiante décapitée dans sa chambre et une autre enlevée. Jusqu’à ce qu’un mystérieux inconnu l’agresse. Il file, mais elle réussit à prendre son chapeau. Il a laissé un billet : Prélève-t-il les cerveaux ? À partir de là, les évènements vont prendre une tournure singulière. Qui est cet homme qui porte un chapeau du temps de Rubens ? Va-t-il l’aider à coincer le monstre qui inflige à ses victimes des agonies sordides qui suscitent l’horreur ? Il faut aller vite, car le criminel ne reste pas inactif.
Dans le précédent opus, le commandant Archibald était sur le point d'épouser Angèle, dans une commune varoise. Une seule invitée manquait à l'appel : Judith, sa fille unique.
Alors que tous l'attendaient sur le parvis de la mairie, le policier se voit remettre une enveloppe contenant une photo de l'adolescente séquestrée et une énigmatique lettre de Scrabble.
C’est bien connu, en Afrique rien n’est jamais vraiment certain et les situations peuvent vite évoluer et même basculer…
Ainsi, lorsqu’un meurtre est commis au sein d’une mission humanitaire au Bénin, Laurent, le médecin coordinateur, se retrouve immédiatement recherché par la police, mais aussi par une bande de trafiquants d’armes. C’est donc seul qu’il devra mener l’enquête pour se disculper.
Le Baltika Sun, un lotissement pour riches… Tout y est conçu pour la sécurité, l’agrément et la douceur de vivre de ses résidents… le paradis sur terre ! Hugo Berggren le pense sincèrement en y emménageant avec Camilla, sa charmante épouse. Hélas ! L’Éden se transformera bien vite en enfer ! Hugo devra batailler pour essayer de se disculper d’une accusation de meurtre. Coupable, non coupable… même ses proches en viendront à douter ! Le Jugement dernier sera sans pitié !
Si vous voulez sauver l’humanité, laissez tomber. Un seul homme en est capable. Un personnage très discret dont les aventures défient le temps. Un illustre alchimiste à l’époque de Rubens.
Un polar pas comme les autres, qui mêle amour et intrigues, dans un contexte social, politique, écologique et psychologique. Un roman dense, riche en évènements ancrés dans l’actualité.
Lorsque Doria, en situation irrégulière, est impliquée dans une affaire de drogue, tous les soupçons se portent sur un policier accusé de complicité depuis qu’on a appris qu’il entretenait une liaison avec elle. Que cachait véritablement leur relation ? Quand le mensonge a raison de la famille et de l’amitié. René Caplan s’empare de l’affaire et tente de démêler le vrai du faux. Peu à peu le dossier révèle ses failles...
Un homme égorgé dans les toilettes du TGV Nice-Paris. Une polémique qui défraye la chronique en Provence : la ligne à grande vitesse doit traverser le beau pays varois et, pour certains, dénaturer ses paysages typiques. Un gros bonnet de la mafia russe qui tire d’étranges ficelles. Un tueur en série qui n’en est peut-être pas vraiment un. Enquête difficile pour le capitaine Félicien Aubin et ses adjoints de la PJ toulonnaise, marqués par un terrible drame lors d’une affaire précédente. Dans ce 5e opus de la série, on retrouve les personnages familiers, attachants. Ils évoluent dans des lieux bien réels (la côte varoise et l’arrière-pays) et dans un contexte sociétal d’actualité (le projet de ligne à grande vitesse entre Marseille et Nice).