Les carnets du tantrisme n°9 : La...
La joie de vivre n’est pas un bonheur spontané qui viendrait de l’accumulation des biens divers. Elle nous est donnée avec la vie qui contient tous ses ingrédients.
La joie de vivre n’est pas un bonheur spontané qui viendrait de l’accumulation des biens divers. Elle nous est donnée avec la vie qui contient tous ses ingrédients.
Cette très célèbre invention de la pensée asiatique soutient une théorie parfaite de la connaissance, au modèle des sciences occidentales. Le troisième il est une fonction positive de l’imaginaire, apte à connaître des choses non scientifiques, le mystique, l’émotionnel, l’esthétique, le religieux, le merveilleux, tout ce que Kant résumait dans les mots : Dieu, le monde, l’homme.
Il est de mode aujourd’hui de réduire le tantrisme à une école du plaisir sexuel perfectionné. Mais ce n’est là qu’une conclusion partielle de tout le reste, qui donne à la vie sexuelle son véritable rôle dans la vie humaine.
Il n’y a pas de morale tantrique, car le Bien et le Mal n’existent pas. Ils ne sont que des jugements subjectifs et changeants.
Le Tantrisme est un empirisme rationnel : toutes ses idées sont fondées sur un contact étroit et critique avec les réalités qui nous entourent.
Ces principes généraux sont au nombre de deux : le principe de réalité et le principe de non-dualité.
Le Tantrisme est un immense système d’une très forte cohérence, dont chaque point est relié étroitement avec tous les autres. Il est donc préférable d’en avoir dès le début une vision cavalière générale qui fera voir ensemble les points les plus saillants.
La question préalable à toute initiation est donc de forger un outil linguistique capable de nous dire, à nous autres occidentaux du XXIème siècle, le sens de ce qui est écrit et sa transposition en langues occidentales.
Ce premier carnet doit répondre à toutes les interrogations concernant le tantrisme. Il doit démontrer que sans rien changer à votre vie, l’initiation en bouleversera cependant les principes.
“Ces folles pensées…” viennent du cœur. Elles font suite à un précédant livre sur le sujet de l’hilarité « L’ire des Délires » édité également aux Éditions Les Presses du Midi.
De nouveau l’auteur déploie au bénéfice du lecteur, une mécanique satirique propre à évacuer le stress qui le tenaille et qui tourmente la plupart d’entre nous.
Son particularisme consiste à prendre appui sur les bases d’un mot au demeurant sans contexte et d’élaborer un entour constituant une substance gouailleuse.
“Le Fol Humour de ses Folles Pensées”, prouve s’il en était encore besoin que sa verve facétieuse pour intarissable qu’elle soit est bienfaisante.
Il est né et a été élevé (aux flocons d'avoine) à Alger. Son grand-père maternel était l'entraîneur de la plus importante écurie de courses d'Afrique du Nord. Il a donc grandi parmi les chevaux, ses amis. A 17 ans, il fonde l'hebdomadaire hippique Alger Turf, alors qu'il débute sa carrière de journaliste à Alger Républicain. Comme "amateur", il gagne 18 courses sur l'hippodrome du Caroubier grâce à un trotteur "borgne" qui se nomme Rollon. Chef de la rubrique hippique sur le quotidien La Dépêche d'Algérie, il poursuit sa carrière en France à la rédaction des quotidiens Paris-Turf et L'Aurore, collabore au lancement de l'hebdomadaire spécialisé Tiercé Panorama, puis prend la responsabilité de la rubrique hippique du journal Le Méridional à Marseille.
Clotilde avait vu ses étrangetés d’humeur et leurs profondes différences ; mais le mariage était organisé dans son esprit et elle était prête à accepter les imprévus qu’elle devrait affronter avec lui ; et puis, ils ne s’enliseraient pas dans la monotonie de la routine conjugale, car ils avaient en commun le tempérament de ceux, qui ne trouvant pas de satisfactions dans une vie banale, se dispensaient dans des efforts exigeants pour atteindre les vertigineuses hauteurs de la création artistique. Mais ne s’était-elle pas égarée dans le mirage de ses chimères en les cristallisant sur cet homme concentré sur son univers musical, qui n’éprouvait pas vraiment le désir de se marier ?