Les Sunlights de Chantal LOSFELD
Un bel hommage à ce groupe original qui n'a jamais suivi la mode musicale, mais qui a su s'imposer tout au long de sa carrière, en enregistrant des chansons oubliées du répertoire français pour en faire des succès.
Un bel hommage à ce groupe original qui n'a jamais suivi la mode musicale, mais qui a su s'imposer tout au long de sa carrière, en enregistrant des chansons oubliées du répertoire français pour en faire des succès.
Un bar ouvert à une jeunesse en perdition
Un tueur en chasse après six jeunes randonneurs
Un miroir qui donne accès sur la mort
Un écrivain avec des écrits prophétiques
Une poupée étrange détenant l’âme d’une jeune enfantC’est bien connu : « Les voyages forment la jeunesse ». Certains plus que d’autres, comme celui du narrateur dans « Vinyles Vintage ». En effet, du haut de ses 17 ans, l’intéressé part en Angleterre en juillet 1968. Loin de ses parents, il va tenter de sortir de sa coquille en parcourant le vieux Londres, en allant voir les groupes qui cartonnent. Dans cette optique l’époque est bénie avec l’avènement progressif de futures légendes qui laisseront une trace indélébile dans l’histoire de la musique.
Ces chansons vous plairont car elles sont autant d’hymnes à l’amour et à la joie.
Serge Cogoni vous donne les accords en rapport de chaque texte pour vous permettre de les interpréter en chanson et musique.
Après une escapade dans les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse, Philippe, peintre autodidacte, vous présente, par ses aquarelles, un échantillon des richesses du littoral azuréen.
Au rythme calendaire des festivités sélectionnées et présentées par Pascale, ce livre d’aquarelles vous apportera du plaisir et du bonheur dans cette farandole de couleurs et cette palette de senteurs de la French Riviera.
La vie est un tableau sur lequel chacun d’entre nous apporte sa couleur.
Dès le début de ma création artistique s’est imposée à moi une question lancinante : À quoi l’Art sert-il ? Bien sûr, j’ai trouvé la réponse ordinaire et communément admise ; l’Art est un moyen d’expression. Alors, j’ai cherché l’expression dans la couleur, principalement dans le rouge, couleur symbolique de la passion et de la révolte, marqueur du sang qui coule, du sang versé.
Et un jour, j’ai quitté, pour un certain temps, mes paysages qui me brûlaient les yeux pour donner un sens politique à cette couleur. Alors, en 1997, j’ai créé le « Contestatisme ».
Les modèles présentés sur des mannequins de 70 cm de hauteur (échelle ½) ont été reconstitués en majorité d’après des costumes authentiques gracieusement prêtés et portés dans la région varoise. Des femmes de la haute bourgeoisie, à l’occasion de déplacements vers la capitale rapportaient la mode parisienne. Celle-ci se diffusait par les couturières qui s’en inspiraient pour habiller la bourgeoisie locale. Selon la classe sociale, on employait des tissus et des garnitures de dentelles et rubans, plus ou moins riches et abondants. J’ai bien entendu respecté la façon d’assemblage de chaque époque. Chaque modèle représente entre 100 et 150 heures de travail.
A la fin des sixties, la rock music a évolué tant sur le format que dans ses compositions, le rock progressif en étant une des résultantes les plus riches. Dans ce cadre, l’usage des cuivres a été transcendé au sein des big bands ou plus petites formations. Cet ouvrage recense les œuvres ayant intégré avec originalité les cuivres dans leurs arrangements.
Sur l’infinitude d’un temps où s’allient la sagesse du passé et l’allant du futur, la « Passion » paraît être chantée tout au long des chapitres. Loin d’être une cause d’asservissement comme le considéraient les stoïciens, elle devient le moteur d’une force irremplaçable : source d’inspiration pour l’artiste, de motivation pour le chercheur, énergie du travail, outil de l’édification, la passion est pour l’Homme cette flamme qui transforme le rêve en une volonté inlassable capable de changer le cours de l’histoire, le sens de l’avenir.
Avec une philosophie où se mêlent poésie et spiritualité, cet ouvrage s’attache à éclairer toujours le côté le plus gai de l’astre qu’est notre vie.
L’archet… c’est une portion de temps, une portion d’espace, une portion d’esprit. L’archet est le segment visible d’une musique qui se poursuit vers l’infini. Il pourrait s’apparenter à une règle, que je prends comme outil pour tracer la portée… ces cinq lignes qui n’ont de limites que celles de la page qui les retient. En réalité, comme les notes que l’on y dépose, ces cinq lignes se prolongent beaucoup plus loin. Car la musique ne s’arrête ni au bout d’une ligne, ni au bout des crins de l’archet qui les fait naître.
Véronique Mas, pilote de ligne, philosophe, poète et musicienne, garde les pieds sur le sol de sa Provence natale et l’esprit résolument tourné vers le ciel.