Dans un monastère au Tibet, le maître annonce l’avènement, à notre époque, d’une ère meilleure qu’il nomme le cycle de Tara, « le signe de cœur », un âge où l’humanité doit se rassembler autour de l’idée de fraternité. Un roman d’aventures archéologiques où l’auteur mêle, de rebondissements en surprises, mythes et réalités historiques pour nous emporter dans un dangereux labyrinthe de secrets dont personne ne devrait pouvoir sortir vivant…
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Dans un monastère au Tibet, le maître annonce l’avènement, à notre époque, d’une ère meilleure qu’il nomme le cycle de Tara, « le signe de cœur », un âge où l’humanité doit se rassembler autour de l’idée de fraternité. Un roman d’aventures archéologiques où l’auteur mêle, de rebondissements en surprises, mythes et réalités historiques pour nous emporter dans un dangereux labyrinthe de secrets dont personne ne devrait pouvoir sortir vivant…
Trois personnes unies coûte que coûte, dans la joie ou la tristesse, dans la colère ou la peine. Pour traverser tous les dangers de la mort ou de la vie : « Flammes ou Cent Morts, peu importe, il faudra toujours leur résister ».
Nous n’avons tous que douze ans au moment où notre vie bascule, et la malédiction nous poursuivra jusqu'à notre mort… On nous connaît sous le nom de Cent Morts.
Disons-le sans ambages, ce roman troublera les femmes et les hommes sensibles. Au fil du récit de cette palpitante histoire, le lecteur se surprendra à vaguer dans divers villages du Var et des Alpes-de-Haute-Provence. Pour dissemblables qu’elles soient, toutes ces charmantes communes expriment une omniprésente ruralité de bon aloi. Nonobstant, ce livre ne ressemble en rien à une chronique régionaliste. Les personnages animant l’ouvrage, passent du rire aux larmes, oscillent entre détresse et espoir. Il est vrai que cela concerne plusieurs d’entre nous. À la différence, que ce subtil manuscrit traite de l’une de nos obsédantes interrogations. Comment pouvons-nous continuer à vivre lorsqu’un drame nous prive de ce que nous avons de plus cher au monde ?
Ce roman est librement inspiré de faits réels, la tuerie du Bar du Téléphone, perpétrée à Marseille, le 3 octobre 1978 et jamais élucidée. Plus de trente ans après, l’ancien commissaire de la PJ, Xavier Donatello qui a eu à la suivre au début de sa carrière, a décidé de révéler le nom des tueurs dans le livre qu’il s’apprête à publier. Toutefois, son projet ne rencontre que désapprobations, mises en garde, intimidations, menaces et bien plus encore. Il est clair que dans certains milieux, personne n’a envie de voir cette vieille histoire refaire surface.
Qui est cette jeune femme ? D’où vient-elle ? Pourquoi est-elle morte à Cagnes-sur-Mer ? L’enquête démarre sur ces questions, sans pression des médias, ni de la hiérarchie qui classerait bien le dossier. Après tout, il s‘agit d’une inconnue que personne ne réclame ! Il ne reste plus que le travail de fourmi de toute une équipe pour tenter de résoudre cette affaire singulière. Et découvrir une vérité qui laissera le commissaire Dupin insatisfait.
Lise croyait en la vie, en l’amour. Elle ne doutait de rien et n’avait qu’une envie, celle de chanter et de rire. Mais la vie n’est jamais ce que l’on aimerait qu’elle soit.
L’Écharpe de laine rouge est un roman riche en rebondissements et émotions. Un roman où s’entrechoquent amour, amitié, jalousie, haine, vengeance au rythme d’un enchaînement de situations complexes où se mêlent passions, sexualité et milieu carcéral. Un miroir de vie où l’on peut décrypter qu’en dépit de son intelligence, l’Homme reste la proie de ses désirs et ne peut rester maître de son destin. Il se trouve contraint de subir les aléas de l’existence par les choix qu’il fait, des choix souvent guidés par les tentations les plus fortes, les plus redoutables.
À la suite de graves évènements, Bernard, ex-professeur d’anglais, aujourd’hui écrivain, a trouvé refuge dans un vieux phare hors service. Loin de la société, il aimerait y méditer tranquillement dans la tradition de quelques auteurs d’Outre-Manche qui lui sont familiers… Il devra néanmoins renouer avec son passé, et même accepter de nouveaux liens avec son voisinage pour se construire une philosophie personnelle. À la croisée de ces chemins, l’humour lui semble un instrument privilégié…
Ce récit autobiographique est le caléidoscope des mémoires d’une petite fille dont le rêve évanoui était de devenir « danseuse étoile »… Les chemins qu’elles empruntent semblent tourner sans cesse en rond alors que, inexorablement, ils évoluent en spirale vers la vérité inavouable : une enfance abusée.
Du Turin de 1522 au New York de 2007 en passant par Montréal, le Paris des années soixante et la Rome contemporaine, "Bryant Park" narre l'histoire d'un tableau et des personnages qui vont graviter autour de lui : un décorateur de Boston, une universitaire de Manhattan, un téméraire curé du Haut-Pays niçois, une très volontaire conservatrice du Louvre, la veuve un rien shakespearienne mais confite en dévotion d'un éminent mafieux, et des trafiquants d'art prêts à tout... Un roman policier ? Oui mais comme Bernard Oustrières aime à les trousser, fuyant toute vulgarité, plongeant au plus intime des êtres comme des villes et gardant aux acteurs leur part d'humanité sans jamais nuire au rythme haletant du récit.
« Cela n’arrive pas qu’aux autres ». Éva vient d’apprendre qu’elle a un cancer. À 50 ans, la vie semble basculer, le quotidien se rétrécir en raison des traitements, de l’indifférence de Julien, galeriste dans le Marais, de celle de ses collègues universitaires. Prise dans une course effrénée contre la progression des métastases, elle livre un combat intérieur acharné, puise des forces insoupçonnées dans la lecture, la musique, l’art, la prière et dans l’affection que lui prodiguent Agnès, son amie historienne, et Martine, sa tante d’Antibes. Une autre thérapie !
Chantal Losfeld, originaire du Nord de la France a commencé à écrire en faisant deux biographies sur les Sunlights, groupe mythique des années 70. Elle a toujours baigné dans les livres avec des parents libraires. Plus tard, son père devint l’éditeur des Surréalistes. Son huitième récit, qui relate la perspicacité d’un inspecteur de police pour trouver l’assassin de personnes innocentes, vient étayer une collection de petits romans variés et faciles à lire.
Dans un monastère au Tibet, le maître annonce l’avènement, à notre époque, d’une ère meilleure qu’il nomme le cycle de Tara, « le signe de cœur », un âge où l’humanité doit se rassembler autour de l’idée de fraternité. Un roman d’aventures archéologiques où l’auteur mêle, de rebondissements en surprises, mythes et réalités historiques pour nous emporter dans un dangereux labyrinthe de secrets dont personne ne devrait pouvoir sortir vivant…