Marc a vingt-huit ans. Son couple bat de l'aile mais il n'y prête que peu d'attention. Quelque chose d'autre le préoccupe. Un matin, un jeune garçon frappe à sa porte. Il demande à entrer. C'est étrange comme cet enfant ressemble au frère décédé de Marc... Ce frère envié, ce frère admiré, et si justement il avait décidé de revenir ? Et s'il avait choisi de prendre la forme d'un tout jeune homme pour faire passer son message ? C'est avec intelligence et sensibilité que Stéphan Sanchez a écrit ce roman sur le couple et le poids de la culpabilité. Cette enquête psychologique, située dans la ville d'Aix-en-Provence, riche de secrets et de rebondissements mènera le lecteur à la lisière du fantastique...
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Marc a vingt-huit ans. Son couple bat de l'aile mais il n'y prête que peu d'attention. Quelque chose d'autre le préoccupe. Un matin, un jeune garçon frappe à sa porte. Il demande à entrer. C'est étrange comme cet enfant ressemble au frère décédé de Marc... Ce frère envié, ce frère admiré, et si justement il avait décidé de revenir ? Et s'il avait choisi de prendre la forme d'un tout jeune homme pour faire passer son message ? C'est avec intelligence et sensibilité que Stéphan Sanchez a écrit ce roman sur le couple et le poids de la culpabilité. Cette enquête psychologique, située dans la ville d'Aix-en-Provence, riche de secrets et de rebondissements mènera le lecteur à la lisière du fantastique. Stéphan Sanchez est né dans le sud de la France, près de la montagne Sainte-Victoire. À vingt-six ans, après avoir obtenu un Master Recherche Arts Plastiques ainsi qu'une Licence III d'Histoire de l'Art, il publie son deuxième roman : La nuit, je me perds. Photographe et peintre, il est également l'auteur de Soleil blanc, paru aux éditions Presses du Midi, en juin 2013.
« Il n’y a qu’un seul roman, et nous en sommes à la fois les auteurs et les personnages : l’Histoire. »
(Jean d’ Ormesson).
Rien n’est plus passionnant que le récit d’une histoire vécue.
C’est le cas avec « Ballades d’un adolescent » car le héros de ce roman a lui-même écrit ses « mémoires » qui à l’époque étaient davantage des témoignages. Ceux des tranchées sur les supports dont il disposait pour raconter ses souffrances physiques et morales, ses nombreux déplacements, ses peurs ou ses blessures.
Mais aussi ses rares joies comme celle de retrouver sa mère qui n’hésitait pas à affronter toutes les interdictions pour venir le voir aux abords du front. Sans oublier le fait de pouvoir faire partager ses passions pour le chant et le violon dans les églises et sur les estrades.
À Alger, la mobilisation générale avait vu les hommes de toutes conditions et de tous horizons se regrouper dans la capitale pour être envoyés vers diverses destinations. Le Maroc, mais surtout la Tunisie et l’Algérie furent des terres de prédilection pour des hommes partis la fleur au fusil, le cœur plein d’espoir ou la peur au ventre.
Richard Atlan, Norbert Bensimon et Pierrot Abergel, les trois enfants du quartier de l'Esplanade se trouvèrent subitement confrontés à la réalité de la vie et non plus à la fiction cinématographique française ou américaine que présentaient les écrans des neuf cinémas de Bab El Oued.
« Sache qu'en ouvrant ce livre tu pénètres dans un monde qui te dépasse, petit être. Tu sais, il y a des livres qui sont juste des livres, et il y a des livres...qui sont des UNIVERS. Ces livres-là sont très rares, et tu viens d'en trouver un. Dans ce genre de livre, il n'y a aucune règle. Comme votre univers qui a beaucoup de pays et de planètes, mon univers a aussi plein d'endroits très, très différents. Certains lieux sont délicieusement terrifiants, il y en a qui sont doucement ensorcelants, d'autres sont divinement éblouissants...tous sont magiques et IMPREVISIBLES... Tu crois être paisiblement en train de lire ce livre, en sécurité, mais en réalité une part de ton âme est ici, avec moi. » Justin referma le livre : quel livre étrange ! Soudain, un gros bruit le fit sursauter.
Deux de chute… Au bridge, cela signifie ne pas avoir rempli son contrat. L’inspecteur Geo doit remplir le sien face à une situation compliquée où les morts (pas ceux du bridge) ne montrent pas toutes leurs cartes. A lui de retrouver dans celles des vivants la clef qui le mènera à la résolution de son enquête.
Chez moi, c'était la maison du bon Dieu. Du bon Dieu et de ma mère ! Ma mère la pauvre ! La pauvre ou raïbah dans le langage judéo-arabe de la casbah d'Alger et de toutes les femmes de la famille.
Au crépuscule de son existence, Philippe n’a plus rien à perdre. Nabil, lui, a tout perdu, mais a la vie devant lui. Tout oppose les deux hommes, hormis la mécanique et surtout l’Algérie. Le premier est résolu à y retourner pour chasser les démons qui le hantent depuis la guerre. Le second y voit l’occasion d’enfin découvrir ses racines.
– Ne m’interromps pas, écoute-moi attentivement… Je m’appelle Cardella. Il y a très longtemps, j’ai lancé un sort à ma famille, à mes deux enfants chéris…
Elle fit un pas vers lui. Son souffle brûlant le fit frémir.
Anciens militants ouvriers sexagénaires, dépités par une société délétère qu’ils subissent impuissants, ils vont se retrouver « embarqués » malgré eux dans une enquête policière aux tournures inattendues. Jean, le rouge, nostalgique d’une époque révolue, du moins dans ses formes, va renouer avec celle d’aujourd’hui. Au bord de cette méditerranée bien présente tout au long de ce roman, il va retrouver un sens à son existence auprès de ses ami(es) et de la jeunesse qu’il va rencontrer sur les ronds-points pavoisés de Jaune. Une aventure humaine dense et trépidante, nourrie de chaleur humaine, de solidarité et d’amour.
Un appel de nuit. Sous le pont d'un petit village varois, un homme est sauvé du froid. Il a 38 ans et plus de nom... Le Docteur Adèle Saint-Paul, intriguée par l'étrange patient, découvre qu'il tait un ahurissant secret. Mais qui saura l'en délivrer ? Le Professeur Fourier et sa science, ou la bonne copine Muguette et son tarot ? A moins que ce ne soit la vieille madame Gauthier, doyenne de l'humanité ? Un nouveau Diogène, ami des bornes kilométriques, arpente la beauté du maquis provençal. Osez le suivre sur les chemins bordés de santolines, contempler les constellations d'un ciel peluché d'étoiles, acheter un chapeau, et pourquoi pas avec lui découvrir « le pot aux roses » de la vie ?
Julien Martini, nouvellement nommé à la police de Carcassonne, est appelé à résoudre une enquête sur une série de meurtres liés à la construction d’une route traversant le pays cathare.
Les travaux du chantier mettent en évidence les restes du squelette d’un homme assassiné plusieurs centaines d’années plus tôt.
Valérie Konzielaski, membre de l’Institut d’Archéologie Préventive va travailler sur ce meurtre et découvrir que son enquête rejoint celle du capitaine Martini.
Le policier et l’archéologue devront coopérer pour résoudre ces deux affaires quand ils comprendront qu’elles ont le même mobile : « la réincarnation des Cathares exécutés dans l’Ariège, à Montségur le 16 mars 1244 ».
Marc a vingt-huit ans. Son couple bat de l'aile mais il n'y prête que peu d'attention. Quelque chose d'autre le préoccupe. Un matin, un jeune garçon frappe à sa porte. Il demande à entrer. C'est étrange comme cet enfant ressemble au frère décédé de Marc... Ce frère envié, ce frère admiré, et si justement il avait décidé de revenir ? Et s'il avait choisi de prendre la forme d'un tout jeune homme pour faire passer son message ? C'est avec intelligence et sensibilité que Stéphan Sanchez a écrit ce roman sur le couple et le poids de la culpabilité. Cette enquête psychologique, située dans la ville d'Aix-en-Provence, riche de secrets et de rebondissements mènera le lecteur à la lisière du fantastique...