TERRA CORSA Les sittelles se sont tues de Paul di GIOVANNI
Référence: L1767
17,00 €
TTC
Ce roman se veut une ode à un "pays" que l’auteur a longtemps attendu de connaître : la Corse ! Il est ici dans son élément, il l’avoue lui-même : « J’ai aimé découvrir un peuple fier, rude, orgueilleux… chaud et hospitalier envers celui qui sait l’aimer. » Cette aventure vous entraîne entre complot, trahison et amours interdites à la découverte des paysages grandioses de l’île et de l’Âme corse. Le chant des sittelles sonne, ici, l’ouverture d’un opéra magistral où les ombres d’Éros et de Thanatos accompagnent les héros fascinants sur les chemins de leur destin.
Avec tout son cœur et son amour, Paul di Giovanni vous invite à un voyage à travers l’Île de Beauté que vous ne pourrez pas oublier.
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Ce roman se veut une ode à un "pays" que l’auteur a longtemps attendu de connaître : la Corse ! Il est ici dans son élément, il l’avoue lui-même : « J’ai aimé découvrir un peuple fier, rude, orgueilleux… chaud et hospitalier envers celui qui sait l’aimer. » Cette aventure vous entraîne entre complot, trahison et amours interdites à la découverte des paysages grandioses de l’île et de l’Âme corse. Le chant des sittelles sonne, ici, l’ouverture d’un opéra magistral où les ombres d’Éros et de Thanatos accompagnent les héros fascinants sur les chemins de leur destin.
Avec tout son cœur et son amour, Paul di Giovanni vous invite à un voyage à travers l’Île de Beauté que vous ne pourrez pas oublier.
Dans la langue chère au grand maître du félibrige, Frédéric Mistral, une sartan n'est qu'une superbe poêle destinée à cuisiner. Mais dans la vie de tous les jours, au siècle dernier, ce terme désignait aussi une jeune fille espiègle jouant avec les flammes de l'enfer ! Alors, prenez garde si vous la croisez...
Employé de banque sans envergure, Lucien Domiti ne connaît que la frustration, la solitude et le harcèlement de son supérieur. Sa vie bascule soudain lorsqu’une fortune inespérée lui donne les moyens de prendre sa revanche. Mais il y a un prix à payer et le créancier se révèle être un surprenant ancêtre, Neron le prince sanguinaire.
Les témoignages recueillis par Raymond Moody dans les années 70 auprès de personnes qui, suite à une maladie ou à un accident, se sont trouvées en état de mort imminente (EMI), rapportées dans son ouvrage La vie après la vie, révèlent que certaines d'entre-elles ont perçu au cours de cette période des images et des sensations troublantes qui laissent supposer que la perspective d'un au-delà conscient n'est pas infondée. Il est à noter que les nombreux chercheurs qui se sont penchés depuis sur cette question sont parvenus à des résultats similaires. Sur la base de ces données, l'auteur a imaginé une cité où se retrouvent des âmes qui attendent que leur sort soit scellé par les équipes de réanimation qui s'affairent à leur chevet.
Avant de l’envoyer à son éditeur, Richard termina la lecture de son dernier manuscrit - le matelassier de la casbah d’Alger - qui mêle habilement souvenirs d’enfance et événements réels. Le tout en utilisant avec bonheur le langage des Français d’Algérie baigné d’orientalisme. Il était prêt à être soumis à la publication. Sylvain Mani était le directeur des éditions Sévigné. Pied noir bon teint, il avait eu un coup de cœur lors de la lecture du premier manuscrit de Richard dont le titre « Alger, Romance inachevée » avait attiré son attention. Depuis ce jour, était née une amitié basée sur la nostalgie du pays natal. La parution de cinq ouvrages avait entretenu la relation éditeur-écrivain dont la complicité ne se démentit jamais.
Entre Noël et le jour de l’An, la place est faite aux joies, aux peines, aux suicides… Deux pendus en quarante-huit heures, dans un secteur assez proche : la semaine s’annonce déjà longue pour le Commandant Archibald Letesquieux. Chasseur ou proie, pourquoi se trouve-t-il à traquer une ombre qui le hante dans les nuits glaciales parisiennes ?
Dans quelle étrange aventure s’est embarqué Alexis, sans le vouloir ? Où se retrouve-t-il soudain ? A-t-il vraiment changé de place ? Qui est René, ce garçon qui lui ressemble tant ? Tout ceci à cause d’un orage pas comme les autres, pour qu’il se retrouve chargé d’une mission bien lourde…
Mais est-il possible de réécrire l’Histoire et d’aider ses ancêtres ?
Alexis peut-il éviter aux Acadiens de se faire déporter de chez eux, en 1755 ?
Julien Martini, nouvellement nommé à la police de Carcassonne, est appelé à résoudre une enquête sur une série de meurtres liés à la construction d’une route traversant le pays cathare.
Les travaux du chantier mettent en évidence les restes du squelette d’un homme assassiné plusieurs centaines d’années plus tôt.
Valérie Konzielaski, membre de l’Institut d’Archéologie Préventive va travailler sur ce meurtre et découvrir que son enquête rejoint celle du capitaine Martini.
Le policier et l’archéologue devront coopérer pour résoudre ces deux affaires quand ils comprendront qu’elles ont le même mobile : « la réincarnation des Cathares exécutés dans l’Ariège, à Montségur le 16 mars 1244 ».
Des petites histoires de jeunesse, tout le monde en a connues tant et tant qu’un jour, engourdies dans nos mémoires, elles en ressortent quand la nostalgie vous prend dans ses bras.
Aiguisé, tranchant comme une lame pourrait-on ajouter. À l’image de ce polar noir qui se déroule dans la ville de Lyon. Pas celle de la fête des lumières. Mais plutôt l’autre face de la capitale des Gaules, plus sombre, plus glauque. Une atmosphère lourde et pesante qui va donner lieu à une lutte d’influence entre deux flics. Un sacré baptême du feu pour le commissaire principal Maxime Bertrand, récemment muté depuis Paris qui va devoir faire ses preuves dans un contexte déjà compliqué tout en évitant les pièges d’un collègue « ripou ». Avec en toile de fond le port marchand Édouard Herriot et tout le corollaire de va-et-vient que cela suppose. Manipulation, coups de pression et trafic d’influence pour un suspense maximal.
Mendier, chiper, chaparder, vivre de petits larcins, de maraudages ou de grivèleries pour subvenir au quotidien, telle est l'étonnante histoire d'une fillette abandonnée, livrée à elle-même. Michel Parra nous entraîne avec humilité, voire compassion, sur les chemins tortueux et cahoteux de la misère. C'est avec une profonde émotion et une grande sensibilité qu'il nous plonge dans l'univers spirituel de la dévotion, de la béatitude et de la pauvreté.
Ce roman se veut une ode à un "pays" que l’auteur a longtemps attendu de connaître : la Corse ! Il est ici dans son élément, il l’avoue lui-même : « J’ai aimé découvrir un peuple fier, rude, orgueilleux… chaud et hospitalier envers celui qui sait l’aimer. » Cette aventure vous entraîne entre complot, trahison et amours interdites à la découverte des paysages grandioses de l’île et de l’Âme corse. Le chant des sittelles sonne, ici, l’ouverture d’un opéra magistral où les ombres d’Éros et de Thanatos accompagnent les héros fascinants sur les chemins de leur destin.
Avec tout son cœur et son amour, Paul di Giovanni vous invite à un voyage à travers l’Île de Beauté que vous ne pourrez pas oublier.