Joce Monclar, romancier en mal d'inspiration, s'installe dans ce manoir en pays bourbonnais qu'il a bien connu enfant. En cette fin d'été 2019, les souvenirs affluent. Mais une énigme enfouie au milieu de livres rares dans la bibliothèque se dessine peu à peu. Le plumier d'ivoire qu'il y retrouve suggère que le temps n'efface pas tout. Est-ce prémonitoire ? L’ancien fermier du domaine a-t-il vécu une captivité privilégiée en Allemagne lors de la dernière guerre ? Ou bien fut-il un héros oublié ? La vérité a-t-elle été travestie ? Si oui, dans quel but ? Autant de pistes qui se chevauchent... pour un dénouement inattendu. Dominique Marcoux, passionné d’écriture, signe ici son dixième roman. Ses plus fidèles lecteurs y verront sans doute une « filiation » avec son tout premier titre : Le Château de Jérémie. En effet, chez lui comme dans Le Plumier d’ivoire, le passé se conjugue au présent...
En réunissant les Palladions, Diane et Matthias espéraient fermer définitivement le dernier passage d’entre les mondes. Pour une raison inconnue, les Enfants-libres en ont décidé autrement. L’Aube rouge n’a pas empêché l’Obscurité de se libérer de sa toile de lumière. Resserrant son étau, avide d’envahir notre monde, elle prépare ses forces.
L’Empire Romain a illuminé le monde méditerranéen. Les Républiques italiennes ont transcendé le commerce en art. Les musiques d’Italie ont enchanté l’Europe.
Des petites histoires de jeunesse, tout le monde en a connues tant et tant qu’un jour, engourdies dans nos mémoires, elles en ressortent quand la nostalgie vous prend dans ses bras.
« On se retrouve demain… Salut ! ». C’est par ces mots que l’auteur terminait ses matinales lorsqu’il travaillait dans les « locales » de Radio France. Avant cela, il était passé par le music-hall, le cabaret, la télé, les radios commerciales.
En contemplant la forêt, en apercevant le vent jouer, Lisa se sentit gagnée par l'assoupissement de l'extase. Les yeux remplis d'un excès de lumière, ce fut un enchantement de les fermer. Tout à coup en se réveillant, elle était ailleurs… une lueur d’éternité descendit sur la beauté d’un monde embelli par d’agréables sensations. À dos de licorne, elle accompagne Dame Caïssa dans sa recherche des Clefs des Sylphes qui ouvrent la porte de l’Autre Monde. Pour réussir cette mission, elles devront affronter diverses épreuves mais elles feront de belles rencontres imposant une trêve aux combats des rois avec une ouverture sur un champ prestigieux.
Le corps nu d’une jeune fille est retrouvé au parc de Font Obscure dans le treizième arrondissement de Marseille. Si les premiers indices laissent supposer qu’elle s’est pendue, les enquêteurs se rendent vite compte qu’il est impossible que cela se soit produit sur les lieux de la découverte, d’autant qu’aucun élément ne permet de l’identifier.
Chantal Losfeld, originaire du Nord de la France a commencé à écrire en faisant deux biographies sur les Sunlights, groupe mythique des années 70. Elle a toujours baigné dans les livres avec des parents libraires. Plus tard, son père devint l’éditeur des Surréalistes. Son huitième récit, qui relate la perspicacité d’un inspecteur de police pour trouver l’assassin de personnes innocentes, vient étayer une collection de petits romans variés et faciles à lire.
Voilà un peu plus de quarante ans que Madeleine et Marcel vivent dans ce petit lopin de terre de l’Aveyron, ce que certains appellent la campagne profonde. Certes, l’endroit est magique avec des reliefs et ses différences de climat dues essentiellement à la proximité des Pyrénées du Massif Central et de la Méditerranée. Le couple est usé par les difficultés de la vie, les privations et le regret de n’avoir pas eu d’enfant, après tant d’années de vie commune, Marcel et Madeleine n’ont pratiquement plus de dialogue. Ils échangent peu de mots, menant ainsi chacun leur propre vie en parallèle avec l’autre, et se refermant sur eux-mêmes. Jusqu’au jour où, une nuit d’orage un fait divers se produit, un déclic un peu comme une étincelle dans la nuit. À partir de ce moment-là, tout va basculer…
– Maman, maman, nous avons vu l’Allemand. Il rangeait des planches sous le hangar des Comte. Nous avons eu peur, nous nous sommes cachés pour l’épier. Marceau, qui se disait très courageux, avait rempli ses poches de cailloux. Mais le prisonnier a travaillé sans relâche. Tu le reconnaîtras, il porte une casquette militaire et je suis certain qu’il est plus grand que Raoul Martin.
Avant de l’envoyer à son éditeur, Richard termina la lecture de son dernier manuscrit - le matelassier de la casbah d’Alger - qui mêle habilement souvenirs d’enfance et événements réels. Le tout en utilisant avec bonheur le langage des Français d’Algérie baigné d’orientalisme. Il était prêt à être soumis à la publication. Sylvain Mani était le directeur des éditions Sévigné. Pied noir bon teint, il avait eu un coup de cœur lors de la lecture du premier manuscrit de Richard dont le titre « Alger, Romance inachevée » avait attiré son attention. Depuis ce jour, était née une amitié basée sur la nostalgie du pays natal. La parution de cinq ouvrages avait entretenu la relation éditeur-écrivain dont la complicité ne se démentit jamais.
Comme bien d’autres, le désastre de 1870 et l’occupation allemande ont forcé à l’exil la famille Stoesser – Rudolphe, Elisabeth et leur fille Annelise -, originaire de Mulhouse en Alsace. Comme bien d’autres, après la déception de l’accueil en France, elle s’est tournée vers les colonies et un nouveau destin. Pour certains ce fut l’Algérie, les Stoesser ont choisi Porto-Novo où tout était à construire. C’est leur histoire que raconte Pierre Dufour dans cette saga qui s’étend sur dix ans, de 1882 à 1892.
D’émeraude et d’argile retrace le destin tragique d’une famille bousculée par l’Histoire dans l’espace et dans le temps, et qui va errer dans plusieurs pays d’Europe, d’Amérique centrale et d’Afrique du Nord.
Joce Monclar, romancier en mal d'inspiration, s'installe dans ce manoir en pays bourbonnais qu'il a bien connu enfant.