Grégoire a eu un coup de foudre extraordinaire pour Yann... Il l'a dans la peau ! Il n'aura de cesse de la (re)conquérir. Cheminons avec eux tout au long de leur vie, parsemée d'épisodes à rebondissements parfois tumultueux, parfois tragicomiques. Il y aura deux issues différentes à leur histoire, au choix du lecteur. Laquelle sera vraie... ou pas ? Qu'importe, ce sera une belle histoire d'amour – porteuse d’espoir et de résilience – qui fera longtemps écho en chacun nous.
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Grégoire a eu un coup de foudre extraordinaire pour Yann... Il l'a dans la peau ! Il n'aura de cesse de la (re)conquérir. Cheminons avec eux tout au long de leur vie, parsemée d'épisodes à rebondissements parfois tumultueux, parfois tragicomiques. Il y aura deux issues différentes à leur histoire, au choix du lecteur. Laquelle sera vraie... ou pas ? Qu'importe, ce sera une belle histoire d'amour – porteuse d’espoir et de résilience – qui fera longtemps écho en chacun nous.
Annick Cross est née en 1948 en Dauphiné. Dès l'enfance, elle écrit de petites histoires, des poèmes… Après un cursus littéraire à Lyon, elle gère avec son mari une entreprise industrielle de plus de cent salariés durant vingt-cinq ans. Ils auront trois enfants. Elle reprendra ensuite des études pour diriger une maison de retraite associative jusqu'à sa retraite. Elle se retire alors sur la côte varoise avec son époux. Une histoire vraie... ou pas est son premier roman.
Lise croyait en la vie, en l’amour. Elle ne doutait de rien et n’avait qu’une envie, celle de chanter et de rire. Mais la vie n’est jamais ce que l’on aimerait qu’elle soit.
L’Écharpe de laine rouge est un roman riche en rebondissements et émotions. Un roman où s’entrechoquent amour, amitié, jalousie, haine, vengeance au rythme d’un enchaînement de situations complexes où se mêlent passions, sexualité et milieu carcéral. Un miroir de vie où l’on peut décrypter qu’en dépit de son intelligence, l’Homme reste la proie de ses désirs et ne peut rester maître de son destin. Il se trouve contraint de subir les aléas de l’existence par les choix qu’il fait, des choix souvent guidés par les tentations les plus fortes, les plus redoutables.
La mort de mon grand-père fut ressentie par toute la famille comme un cataclysme. Il était le pivot de cette famille d’immigrés italiens qui avait tant bien que mal réussi à s’intégrer sur le sol de France.
Tous les habitants du quartier étaient présents aux obsèques célébrées dans l’église voisine de la maison familiale, par un beau soleil d’hiver. Pendant la cérémonie, ma mère ne pleurait plus. Assise sur un banc de cette église dans laquelle elle avait vécu tant de bonheurs, elle revoyait son enfance heureuse avec sa sœur et son frère, sa communion solennelle, son mariage. Elle revoyait aussi sa mère telle qu’elle était avant de sombrer dans la dégradation de tout son corps, lâchée par son cerveau usé. À chaque image, son père lui apparaissait, souriant, fier.
À cette époque, nous collions des décalcomanies sur nos cartables quand nous ne jouions pas aux osselets. À cette époque, nous portions des cols roulés en acrylique, les cheveux hérissés par l’électricité statique. À cette époque, nous nous endormions devant Nounours et le Marchand de sable. À cette époque, pourtant pas si lointaine, être Asperger ne voulait rien dire.
Si je vous disais où cette histoire d’amour a pris naissance, vous seriez surpris. Elle est née sur la falaise de Bonifacio, au-dessus des vagues, dans le petit cimetière blanc qui couronne le rocher. Le lieu de repos est un dédale de ruelles où de petites chapelles funéraires se tiennent serrées les unes contre les autres ~ comme dans un village, les maisons ~ pour mieux faire face aux vents marins… C’est là, au détour d’une allée que la vision s’est offerte à mon regard. Oh ! Ce n’était pas grand-chose. Simplement un foulard bleu ~ bleu profond, couleur de mistral ~ noué à la poignée de la porte d’une de ces chapelles funéraires. Un simple bandana en fait. De là, a pris corps cette suite de textes en forme de correspondance rêvée. Le reste ? Le reste tient dans un cri.
Dans cet ouvrage, Jean-Michel Barra nous livre pêle-mêle un inventaire, formulé en un abécédaire particulier, ses réflexions sur le temps qui passe ou sur les sujets d’une actualité de plus en plus brûlante et affolante.
Dans les quartiers nord de Marseille, en l’espace de quelques mois, trois personnes meurent en tombant du toit de tois tours d’immeubles. Lorsque le détective Siciliano apprend l’implication de son ami flic Bélandi et son arrestation, il décide de s’emparer de cette affaire en compagnie de ses deux fréres. Dans le déroulé de son enquête, le privé va apprendre que Bélandi partageait les bancs de l’école avec les trois victimes. Mais quel est donc le secret qui unissait cette classe de première? Un architecte connaît le fin mot de l’histoire, mais tout ingénieux qu’il soit, le malin meurt toujours de la main de l’idiot…
C’est l’histoire de Marie qui erre, un matin d’hiver, au bord de la mer. C’est l’histoire de Marie, une femme d’aujourd’hui, ni encore jeune ni déjà vieille, qui ignore pourquoi elle a fui. C’est l’histoire de Marie, aux prises avec ses « moi » multiples : le timoré, l’ego dingo et l’horripilante petite voix. C’est l’histoire de Marie qui décide de dérouler le fil de son passé pour s’aimer au présent et pouvoir un jour s’inventer au futur. C’est l’histoire de Marie, ballottée entre la peur de déplaire et la nécessité d’être. C’est l’histoire de Marie, une femme d’aujourd’hui, un peu secrète et empêchée, qui oscille en déséquilibre sur le bord de sa vie. Au loin, un homme l’épie.
En réunissant les Palladions, Diane et Matthias espéraient fermer définitivement le dernier passage d’entre les mondes. Pour une raison inconnue, les Enfants-libres en ont décidé autrement. L’Aube rouge n’a pas empêché l’Obscurité de se libérer de sa toile de lumière. Resserrant son étau, avide d’envahir notre monde, elle prépare ses forces.
Tout commence par la découverte du cadavre d’une jeune femme sur une plage au bord de la Méditerranée.
Banal, penserez-vous. C’est un polar ! Sauf que cette femme est nue, que son visage est méconnaissable, qu’aucun papier d’identité, ni aucun indice matériel ne sont retrouvés à proximité. Et que personne ne la connaît.
Un réveil en sursaut… Une chambre d’hôpital… La douleur, l’incompréhension, mais surtout… L’amnésie !!! Une ville trop grande pour lui, une famille qu’il doit accepter. La vérité est-elle bonne à chercher quand on ignore tout de son passé ?
« Sache qu'en ouvrant ce livre tu pénètres dans un monde qui te dépasse, petit être. Tu sais, il y a des livres qui sont juste des livres, et il y a des livres...qui sont des UNIVERS. Ces livres-là sont très rares, et tu viens d'en trouver un. Dans ce genre de livre, il n'y a aucune règle. Comme votre univers qui a beaucoup de pays et de planètes, mon univers a aussi plein d'endroits très, très différents. Certains lieux sont délicieusement terrifiants, il y en a qui sont doucement ensorcelants, d'autres sont divinement éblouissants...tous sont magiques et IMPREVISIBLES... Tu crois être paisiblement en train de lire ce livre, en sécurité, mais en réalité une part de ton âme est ici, avec moi. » Justin referma le livre : quel livre étrange ! Soudain, un gros bruit le fit sursauter.
C’est avec un intérêt passionné, traversé d’intrigues, d’allégresse et de désespoir, que l’auteur tisse une histoire tumultueuse et toute brûlante d’amour avec les tragiques évènements de Toulon pendant la Terreur, en y mêlant scrupuleusement les références authentiques, les personnages et les lieux dits.