Un ciel étoilé invitant au romantisme, une petite cité balnéaire de la côte varoise au demeurant tranquille, une réunion de copains et copines devant un plat de tapas ; en fait rien qu’une banale soirée de vacances… 

Pourtant, quelques heures plus tard, le réveil s’avérera douloureux ! Une adolescente, Audrey, 16 ans, apparemment sans histoire, espoir du handball local, s’est mystérieusement évanouie dans la nature. 

Qu’est-elle devenue ? A-t-elle fugué, a-t-elle été enlevée ; ou… pire ? 

Dans un monastère au Tibet, le maître annonce l’avènement, à notre époque, d’une ère meilleure qu’il nomme le cycle de Tara, « le signe de cœur », un âge où l’humanité doit se rassembler autour de l’idée de fraternité. Un roman d’aventures archéologiques où l’auteur mêle, de rebondissements en surprises, mythes et réalités historiques pour nous emporter dans un dangereux labyrinthe de secrets dont personne ne devrait pouvoir sortir vivant…

La majorité des gens pense que c’est un produit français, voire même le plus français des produits. Pour cela, il est connu du monde entier. Ils aiment le tremper dans leur café, y mettre de la confiture, de la pâte à tartiner.

De terres vallonnées couvertes d’une végétation luxuriante, en passant par la plaine de hautes herbes piquetée d’arbustes, royaume des grands mammifères, ou ses chefferies aux motifs sculptés remarquables, SOS Mission Dschang est un album de voyage qui vous fera découvrir l’âme du pays bamiléké.

Un vent de révolte souffle sur ce roman d’amour. Éliane, une jeune infirmière, se lance à cœur perdu dans une mission de brousse, dans les chaînes montagneuses du Cameroun, région des rebelles.

Mais à travers les multiples dangers qui la guettent, il en est un qu’elle ne pouvait prévoir.

L’amour ! En sa rencontre avec Paul, un chirurgien émérite, que les indigènes considèrent comme le sorcier blanc…

Dans un futur proche, Paris vit sous surveillance vidéo. L’auteur zoome sur deux personnages. Nancy Lanier, une adolescente à l’aube de sa carrière de mannequin, avale sous l’influence de son petit ami une mystérieuse gélule rose qui la fait basculer soudainement de l’autre côté du miroir… Lyas Aloui, travailleur social à SOS drogues en instance de divorce, reçoit un e-mail-au-secours de la part d’une inconnue qui vit sous le joug d’un homme aux mœurs sexuelles décomplexées. Autofiction, anticipation, fantastique, policier, érotique, social, psychologique : un roman inclassable. Une écriture accessible et prenante permettant à ses lecteurs de se glisser dans l’esprit de ceux qui consomment cette nouvelle drogue de synthèse comme si vous y étiez…

"Oublie ce que tu sais" est devenu la gomme magique qu’il me faudrait passer sur toutes mes peines et toutes mes joies, sur toute image qui m’emprisonne, sur toute expérience qui me fige, sur tout souvenir qui me cristallise.

Tout gommer et ne garder que la confiance en cette vie qui vient nous chercher. Où que l’on soit, sur n’importe quel rivage où nous nous sommes installés un instant, la vie vient, nous interrompt, nous appelle…

Alors répondre.

Grâce à la gomme magique de l’auteur ce récit est une respiration, un trait d’union qui nous fait découvrir combien sont intimement liés les mondes de l’intériorité et de l’expérience qui se reflètent sans cesse.

Un manoir isolé dans la campagne anglaise au milieu d’un vaste marais fantomatique. Des héritiers alléchés par la colossale fortune de sir Arthur de Whittington. Mais la mort rôde dans les couloirs. Qui pourrait déjouer les plans d’un mystérieux assassin sinon Patience Grandville, jeune journaliste au tempérament bien trempé ? La vérité pourra-t-elle éclater au terme d’une enquête difficile dans un oppressant huis clos riche en rebondissements ? Pas si simple, car dans les brumes de Foggy Paddocks se cachent de nombreux mystères.

2008. Agathe est journaliste pour un magazine mensuel qui met à l’honneur des femmes contemporaines et novatrices. C’est pourtant Margaux Bayol – cent onze ans et dernière infirmière encore en vie ayant exercé pendant la Première Guerre mondiale – qu’Agathe rencontre pour partager son histoire exceptionnelle. 1916. Margaux est mariée à Léon dont elle est sans nouvelles depuis plusieurs mois. Ne supportant plus la passivité que lui impose sa condition de femme bourgeoise dans le conflit international, elle décide de devenir infirmière et de partir à la recherche de son mari au plus près des combats.

C’est l’histoire de Marie qui erre, un matin d’hiver, au bord de la mer. C’est l’histoire de Marie, une femme d’aujourd’hui, ni encore jeune ni déjà vieille, qui ignore pourquoi elle a fui. C’est l’histoire de Marie, aux prises avec ses « moi » multiples : le timoré, l’ego dingo et l’horripilante petite voix. C’est l’histoire de Marie qui décide de dérouler le fil de son passé pour s’aimer au présent et pouvoir un jour s’inventer au futur. C’est l’histoire de Marie, ballottée entre la peur de déplaire et la nécessité d’être. C’est l’histoire de Marie, une femme d’aujourd’hui, un peu secrète et empêchée, qui oscille en déséquilibre sur le bord de sa vie. Au loin, un homme l’épie. 

Si je vous disais où cette histoire d’amour a pris naissance, vous seriez surpris. Elle est née sur la falaise de Bonifacio, au-dessus des vagues, dans le petit cimetière blanc qui couronne le rocher. Le lieu de repos est un dédale de ruelles où de petites chapelles funéraires se tiennent serrées les unes contre les autres ~ comme dans un village, les maisons ~ pour mieux faire face aux vents marins… C’est là, au détour d’une allée que la vision s’est offerte à mon regard. Oh ! Ce n’était pas grand-chose. Simplement un foulard bleu ~ bleu profond, couleur de mistral ~ noué à la poignée de la porte d’une de ces chapelles funéraires. Un simple bandana en fait. De là, a pris corps cette suite de textes en forme de correspondance rêvée. Le reste ? Le reste tient dans un cri. 

Ce récit autobiographique est le caléidoscope des mémoires d’une petite fille dont le rêve évanoui était de devenir « danseuse étoile »… Les chemins qu’elles empruntent semblent tourner sans cesse en rond alors que, inexorablement, ils évoluent en spirale vers la vérité inavouable : une enfance abusée.

Le fait que l’un des huit managing directors de Zucker & Zucker Bank l’accueille directement à la sortie de l’ascenseur était une nouvelle marque de courtoisie plutôt inhabituelle.

David savait que le nom de Bolinger & Associés était connu et reconnu dans le milieu des fusions acquisitions ; pour autant, il savait aussi que son cabinet ne participait pas aux « mégadeal » des cent premières capitalisations boursières du monde auxquels prenait part régulièrement la banque d’Andrew.

Il connaissait aussi l’arrogance légendaire de ces directeurs et plus particulièrement celle de son interlocuteur, qui usaient et abusaient de leur puissance dès qu’ils en avaient l’occasion, le tout avec le sourire et le tutoiement...