MIRABEAU - Des bacs aux ponts sur la Durance de Maurice BILLO
Référence: L2299
20,00 €
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Ce livre retrace l’histoire des bacs du Moyen Âge et des différents ponts sur la Durance au défilé de Mirabeau. Véritable trait d’union entre les hommes sur la route des Alpes, ils ont permis à chaque génération de franchir l’impétueuse Durance. Pour que la mémoire de ces avancées techniques se conserve et que les ingénieurs de demain se souviennent des prouesses de leurs anciens.
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Ce livre retrace l’histoire des bacs du Moyen Âge et des différents ponts sur la Durance au défilé de Mirabeau. Véritable trait d’union entre les hommes sur la route des Alpes, ils ont permis à chaque génération de franchir l’impétueuse Durance. Pour que la mémoire de ces avancées techniques se conserve et que les ingénieurs de demain se souviennent des prouesses de leurs anciens.
1864 est l'année de la consécration de la cathédrale Notre-Dame de Paris après les travaux de restauration de Viollet-le-Duc. Cette même année commence sur le lac de Sylans, près de Nantua, une formidable aventure qui durera plus d'un demi-siècle : l’aventure de l’exploitation de la glace.
Signes est riche de son patrimoine : Fontaine aux sorcières, Cour d’Amour. Riche de ses traditions : Fête de la Saint Jean et de la Sainte Éloi. Riche de son air vivifiant connu entre autres des Évêques marseillais qui cherchaient à s’éloigner des épidémies de peste. Riche de sa plaine alluvionnaire et de ses collines, bien connues des excursionnistes varois et marseillais. Robert, le cartophile, est originaire du village. Il a su faire apprécier à son épouse Gisèle, toute la beauté de ce terroir. Aujourd’hui le village a une zone d’activités importante près du circuit Paul Ricard (celui-ci en fut le maire de 1972 à 1980). Beaucoup d’associations sont actives et bien soutenues par le maire Jean MICHEL et son conseil municipal.
Les ponts d’Arles ont à ce point ponctué la vie passée et présente de la cité qu’ils méritaient d’être associés à son histoire. C’est chose faite avec ce livre. Selon ses goûts, le lecteur le parcourra comme un récit pittoresque et coloré, ou s’informera du détail technique. Il permettra certainement d’apprécier toutes les difficultés de franchissement du Rhône et du Petit-Rhône depuis l’époque des bacs jusqu’aux ponts contemporains. Les caractéristiques des ouvrages construits y sont présentées successivement dans le contexte technique de leur époque.
Voici un livre utile : dans l'historiographie de Saint-Mandrier et des cafards, ainsi qu'étaient naguère surnommés ses habitants, il dépoussière, trie, fait le ménage, range. Voici un livre intelligent : il indique les limites actuelles de nos connaissances, fait un état des richesses naturelles et architecturales du territoire, étudie l'évolution de la population, trace des pistes, ouvre des perspectives, donne à réfléchir. Voici un livre qui devrait être la bible des décideurs politiques ou apprentis décideurs : ils y trouveraient matière à agir pour le bien-être de la collectivité.
La vie tourmentée de Victor Tournel nous renvoie aux sources de ce qu’il faut bien appeler l’épopée industrielle et sociale d’une ville qui aujourd’hui encore, tout en allant de l’avant, cherche ses marques, orpheline de la grande construction navale qui pour l’essentiel a fait d’elle ce qu’elle est devenue. Ce nouveau roman de Francis Lyon nous transporte de la IIe à la IIIe République, au travers du vécu d’un petit port de pêche du bord de la Méditerranée, de la fin des petits chantiers, en passant par l’épidémie de choléra, la vague d’immigration italienne, la première grève et les premiers affrontements de 1872, événements à la suite desquels “ rien ne serait plus comme avant ”...
Dans la langue chère au grand maître du félibrige, Frédéric Mistral, une sartan n'est qu'une superbe poêle destinée à cuisiner. Mais dans la vie de tous les jours, au siècle dernier, ce terme désignait aussi une jeune fille espiègle jouant avec les flammes de l'enfer ! Alors, prenez garde si vous la croisez...
La Provence éternelle, celle des oliviers et des cigales qui ponctuent de leur chant les savoureuses répliques des personnages de Marcel Pagnol, existe toujours. Pour la découvrir, il suffit d'aller se promener sur un terrain de boules, dans l'ombre fraîche d'un platane centenaire et d'écouter quelques anciens parler. La chine, art ancien qui consiste à mettre au bon moment quelques gouttes d'huile (d'olive) sur le feu de la discussion, y règne toujours aux côtés de la galéjade, de la vantardise bon enfant et des réflexions frappées au coin du bon sens. Jean-Michel Barra nous décrit, au fil de portraits plein d'humour, ce petit monde qui perpétue chaque après-midi la gaîté et l'art du vivre ensemble.
Après “Saint Tropez, histoires des gens d'ici”, Jean-Charles MEYER nous livre dans cet ouvrage une suite de ces histoires tropéziennes. Pour cela il s'est adjoint la mémoire du village, François COPPOLA. Ils ont travaillé de concert, à quatre mains, afin de poursuivre en un nouveau tome, cette saga des tropéziens et de leurs amis résidents ou de passage. C'est ainsi qu'au fil des pages vous pourrez découvrir comment en 1937, la Bravade faillit exploser, comment les peintres Georges Cotos et Dany Lartigue ont posé sur la toile leurs magnifiques oeuvres, l'origine de la fabrication des sandales tropéziennes, les vespasiennes au Conseil municipal et bien d'autres aventures telle le Grand Prix cycliste de la place des Lices, survenues dans ce "petit" village connu du monde entier.
Acteur et observateur de la vie politique varoise, Marc Bayle offre une précieuse étude d’histoire du temps présent sur l’évolution des droites à Toulon de 1958 à 1994, mettant son expérience administrative et politique au service d’un travail d’historien. Les fils conducteurs de cette réflexion sont la culture politique du ressentiment, reposant sur les réseaux « Algérie française », la mainmise du milieu patricien local sur la gestion de la ville, et la constitution d’une droite « sudiste ». Pour déchiffrer la situation toulonnaise, il fallait s’intéresser aux mutations politiques dans la moyenne durée. La prise en compte des contextes démographique, avec l’arrivée des pieds-noirs, et économique, avec la fin du Toulon ouvrier gravitant autour de l’arsenal, était essentielle.
L’ivresse du quotidien. Ce recueil n’a pas la prétention de livrer une vue exhaustive de Toulon. Il n’est pas non plus une visite des plus beaux sites de la ville, ni seulement une exposition de clichés artistiques. Cet ouvrage est un révélateur de la beauté de la vielle ville pour qui sait regarder. Entre sa maison et son lieu de travail, l’auteur devient photographe-habitant pour saisir à la volée le parcours de sa réalité au cœur de la vieille ville. Il capte alors l’extraordinaire de sa réalité et souhaite habiter sa ville pour y percevoir le reflet de son âme. Les photos de cet ouvrage, tantôt en noir et blanc, tantôt en couleur, vibrent d’une extrême densité. Elles témoignent à elles seules que la beauté se livre à qui souhaite l’accueillir.
Inventez des histoires de famille, de voisinage qui se dispute, des garçons et des filles qui jouent au chat et à la souris avec les sentiments, des fanfarons qui roulent des mécaniques, des cafés qui parlent haut et fort...
Parler des petites misères et des grandes joies d’un peuple babao à force d’être heureux de vivre là où leurs aïeux sont enterrés. Le marchand de figues de barbarie, la boulangère belle comme le jour, le cordonnier vilain comme c’est pas possible, mais qui faisait les réparations soua-soua. Ou bien Polo le baratineur, Jacky, le Marlon Brando du quartier...