L’auteur Stéphane Carbonnel nous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître celui du service militaire. Une parenthèse de quelques mois, jadis obligatoire et désormais facultative. Et c’est quelque part regrettable car nombreux sont les hommes qui resteront marqués à vie par ces moments-là. Des doutes liés à l’incorporation à l’adaptation à la vie de la caserne sans oublier la solidarité affichée pendant les manœuvres. Et bien d’autres émotions encore que l’on retrouve dans cet ouvrage qui fait aussi la part belle à la rigolade et aux anecdotes truculentes. « Le premier impôt » fait partie de ceux que l’on paie volontiers soit pour se remémorer des souvenirs similaires ou découvrir ces tranches de vie par essence éphémères…
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L’auteur Stéphane Carbonnel nous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître celui du service militaire. Une parenthèse de quelques mois, jadis obligatoire et désormais facultative. Et c’est quelque part regrettable car nombreux sont les hommes qui resteront marqués à vie par ces moments-là. Des doutes liés à l’incorporation à l’adaptation à la vie de la caserne sans oublier la solidarité affichée pendant les manœuvres. Et bien d’autres émotions encore que l’on retrouve dans cet ouvrage qui fait aussi la part belle à la rigolade et aux anecdotes truculentes. « Le premier impôt » fait partie de ceux que l’on paie volontiers soit pour se remémorer des souvenirs similaires ou découvrir ces tranches de vie par essence éphémères…
Parcourir les routes du monde ! Pour découvrir d'autres horizons, d'autres valeurs, pour apprendre à mieux se connaître... Nous l'avons fait mon fils de 14 ans et moi, à moto entre Hyères et le cap Nord pendant 4 semaines.
Peppe Russo. C’est comme ça que l’on m’appelle. Je suis né à Tunis, le lundi 1er juin 1931, à 4 heures du matin, d’une famille sicilienne de Castellammare del Golfo, dans la province de Trapani, lieu de naissance de mon père et ma mère.
Avec l’arrivée d’Hassan Rohani à la présidence de la République islamique d’Iran, un vent d’espoir souffle dans les chancellerie sur une possible modération de la théocratie qui entretient des relations conflictuelles avec l’Occident depuis le début. Faut-il se fier aux apparences et aux allures de ce mollah qui a été dans tous les rouages de la dictature iranienne, y compris à des postes extrêmement sensibles de la sécurité et de la défense ? L’Occident ne découvre pas Rohani qu’en 2013 ; il a été le principal interlocuteur de la troïka européenne pendant les négociations nucléaires en 2003.
11 mars 2011, séisme et tsunami au Japon. En France, une femme vit le drame en direct par écrans interposés : son fils Rémi est installé là-bas. Il s’apprête à épouser Yuko, une Japonaise. Six mois plus tard, conviée à leur mariage, elle les rejoint. Hélas, le Japon n’est pas un pays de tout repos, elle le découvre à ses dépens : expériences cocasses, étranges ou éprouvantes se succèdent. Retirée sur une île de l’océan indien, elle prend enfin le temps de déplier l’origami de cette année-là et de chercher la cause de ses égarements. L’écriture parviendra-t-elle à élucider ce passé ?
Le médecin attitré de Porquerolles depuis de longues années a décidé de réaliser un ouvrage pour revenir sur cette expérience professionnelle si atypique. Il en résulte des anecdotes assez exceptionnelles mais aussi et surtout des tranches de vie saisissantes de sincérité, de simplicité et empreintes d’humour. Comme il le dit lui-même : « Sur cette île tout devient possible comme être sur les traces de Barberousse ou y croiser Zinedine Zidane... ».
Les secrets des uns sont les tabous des autres. Ces autres qu’il faut préserver par amour. Et pourtant les conséquences des non-dits peuvent s’avérer pires encore. Dans son autobiographie, l’auteur dévoile avec force et courage « …la parole assassine. », blessure qu’elle a tenté toute sa vie d’occulter pour protéger les siens. Poignant, difficile, ce récit nous laisse vides et en colère contre l’injustice de ce vécu. L’abus de faiblesse ne serait-il aujourd’hui décrié que par ceux qui ne sont pas touchés personnellement ? Les dénonciations médiatiques, publiques n’ont-elles pas leurs places au sein de l’entourage, de la famille qui souvent encore préfèrent voir la victime comme le criminel.
S’il y a bien un domaine prépondérant qui a connu de nombreux changements, et pas forcément positifs, c’est bien celui de la scolarité. Des méthodes d’enseignement en passant par le système de notation, sans oublier les relations avec les élèves et les parents…
Deux mois avant la Coupe du Monde de Football de 2014, je décidai de déposer mes valises dans un hôtel du quartier de Copacabana, à Rio de Janeiro, qui serait mon QG d’où j’allais arpenter, objectif à la main, une ville dans tous ses états et sous tous les angles : sa Nature époustouflante comme le Pain de Sucre, le Corcovado orné de son Christ Rédempteur, ou la plage mythique de Copacabana ; son architecture aux mille contrastes florissant un centre-ville de ses buildings vitrés, ses favelas tenant vaillamment debout avec des matériaux de récupération, dévorant, par leur étendue, presque toutes les collines de Rio ; son tourisme médiatique « en cage », dressé au mutisme, pour accueillir les supporters venus assister à la Coupe du Monde de Football...
Frédéric Dumas (1913-1991) est un des pionniers de l’aventure sous-marine, compagnon de Jacques-Yves Cousteau, co-auteur du Monde du Silence. Il a grandement contribué à l’essor de l’archéologie sous-marine, sa passion.
Ce texte inédit de ses mémoires nous fait découvrir cet homme discret et méconnu.
Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.
Ce recueil est un hommage à des travailleurs qui firent les Chantiers et la tuyauterie en particulier. Les initiateurs du projet ont choisi de mettre en « mémoire » tous ceux qui ont individuellement concouru au développement et à la défense de leurs outils de travail avec intelligence et pugnacité. Ils ont mis toutes leurs forces et tous leur savoir à sauvegarder une entreprise fleuron de l’industrie française. Dans ces pages, il y a cinquante ans d’histoire quotidienne dans toutes ses formes. Travail, social, syndical et politique, qui ont façonné un esprit si particulier de la tuyauterie, au point de devenir un atelier emblématique du Chantier. Trois thèmes sont développés dans cet ouvrage.
La présence au Niel – à partir de 1928 et jusqu’à la guerre – de Louis Renault et de son yacht, le Chryseis, a sans doute beaucoup contribué à rendre ce site digne du label de « petit port d’intérêt patrimonial » qui lui a été attribué en 2012. L’auteur de cette plaquette, ancienne présidente des Amis du Niel, s’est intéressée de ce fait à un aspect, jusqu’ici négligé, de l’activité de Louis Renault. La patiente reconstitution (à partir de documents originaux) de cette période nous introduit dans la vie du petit village de paysans pêcheurs que Giens était alors. On en apprend aussi un peu plus sur la personnalité, diverse et attachante, de Louis Renault, défenseur de l’Environnement quand il le fallait..
L’auteur Stéphane Carbonnel nous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître celui du service militaire. Une parenthèse de quelques mois, jadis obligatoire et désormais facultative. Et c’est quelque part regrettable car nombreux sont les hommes qui resteront marqués à vie par ces moments-là. Des doutes liés à l’incorporation à l’adaptation à la vie de la caserne sans oublier la solidarité affichée pendant les manœuvres. Et bien d’autres émotions encore que l’on retrouve dans cet ouvrage qui fait aussi la part belle à la rigolade et aux anecdotes truculentes. « Le premier impôt » fait partie de ceux que l’on paie volontiers soit pour se remémorer des souvenirs similaires ou découvrir ces tranches de vie par essence éphémères…