J’ai utilisé le langage parlé des enfants Bab El Oued pour chanter l’Esplanade qui, en fait, est l’appendice greffé du faubourg après la démolition des portes de Bab El Oued. Le parler de tous les jours, agrémenté de mots italiens, espagnols et judéo-arabes propres à la communauté israélite qui, pour la plupart, venait de la casbah d’Alger. Ce langage né du brassage méditerranéen agrémenta la langue française que tenta et parvint à nous enseigner l’école de Jules Ferry. Oubliez la syntaxe et la grammaire française pour donner à ce récit toute son authenticité. J’espère que vous prendrez le même plaisir à lire ce petit livre que moi à l’écrire.
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J’ai utilisé le langage parlé des enfants Bab El Oued pour chanter l’Esplanade qui, en fait, est l’appendice greffé du faubourg après la démolition des portes de Bab El Oued. Le parler de tous les jours, agrémenté de mots italiens, espagnols et judéo-arabes propres à la communauté israélite qui, pour la plupart, venait de la casbah d’Alger. Ce langage né du brassage méditerranéen agrémenta la langue française que tenta et parvint à nous enseigner l’école de Jules Ferry. Oubliez la syntaxe et la grammaire française pour donner à ce récit toute son authenticité. J’espère que vous prendrez le même plaisir à lire ce petit livre que moi à l’écrire.
Entre Tunis, Paris, Lyon, l’Europe et les États-Unis, Paul Dana nous prend par la main pour un parcours où la joie, le bonheur et l’optimisme, ses amitiés, ses amours, ses rencontres et ses mentors restent la composante principale. Les Soleils de ma vie, récit autobiographique haut en couleurs et en saveurs, nous éclaire et nous réchauffe tels des rayons de soleil tout au long de ses multiples chemins empruntés. Il s’agit là d’une belle leçon de vie, remplie d’anecdotes et d’enseignements, guidée par une constante résilience.
Dans la vie il y a des cycles. Certains sont positifs et d’autres testent vraiment votre capacité à rebondir après les coups durs. Ce fut mon cas lorsque, au sortir d’un confinement qui nous a tous de près ou de loin bien chamboulés, j’ai découvert en septembre 2020 une grosseur sur mon sein gauche. Le stress fut logiquement immédiat. Après une mammographie, une échographie, une IRM et une biopsie, mon gynécologue m’a annoncé que j’avais un cancer du sein. Le tourbillon infernal a alors commencé pour ma famille et pour moi-même avec les examens médicaux, l’opération, les séances de radiothérapie, le traitement d’hormonothérapie, les doutes, les angoisses, puis la dépression.
D’après un fait réel qui s’est déroulé en France. Gagner sa vie en frôlant la mort chaque jour. Ce numéro était particulièrement dangereux. Le fait que le risque soit considérable, en faisait l’attrait. L’être humain est ainsi ; la proximité de la mort lui occasionne une attirance macabre.
Ce témoignage sur l’impuissance conduit à une analyse psychologique de la puissance et de l’impuissance. L’auteur, âgé de 90 ans, est catholique. Il a donc rappelé que Dieu semble parfois « impuissant » par exemple lorsque nous vivons des épreuves sans vivre son aide. En réalité Dieu apparaît « impuissant » face à notre liberté mais il est tout-puissant d’Amour et sa puissance est éternelle. Ce vécu de l’« impuissance apparente » de Dieu peut résulter d’un manque de confiance en son Amour. C’est une épreuve pour la foi. Ce témoignage analyse la puissance et l’impuissance dans les trois domaines de l’argent, du pouvoir et du sexe, qui sont les trois « terrains » principaux où se manifestent les tentations de destructions de l’amour.
Je n’ai aucun souci à paraître « has been » aux yeux de certains programmateurs qui, aujourd’hui, délaissent la chanson française. Ce livre accompagné d’un disque s’adresse aux personnes qui, comme moi, considèrent que la chansonnette fait partie intégrante de nos racines et de notre vie. Comme les deux aspects sont indissociables je reviens aussi dans cet ouvrage sur mon histoire qui est aussi celle du groupe Les Sunlights. En bonus un CD que je vous invite à écouter et vous donne rendez-vous lors d’un prochain gala. Car la musique est intemporelle pour ceux qui savent l’apprécier…
Dès les premiers «mots» nous sommes frappés par la passion profonde que génère ce lieu mythique, cette forteresse à double entrée. Mayol, cette arène féroce pour nos adversaires, mais surtout ce théâtre de «symphonies» rythmées par le cœur des supporters.
Être au bord de la rade et vivre «le naufrage des mots anciens» a poussé Jean-Claude à perpétuer la tradition pour lutter contre la «morosité» en nous offrant ce livre.
Tel «le Cœur de l’océan» du Titanic, les mots se perdent mais ne sont pas si loin. Laissez-vous guider par le philtre d’un passionné, vous verrez… vous les retrouverez. Grâce à Jean-Claude ils remontent à la surface et ne demandent qu’à se répandre dans les travées de Mayol.
Dans « Le Collège de Neptune », Claude ROUQUETTE évoque les relations historiques des Cévennes avec la mer. L'auteur raconte l'histoire des professeurs et des élèves de marine d'une des premières - École Navale - établies à Alès et à Vannes (1786-1792), il nous entraîne à la découverte du patrimoine maritime atypique et méconnu de l'arrière-pays gardois dans une narration au long cours de ses mémoires de mer cévenoles. Il a collaboré à l'écriture de la longue et inédite préface du « Journal de bord » de Charles Darwin sous la direction du Professeur Patrick Tort.
Le récit autobiographique de Philippe Gormond est de ceux qui font réfléchir sur la fragilité de l’existence car en définitive tout ne tient parfois qu’à un fil. Quand un accident de moto change le cours d’une vie. Celle d’un sportif convaincu. Page après page c’est une véritable ode à la résilience. La force mentale de ce passionné de basket-ball alors en fin d’études va lui servir pour rebondir. Même s’il a fallu passer le cap du déni puis de l’acceptation. Voilà pourquoi le titre de son livre « Ça pourrait être pire » traduit surtout un état d’esprit. Une quête pour continuer à vivre en transmettant de la « positive attitude » autour de soi…
Deux mois avant la Coupe du Monde de Football de 2014, je décidai de déposer mes valises dans un hôtel du quartier de Copacabana, à Rio de Janeiro, qui serait mon QG d’où j’allais arpenter, objectif à la main, une ville dans tous ses états et sous tous les angles : sa Nature époustouflante comme le Pain de Sucre, le Corcovado orné de son Christ Rédempteur, ou la plage mythique de Copacabana ; son architecture aux mille contrastes florissant un centre-ville de ses buildings vitrés, ses favelas tenant vaillamment debout avec des matériaux de récupération, dévorant, par leur étendue, presque toutes les collines de Rio ; son tourisme médiatique « en cage », dressé au mutisme, pour accueillir les supporters venus assister à la Coupe du Monde de Football...
Dans Chemins d'ailleurs, Sandrine Beillard relate ses périples « à la dure » aux quatre coins du globe, dans des régions reculées, parfois restées à l’abri de la mondialisation. Dans la préface, Chow Ching Lie, l’auteure du best-seller Le Palanquin des larmes, l’affirme : « Je ne sache pas de meilleure méthode pour découvrir le rare, l'authentique, voire le merveilleux.
J’ai utilisé le langage parlé des enfants Bab El Oued pour chanter l’Esplanade qui, en fait, est l’appendice greffé du faubourg après la démolition des portes de Bab El Oued. Le parler de tous les jours, agrémenté de mots italiens, espagnols et judéo-arabes propres à la communauté israélite qui, pour la plupart, venait de la casbah d’Alger. Ce langage né du brassage méditerranéen agrémenta la langue française que tenta et parvint à nous enseigner l’école de Jules Ferry. Oubliez la syntaxe et la grammaire française pour donner à ce récit toute son authenticité. J’espère que vous prendrez le même plaisir à lire ce petit livre que moi à l’écrire.