Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita se réalise depuis 40 ans auprès des autres. Du Nord au Sud de la France, quarante années au service des personnes malades et souffrantes lui ont permis d’apporter à ces femmes et ces hommes un formidable rayon de soleil.
Après le premier tome, « Un grand message d’Amour », Rita Largillier continue à nous le livrer pour apprendre à sourire à la vie. Les épreuves qu’elle traverse, les combats qu’elle mène, l’amour qu’elle porte à ses patients et aux siens ne sont que le reflet d’une femme entièrement dévouée, sincère et épanouie.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita se réalise depuis 40 ans auprès des autres. Du Nord au Sud de la France, quarante années au service des personnes malades et souffrantes lui ont permis d’apporter à ces femmes et ces hommes un formidable rayon de soleil.
Après le premier tome, « Un grand message d’Amour », Rita Largillier continue à nous le livrer pour apprendre à sourire à la vie. Les épreuves qu’elle traverse, les combats qu’elle mène, l’amour qu’elle porte à ses patients et aux siens ne sont que le reflet d’une femme entièrement dévouée, sincère et épanouie.
Pour lutter efficacement contre la vitesse de propagation des incendies de forêt, les secours doivent s’affranchir des distances et du relief. La création des commandos héliportés par le Capitaine Galian avec le concours inestimable des équipages et HSS de la flottille 33F de Saint-Mandrier a démontré cette possibilité avec succès le 19 Août 1965 à Siou- Blanc. Avec des bombardiers d’eau Catalina, Monsieur le sous-préfet Francis Arrighi avait dès 1963 tracé le véritable avenir de la lutte contre les incendies de forêt.
Ma vie, consacrée à une activité professionnelle débordante, s’éclaire d’une embellie soudaine : une rencontre, un sourire, peut-être des perspectives d’avenir… Très vite, l’éclaircie poussée par les vents de la discorde s’éloigne. Une naissance inattendue, le sourire d’un bébé innocent, annonceraient-ils le retour de l’espoir ? Mais la rupture gronde, le couple se casse. Janus intransigeant kidnappe mon enfant qui s’attache de plus en plus à moi. Une justice malentendante et malvoyante, prisonnière de ses multiples faiblesses et de ses préjugés, m’écarte de lui. L’amour paternel est fort et une lutte inégale s’engage contre cette justice frileuse qui m‘impose une attente infernale. Mon fils, 2 ans, grandira-t-il loin de moi ?
Dans la vie il y a des cycles. Certains sont positifs et d’autres testent vraiment votre capacité à rebondir après les coups durs. Ce fut mon cas lorsque, au sortir d’un confinement qui nous a tous de près ou de loin bien chamboulés, j’ai découvert en septembre 2020 une grosseur sur mon sein gauche. Le stress fut logiquement immédiat. Après une mammographie, une échographie, une IRM et une biopsie, mon gynécologue m’a annoncé que j’avais un cancer du sein. Le tourbillon infernal a alors commencé pour ma famille et pour moi-même avec les examens médicaux, l’opération, les séances de radiothérapie, le traitement d’hormonothérapie, les doutes, les angoisses, puis la dépression.
Camille est l’aînée de nos petits-enfants. Elle adore se déguiser et, ce jour-là, elle s’est coiffée d’un petit chapeau rond et fleuri qui lui sied à merveille...
Sous la pression de mes petits-enfants, Olivier, Magali, Claire, devenus grands, qui disaient : « il faut continuer tes mémoires », j’ai alors entrepris dans le cadre de mon autobiographie, de raconter ma vie. D’enfant, d’adolescent puis de jeune adulte responsable n’ayant rien à cacher, dans une famille unie et sans problème majeur, sauf de santé. En effet tous les miens menaient une vie régulière presque bourgeoise. C’est dans cette période d’après-guerre que mes parents se sont mariés, le 9 Juin 1920. « Entre deux guerres » est l’histoire d’un fils unique, son enfance et son adolescence. J’ai partagé ce livre en deux périodes. La première du 4 Juin 1921 au 30 Septembre 1931 où j’ai vécu à Brunet, quartier de Toulon.
À moins de voir le jour poindre sur les terres stériles du Kiremba au Burundi ou vers les sombres vallées du Tadjikistan, on finit tous par trouver un sens à l’existence. Parfois il relève même de l’évidence. Ainsi, Jacques Larrue n’aurait pas aimé naître ailleurs qu’à Graulhet, bercé mais aussi parfois ballotté de touches en mêlées. Grandir au pays du rugby était une bénédiction. Mais à part y jouer – ce qu’il fit intensément gamin, anecdotiquement ensuite – existe-t-il plus grande joie – et privilège – à ses yeux, que de l’écrire, le raconter et le vivre, en permanence, de l’intérieur ? Le Sporting Club Graulhétois, c’est toute une vie pour Jacques Larrue. Le Rugby Club Toulonnais, une expérience étonnante. Palpitante.
S’expatrier, c’est se lancer vers l’inconnu… À nous les horizons lointains et les aventures inattendues ! À nous les expériences originales mais parfois dangereuses, les belles rencontres humaines, avec toujours l’attrait de voir se dessiner des mondes inconnus. Plus question d’une vie monochrome, il faut aimer les couleurs vives. Antoinette Maux-Robert appartient à une famille où l’expatriation est la règle. Elle a passé de longues années à faire revivre le personnage aventureux de son père, dans quatre livres d’histoire très documentés sur l’Asie d’avant-Mao, qui figurent dans les bibliothèques universitaires. Elle a aussi publié cinq livres de Contes africains, tirés de son travail dans les hôpitaux du Sénégal et des spectacles de marionnettes, montés pour le Noël des enfants malades.
Il y a des rencontres auxquelles on n’échappe pas… Des visages ; des regards qui vous marquent. Ils changent votre vision du monde, à jamais. Chanee est englouti par son combat pour les gibbons. Né dans le sud de la France, parti à 18 ans ; il se bat depuis presque 15 ans en Indonésie. Il tente d’y protéger des îlots de forêt, tout en sauvant des animaux, victimes des braconniers et de la déforestation. Dans un monde de légendes, de croyances animistes, il raconte ses aventures. Le décor : la jungle et les villages le long des rivières de Bornéo. Il décrit des scènes incroyables : le viol d’un orang-outan, assourdissant de violence ; des sauvetages émouvants, ratés ou réussis ; l’intimité et le comique d’une circoncision, incontournable pour devenir Indonésien...
11 mars 2011, séisme et tsunami au Japon. En France, une femme vit le drame en direct par écrans interposés : son fils Rémi est installé là-bas. Il s’apprête à épouser Yuko, une Japonaise. Six mois plus tard, conviée à leur mariage, elle les rejoint. Hélas, le Japon n’est pas un pays de tout repos, elle le découvre à ses dépens : expériences cocasses, étranges ou éprouvantes se succèdent. Retirée sur une île de l’océan indien, elle prend enfin le temps de déplier l’origami de cette année-là et de chercher la cause de ses égarements. L’écriture parviendra-t-elle à élucider ce passé ?
Chantal Cogoni-Losfeld raconte la vie d’un babouin qu’elle et son mari ont eu pendant des années. L’histoire est narrée comme si c’était le singe qui dévoilait ses propres aventures, pleines de joies et d’espiègleries. Un témoin particulier et privilégié de la fabuleuse ascension des Sunlights, groupe mythique des années 1960 et 1970. D’où les nombreuses situations exceptionnelles traversées par ce singe devenu au fil des ans un véritable compagnon de route.