Les eaux troubles d’Oskarshamn de Robert Audiffren
Référence: L2311
13,00 €
TTC
Un polar venu du froid… Par une nuit de novembre, sur un rivage de la Baltique balayé par une neige fine et collante, le chien d’un promeneur met au jour le cadavre d’une jeune femme. Cette macabre découverte mettra à contribution l’expérience et la sagacité des inspecteurs Lena Svensson et Lars Edberg de la petite équipe du commissaire Gustavsson, « Gus » pour les intimes. Ils devront patauger dans les eaux troubles de la petite ville côtière d’Oskarshamn et de l’empire industriel de la famille Sandberg pour faire émerger la vérité.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Un polar venu du froid… Par une nuit de novembre, sur un rivage de la Baltique balayé par une neige fine et collante, le chien d’un promeneur met au jour le cadavre d’une jeune femme. Cette macabre découverte mettra à contribution l’expérience et la sagacité des inspecteurs Lena Svensson et Lars Edberg de la petite équipe du commissaire Gustavsson, « Gus » pour les intimes. Ils devront patauger dans les eaux troubles de la petite ville côtière d’Oskarshamn et de l’empire industriel de la famille Sandberg pour faire émerger la vérité.
Après un parcours professionnel dans le monde de la finance et la publication d’ouvrages sur la gestion de fortune, Robert AUDIFFREN a écrit de nombreux romans policiers, thrillers et historiques. Grand voyageur, il nous livre là un polar sur une contrée qu’il connait bien et affectionne tout particulièrement.
Aiguisé, tranchant comme une lame pourrait-on ajouter. À l’image de ce polar noir qui se déroule dans la ville de Lyon. Pas celle de la fête des lumières. Mais plutôt l’autre face de la capitale des Gaules, plus sombre, plus glauque. Une atmosphère lourde et pesante qui va donner lieu à une lutte d’influence entre deux flics. Un sacré baptême du feu pour le commissaire principal Maxime Bertrand, récemment muté depuis Paris qui va devoir faire ses preuves dans un contexte déjà compliqué tout en évitant les pièges d’un collègue « ripou ». Avec en toile de fond le port marchand Édouard Herriot et tout le corollaire de va-et-vient que cela suppose. Manipulation, coups de pression et trafic d’influence pour un suspense maximal.
Dans le précédent opus, le commandant Archibald était sur le point d'épouser Angèle, dans une commune varoise. Une seule invitée manquait à l'appel : Judith, sa fille unique.
Alors que tous l'attendaient sur le parvis de la mairie, le policier se voit remettre une enveloppe contenant une photo de l'adolescente séquestrée et une énigmatique lettre de Scrabble.
Bruno, dont le grand-père a été rapatrié du Maroc, vit dans les beaux quartiers. Chaïma vient de banlieue. Son grand-père s’est battu pour l’indépendance du Maroc. Rien : ni leur éducation, ni leurs traditions ne les destinent à se rencontrer. Pourtant, ils vont se retrouver face à face. Après s’être méfiés l’un de l’autre, ils vont se chercher et finalement s’aimer. Ils devront payer leur amour au prix fort. Sur fond de violence des banlieues, de racisme ou d’intolérance, Chaïma est avant tout l’histoire de deux jeunes qui décident, envers et contre tous, d’aller de l’avant, aussi loin que possible, ensemble. C’est aussi un témoignage réaliste sur notre époque en même temps qu’une idylle si pure et si belle qu’elle paraît démodée.
Un polar pas comme les autres, qui mêle amour et intrigues, dans un contexte social, politique, écologique et psychologique. Un roman dense, riche en évènements ancrés dans l’actualité.
Cinq ans qu’Inès attendait un signe de son père, le Général, pour qu’elle revienne au Domaine. Enfin, elle avait reçu cette lettre tant espérée, elle allait retrouver ce père, si dur, mais aussi sa mère, si présente même après leur divorce, et son frère, qui lui avait tant manqué, malgré leurs échanges téléphoniques.
Deux de chute… Au bridge, cela signifie ne pas avoir rempli son contrat. L’inspecteur Geo doit remplir le sien face à une situation compliquée où les morts (pas ceux du bridge) ne montrent pas toutes leurs cartes. A lui de retrouver dans celles des vivants la clef qui le mènera à la résolution de son enquête.
Un auteur se suicide. On lui a volé son roman, qui connait le succès signé par un autre. La police se désintéressant du dossier, le détective Georges Amer prend le relais. Il croyait à une affaire facile. Détective revenu de très loin, Georges Amer sera confronté à un jeu de dupes où manipulateurs et manipulés se confondent, où l’on disparait souvent de mort violente.
Un Parisien, chauffeur de maître recruté par un châtelain berrichon, se retrouve dans un hameau et découvre un univers dont il ignore tout.
La Vallée Noire, pays de George Sand, est une région de bocages où le modernisme côtoie des croyances surprenantes et des pratiques ancestrales perpétuées par les « rebouteux » et les « panseux ».
Ce roman est librement inspiré de faits réels, la tuerie du Bar du Téléphone, perpétrée à Marseille, le 3 octobre 1978 et jamais élucidée. Plus de trente ans après, l’ancien commissaire de la PJ, Xavier Donatello qui a eu à la suivre au début de sa carrière, a décidé de révéler le nom des tueurs dans le livre qu’il s’apprête à publier. Toutefois, son projet ne rencontre que désapprobations, mises en garde, intimidations, menaces et bien plus encore. Il est clair que dans certains milieux, personne n’a envie de voir cette vieille histoire refaire surface.
« À quoi bon chercher comment a été préparé le crime si nous ne pouvons établir qu’il y en a eu un ? ». Lorsque le commissaire Dupin pose cette question, il résume la complexité de sa sixième enquête sur la côte d’Azur. Pour lui « il n’y a pas que le résultat qui compte ». Ne rien trouver, ce n’est pas échouer : c’est éliminer le doute et il faut donc toujours persévérer. Pourtant, lorsque d’autres affaires surgissent, il est inévitablement conduit à préconiser un « non-lieu ». Mais il ne renonce pas pour autant à son expression favorite selon laquelle « il n’y a pas de crime parfait, il n’y a que des enquêtes ratées ».
Le lecteur accompagne Alexandre Todomalevitch dans son équipée pour fuir l’URSS dont la politique économique ne lui permettait pas de créer et développer l’entreprise de produits chimiques qu’il voulait.
L’éminent chirurgien esthétique, Kamil Felhabel, est retrouvé mort à son domicile. Dépêchés sur les lieux, le commandant Vincent Alguazil et son équipe enquêtent. D’après les premiers indices relevés la thèse du suicide est la plus probable. Mais quelle n’est pas leur stupéfaction lorsqu’ils découvrent, sur le bureau du praticien, une vieille photo de Chléo Faisceau, la compagne de Vincent ! Les policiers ne sont pas au bout de leur surprise : des squelettes de femmes dans le jardin, une morte et une agonisante au grenier. Le chirurgien était-il tueur en série ou savant fou ? A-t-il réellement mis fin à ses jours ou a-t-on voulu lui faire cesser ses agissements sordides ?
Un polar venu du froid… Par une nuit de novembre, sur un rivage de la Baltique balayé par une neige fine et collante, le chien d’un promeneur met au jour le cadavre d’une jeune femme. Cette macabre découverte mettra à contribution l’expérience et la sagacité des inspecteurs Lena Svensson et Lars Edberg de la petite équipe du commissaire Gustavsson, « Gus » pour les intimes. Ils devront patauger dans les eaux troubles de la petite ville côtière d’Oskarshamn et de l’empire industriel de la famille Sandberg pour faire émerger la vérité.