Au matin du 22 décembre 2012, en constatant que la fin du monde n’avait pas eu lieu, voici la strophe qu’il fallait lire, la dernière du poème intitulé « Renaissance ».
Pourtant, il suffisait de voir.
La lueur se faire lumière.
Etonnant soudain notre terre.
Qui se croyait au dernier soir.
Alors que l’aurore première.
S’offre à l’âme comme un miroir.
Oui, ici « l’aurore première s’offre à l’âme comme un miroir » et ce second volume de la série les Mots et les Cieux mérite bien son titre : Poème pour les temps nouveaux.
Nous avons ici une Poésie où les Mots sonnent clair dans le terrible trouble des temps présents en invitant à l’exploration de l’en-haut.