POURQUOI METTRE AU MONDE DANS UN...
Les dix mille dernières années de l’Histoire de l’humanité furent autant de pages écrites en lettres de sang. Et, depuis un à deux siècles, nous œuvrons avec une constante incohérence, à notre sinistre fin
Référence: L1804
Certes le monde n’est pas simple. Mais il y a des limites à l’incohérence. Pourquoi l’homo sapiens ne cesse-t-il de saccager son environnement où des milliards d’autres êtres vivants ne lui ont rien demandé ? Et cet imbécile s’en prend maintenant à lui-même. Après les souris et les porcs, il veut s’« améliorer » grâce à sa dernière manie, la cybergénétique. Encore un cataclysme de plus en perspective. Le développement extravagant de la « science sans conscience » et l’expansion démographique incontrôlable semblent, inéluctablement, mener l’humanité vers sa fin. Le grotesque de cette situation, défiant même l’imagination, est un véritable enchantement. Il transforme le dégoût en dérision : c’est le rire du diable.
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Certes le monde n’est pas simple. Mais il y a des limites à l’incohérence. Pourquoi l’homo sapiens ne cesse-t-il de saccager son environnement où des milliards d’autres êtres vivants ne lui ont rien demandé ? Et cet imbécile s’en prend maintenant à lui-même. Après les souris et les porcs, il veut s’« améliorer » grâce à sa dernière manie, la cybergénétique. Encore un cataclysme de plus en perspective. Le développement extravagant de la « science sans conscience » et l’expansion démographique incontrôlable semblent, inéluctablement, mener l’humanité vers sa fin. Le grotesque de cette situation, défiant même l’imagination, est un véritable enchantement. Il transforme le dégoût en dérision : c’est le rire du diable.
« Annaba » est le pseudonyme d’un journaliste de France 3, aujourd’hui à la retraite, et qui ne souhaitait pas le mélange des genres, d’autant plus qu’il mettait dans ses livres ce qui n’aurait jamais pu passer à la télévision (« … à la télé on peut pas dire la vérité, y a trop de gens qui regardent… » Coluche). L’auteur a choisi le nom de cette ville d’Algérie (ancienne Bône), parce que, même s’il n’y est pas né, il sait que ses racines s’y trouvent.