En tant que syllectimane, j’ai accumulé en plus de cinquante années pas mal de choses. À côté de mes collections de canettes de bières anglaises, de bandes dessinées, il y a maintenant une collection de timbres relatant la vie de Napoléon Bonaparte, personnage fascinant s’il en est.
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En tant que syllectimane, j’ai accumulé en plus de cinquante années pas mal de choses. À côté de mes collections de canettes de bières anglaises, de bandes dessinées, il y a maintenant une collection de timbres relatant la vie de Napoléon Bonaparte, personnage fascinant s’il en est.
À Alger, la mobilisation générale avait vu les hommes de toutes conditions et de tous horizons se regrouper dans la capitale pour être envoyés vers diverses destinations. Le Maroc, mais surtout la Tunisie et l’Algérie furent des terres de prédilection pour des hommes partis la fleur au fusil, le cœur plein d’espoir ou la peur au ventre.
Richard Atlan, Norbert Bensimon et Pierrot Abergel, les trois enfants du quartier de l'Esplanade se trouvèrent subitement confrontés à la réalité de la vie et non plus à la fiction cinématographique française ou américaine que présentaient les écrans des neuf cinémas de Bab El Oued.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
Après les années 50 et 60 déterminantes pour l’émancipation et le développement de la jeune commune de Saint-Mandrier, je vous propose une nouvelle revue de presse consacrée à une période douloureuse de notre histoire : 1914 - 1918.
Il m’a paru intéressant d’étudier et de comparer par le menu deux actualités locales bien distinctes : celle qui couvre les huit premiers mois de l’année 1914, et celle qui suit jusqu’à l’armistice de 1918. Évidemment, le contraste est saisissant !
Cette plongée médiatique dans la vie de mon village natal m’a permis de retrouver la trace de plusieurs de nos chers anciens. Ce livre leur est entièrement dédié.
En 1811, Flaugergues découvre une des comètes les plus spectaculaires de l’Histoire. Elle est désignée la “Comète impériale”. Son éclat et sa longévité durant son règne inspirent l’Empereur. L’Aiglon est né cinq jours avant sa découverte, et lui-même une semaine après la grande comète de 1769, coïncidence soulignée par un récent mémoire de Messier en 1808.
Son précédent passage remontant à Ramsès II, Napoléon y voit un trait d’union avec l’Egypte qui le fascine depuis son expédition, un passage de flambeau, voire un signal céleste pour lancer à l’été 1812 sa campagne de Russie...
La majorité des gens pense que c’est un produit français, voire même le plus français des produits. Pour cela, il est connu du monde entier. Ils aiment le tremper dans leur café, y mettre de la confiture, de la pâte à tartiner.
Le 1er août 1798, un funeste évènement à caractère naval devait donner un sévère avertissement au fougueux Bonaparte, jeune général, parti à la conquête de l’Égypte (bataille d’Aboukir). Il se trouvait grand responsable des affaires militaires terrestres. Le sommet des pyramides a entendu le fameux «Quarante siècles vous contemplent » s’adressant aux braves fantassins des sables. La formule est adroite, claire, envahissante jusqu’à troubler l’esprit du soldat de base et bien d’autres.
En France, tout le monde, ou presque, connaît l’admirable histoire de Jeanne d’Arc. Lorsqu’en 1431, elle a été détenue par les Anglais à Rouen, Gilles de Rais et La Hire, deux parmi ses plus fidèles compagnons d’armes, ont eu le projet de la faire évader de sa prison. Et si ces tentatives d’évasion avaient réussi ? Qu’est-ce que cela aurait changé dans notre Histoire ? Qu’est-ce que cela aurait changé dans le destin de Gilles de Rais, pour le prince-poète Charles d’Orléans, pour celui qui fut nommé plus tard le bon roi René de Provence et d’Anjou, et aussi pour Mourad II, le sultan de l’empire ottoman ?
Le Donator ? Nombre de plongeurs connaissent bien cette épave dans l’est de Porquerolles. Ce que l’on ne sait pas, c’est le mystère entourant une partie de sa cargaison...
La liste de tous ces personnages attachants n’est évidemment pas exhaustive. J’ai connu la plupart d’entre eux dans mes jeunes années. Je les ai choisis en fonction d’une poignée de valeurs qui me touchent personnellement : l’amour, l’amitié, la famille, le travail, le respect et le souvenir. J’ai beaucoup d’admiration pour ces hommes et ces femmes, toutes époques confondues, qui s’investissent sans copter pour leur village natal ou d’adoption…
Dans ce deuxième tome de La vie est un éclat de rire, les lecteurs retrouveront de nombreux personnages au tempérament bien particulier et à l’humour caustique.
Ensemble, nous traverserons les trente premières années du XXe siècle dans l’Italie aux prises avec les luttes sociales et le premier conflit mondial.
Puis viendra la montée du fascisme et la prise du pouvoir par Benito Mussolini, le Duce de sinistre mémoire.
Un récit qui tient en haleine où, là encore, l’anecdote rejoint parfois la légende.
En tant que syllectimane, j’ai accumulé en plus de cinquante années pas mal de choses. À côté de mes collections de canettes de bières anglaises, de bandes dessinées, il y a maintenant une collection de timbres relatant la vie de Napoléon Bonaparte, personnage fascinant s’il en est.