La Lutte pour l’Empire de la Mer 1906 du Contre-Amiral DAVELUY / CHOMEL DE JARNIEU
Référence: L1581
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Avec « La lutte pour l’empire de la mer », le capitaine de frégate, et futur contre-amiral, DAVELUY, signe en 1906 un ouvrage de premier ordre qui lui vaudra une reconnaissance tant française qu’internationale. Il ne s’y contente pas de décrire les opérations de la GUERRE RUSSO-JAPONAISE de 1905 qui mènera au désastre de TSUSHIMA. Il y analyse en effet avec un brio incontestable les comportements des protagonistes, en tirant les enseignements qui conviennent et s’appliquent à la marine française qui, moins de dix ans plus tard, aura à affronter la Première guerre mondiale. Le conflit russo-japonais est en effet le cas d’application concret des théories développées jusqu’alors par DAVELUY pour réorienter la marine française vers sa vocation guerrière.
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Avec « La lutte pour l’empire de la mer », le capitaine de frégate, et futur contre-amiral, DAVELUY, signe en 1906 un ouvrage de premier ordre qui lui vaudra une reconnaissance tant française qu’internationale. Il ne s’y contente pas de décrire les opérations de la GUERRE RUSSO-JAPONAISE de 1905 qui mènera au désastre de TSUSHIMA. Il y analyse en effet avec un brio incontestable les comportements des protagonistes, en tirant les enseignements qui conviennent et s’appliquent à la marine française qui, moins de dix ans plus tard, aura à affronter la Première guerre mondiale. Le conflit russo-japonais est en effet le cas d’application concret des théories développées jusqu’alors par DAVELUY pour réorienter la marine française vers sa vocation guerrière. Nous devons cette réédition à l’arrière-petit-fils de DAVELUY, l’amiral Benoit CHOMEL de JARNIEU, ancien Inspecteur général des armées (marine) en appui de son ouvrage « DAVELUY ou C’est le plus têtu qui gagne » qui vient de paraître.
Cet ouvrage s’adresse à tous ceux et à toutes celles qui, sans être nécessairement de fins exégètes, ont la curiosité d’en savoir plus sur l’œuvre de Richard Wagner ou rêvent d’assister un jour à la grand-messe wagnérienne annuelle que représente le Festival de Bayreuth. Il ne s’agit donc pas ici d’écrire une énième biographie de Wagner, car il en existe déjà un nombre incalculable, mais de raconter la véritable histoire de ce festival fameux – et pour beaucoup mystérieux –, depuis sa difficile création en 1876 jusqu’à nos jours, après avoir traversé deux guerres mondiales, survécu aux polémiques liées à la période hitlérienne et connu une miraculeuse renaissance dans les années 1950.
Je m’appelle Jean de mon prénom et Sanglard est mon nom de famille, comme il était aussi celui de mon père. J’habite Saint-Jean-d’Azur, un petit bourg provençal situé dans le massif des Maures, où les collines longent le bord de mer et tombent souvent à pic dans les flots, en formant des caps et des baies. Du cœur de mon village, la vue sur les îles d’Or est une pure merveille. L’histoire que je vais vous conter, à travers celles de François Chauvet et de Charles-Edouard de Vermont, officiers provençaux de la Marine royale, comme moi enfants de ce pays, est aussi celle de la France, côté mer pourrait-on dire, pendant plus de quarante ans ! Nous sommes en avril 1664, quelques jours avant les fêtes de Pentecôte…
Signes est riche de son patrimoine : Fontaine aux sorcières, Cour d’Amour. Riche de ses traditions : Fête de la Saint Jean et de la Sainte Éloi. Riche de son air vivifiant connu entre autres des Évêques marseillais qui cherchaient à s’éloigner des épidémies de peste. Riche de sa plaine alluvionnaire et de ses collines, bien connues des excursionnistes varois et marseillais. Robert, le cartophile, est originaire du village. Il a su faire apprécier à son épouse Gisèle, toute la beauté de ce terroir. Aujourd’hui le village a une zone d’activités importante près du circuit Paul Ricard (celui-ci en fut le maire de 1972 à 1980). Beaucoup d’associations sont actives et bien soutenues par le maire Jean MICHEL et son conseil municipal.
Parti du Var à la fin du 19è siècle, le Théâtre ambulant Désiré Ravel a donné des dizaines de représentations durant de nombreuses années. Au rythme du cheval, au gré des saisons, cet ouvrage vous transportera à travers et jusqu’aux confins de la Provence. Des petites villes aux hameaux les plus isolés, vous cheminerez auprès d’une bande « d’intermittents du spectacle ». Ces personnages hauts en couleur, acteurs ou victimes d’anecdotes plus ou moins heureuses, sont les témoins d’un temps révolu que l’auteur fait revivre avec ardeur et poésie.
Pour l’empire romain, le Ve siècle fut particulièrement tragique. Lorsque nous pouvons mesurer l’impact des invasions barbares à travers des écrits de cette époque, il nous semble que la disparition de l’empire fut relativement lente, mais aussi brutale et violente. Ce siècle, transition entre l’Antiquité et le Moyen-Âge, n’a pas été sans heurts. Dès 406, les Barbares franchissent le Rhin, inaugurent le dramatique phénomène des grandes invasions du Ve siècle. À partir de cette date, l’histoire de l’empire romain d’Occident en général et de la Gaule romaine en particulier réside en quelque sorte dans une continuité de ruptures, dans une suite de morcellements, d’éclatements, de fragmentations et de désagrégations progressives.
Les modèles présentés sur des mannequins de 70 cm de hauteur (échelle ½) ont été reconstitués en majorité d’après des costumes authentiques gracieusement prêtés et portés dans la région varoise. Des femmes de la haute bourgeoisie, à l’occasion de déplacements vers la capitale rapportaient la mode parisienne. Celle-ci se diffusait par les couturières qui s’en inspiraient pour habiller la bourgeoisie locale. Selon la classe sociale, on employait des tissus et des garnitures de dentelles et rubans, plus ou moins riches et abondants. J’ai bien entendu respecté la façon d’assemblage de chaque époque. Chaque modèle représente entre 100 et 150 heures de travail.
La majorité des gens pense que c’est un produit français, voire même le plus français des produits. Pour cela, il est connu du monde entier. Ils aiment le tremper dans leur café, y mettre de la confiture, de la pâte à tartiner.
Marie-Rose Nonchez-Garcia est née à Oran. Elle a quitté sa ville dans la débâcle le lendemain de ses vingt ans. Elle retrace, dans ce livre, la vie de sa mère, réfugiée espagnole qui elle aussi dut quitter son pays, dans la débâcle, le 12 mars 1936.
Paris, début du XIVe siècle. Le roi Philippe IV le Bel ambitionne de dissoudre l’ordre du Temple qui a tant grossi et prospéré qu’il représente à ses yeux une menace pour le royaume.
Dans une ville où souffle le vent mauvais de la chute des chevaliers du Christ, Tristan de Chevreuse, jeune étudiant en médecine souffrant d’une infirmité, découvre un livre ancien acquis par son père Enguerrand, médecin et professeur à l’université de Paris. Cet ouvrage dont les théories remettent en cause les fondements mêmes de la chrétienté, tombe accidentellement entre les mains du doyen de l’école. Jaloux du père de Tristan et convoitant ses biens, le doyen remet le livre interdit aux autorités ecclésiastiques. Accusé d’hérésie, Enguerrand de Chevreuse est arrêté et livré aux griffes de l’Inquisition.
Montségur, mars 1244. Durant la nuit précédant le massacre, trois parfaits s’échappent de la citadelle perchée sur son nid d’aigle, « la synagogue de Satan » comme l’appelait le pape. Leur mission : porter à Byzance, l’ennemie de Rome, trois livres qui, rassemblés, permettraient de retrouver la cachette du trésor des cathares et des textes sacrés embarrassants pour l’Église catholique. Trois cents ans plus tard, François de Malesterre entre fortuitement en possession de l’un de ces livres. Que sont devenus les deux autres ? Pour résoudre cette énigme et par dépit amoureux, François, assisté de deux compagnons, essaiera de remonter la piste des fugitifs pour retrouver ces manuscrits qui semblent n’être jamais parvenus à leur destinataire.
En tant que syllectimane, j’ai accumulé en plus de cinquante années pas mal de choses. À côté de mes collections de canettes de bières anglaises, de bandes dessinées, il y a maintenant une collection de timbres relatant la vie de Napoléon Bonaparte, personnage fascinant s’il en est.
Avec « La lutte pour l’empire de la mer », le capitaine de frégate, et futur contre-amiral, DAVELUY, signe en 1906 un ouvrage de premier ordre qui lui vaudra une reconnaissance tant française qu’internationale. Il ne s’y contente pas de décrire les opérations de la GUERRE RUSSO-JAPONAISE de 1905 qui mènera au désastre de TSUSHIMA. Il y analyse en effet avec un brio incontestable les comportements des protagonistes, en tirant les enseignements qui conviennent et s’appliquent à la marine française qui, moins de dix ans plus tard, aura à affronter la Première guerre mondiale. Le conflit russo-japonais est en effet le cas d’application concret des théories développées jusqu’alors par DAVELUY pour réorienter la marine française vers sa vocation guerrière.