Napoléon Jour après jour LA CHUTE DE L’EMPIRE de Roger IAPPINI
Référence: L1952
35,00 €
TTC
Durant la campagne de Saxe, Napoléon se retrouvera face à la Sixième Coalition qui réunit Autrichiens, Prussiens et Russes. Cette confrontation, dite la bataille des Nations, se terminera par une cuisante défaite de l’Empereur et l’acculera à la frontière française. De retour à Paris, il organisera la campagne de France. Il sera trahi et devra abdiquer. Il sera condamné à l’exil sur l’île d’Elbe. Plus tard, il décidera de reprendre son trône. L’Aigle s’envolera de clocher en clocher jusqu’aux tours de Notre-Dame. S’ensuivront la période des Cent-Jours et l’ultime bataille : Waterloo. Celle-ci le conduira à une nouvelle abdication et un second exil.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Durant la campagne de Saxe, Napoléon se retrouvera face à la Sixième Coalition qui réunit Autrichiens, Prussiens et Russes. Cette confrontation, dite la bataille des Nations, se terminera par une cuisante défaite de l’Empereur et l’acculera à la frontière française. De retour à Paris, il organisera la campagne de France. Il sera trahi et devra abdiquer. Il sera condamné à l’exil sur l’île d’Elbe. Plus tard, il décidera de reprendre son trône. L’Aigle s’envolera de clocher en clocher jusqu’aux tours de Notre-Dame. S’ensuivront la période des Cent-Jours et l’ultime bataille : Waterloo. Celle-ci le conduira à une nouvelle abdication et un second exil.
Le Donator ? Nombre de plongeurs connaissent bien cette épave dans l’est de Porquerolles. Ce que l’on ne sait pas, c’est le mystère entourant une partie de sa cargaison...
Avec le brio exceptionnel qu’on lui connaît, Liddell Hart, le père de la Stratégie indirecte mondialement connu, dresse dans cet ouvrage « RÉPUTATIONS » paru en 1931, un tableau saisissant des personnalités des principaux chefs de guerre de la Première guerre mondiale. Officier et historien de talent, il a scruté les mobiles de leurs actions, n'a pas caché leurs fautes et leurs défauts, n'a pas caché non plus leurs qualités et leurs valeurs. Dans leur succès comme dans leurs revers il a montré la part du hasard, de l'ignorance et de la sottise aussi bien que la part de leur volonté et de leur clairvoyance. Cet ouvrage de Liddell Hart, moins connu que d’autres, méritait pleinement une réédition pour ceux qui veulent approcher le Premier conflit mondial sans faux fuyants.
Dans la série de Napoléon jour après jour, il y a eu l’Ascension de Bonaparte, puis le Consulat et ensuite l’Empire. Ce cinquième livre est la troisième partie de l’Empire, celle où l’étoile de l’Empereur semble ne plus briller. Cela commence bien, par l’accouchement de Marie-Louise, la naissance du roi de Rome au ravissement de tous les Français, Napoléon a enfin une descendance. Puis arrive la terrible campagne de Russie où l’on va voir la bataille de la Moskova, le stationnement dans Moscou et son incendie qui va obliger Napoléon de quitter cette ville avec ses troupes. Et enfin l’affreuse retraite. Cette retraite qui va décimer presque toute la Grande Armée. Beaucoup de soldats seront tués dans des combats mais la plupart mourront de froid ou encore de la faim.
« Il n’y a qu’un seul roman, et nous en sommes à la fois les auteurs et les personnages : l’Histoire. »
(Jean d’ Ormesson).
Rien n’est plus passionnant que le récit d’une histoire vécue.
C’est le cas avec « Ballades d’un adolescent » car le héros de ce roman a lui-même écrit ses « mémoires » qui à l’époque étaient davantage des témoignages. Ceux des tranchées sur les supports dont il disposait pour raconter ses souffrances physiques et morales, ses nombreux déplacements, ses peurs ou ses blessures.
Mais aussi ses rares joies comme celle de retrouver sa mère qui n’hésitait pas à affronter toutes les interdictions pour venir le voir aux abords du front. Sans oublier le fait de pouvoir faire partager ses passions pour le chant et le violon dans les églises et sur les estrades.
Depuis des siècles, les rixes entre dévorants et gavots, membres d’associations compagnonniques rivales, ensanglantent le pays. Un matin de septembre 1854, La Ferveur, dignitaire dévorant, est retrouvé par l’impératrice empalé sur le pique-cierge de l’église de Vic, en Berry. Le représentant des gavots, Agricol Perdiguier, n’a que quelques jours pour éviter une sévère répression de l’Empire en prouvant que le meurtre n’est pas la conséquence de cette adversité. Le charisme de son amie George Sand, la science de Gustave Flaubert, le génie de Delacroix, alliés à la sagesse traditionnelle du compagnon, ne seront pas de trop pour résoudre l’enquête et sauver le peuple de la tyrannie.
Après les années 50 et 60 déterminantes pour l’émancipation et le développement de la jeune commune de Saint-Mandrier, je vous propose une nouvelle revue de presse consacrée à une période douloureuse de notre histoire : 1914 - 1918.
Il m’a paru intéressant d’étudier et de comparer par le menu deux actualités locales bien distinctes : celle qui couvre les huit premiers mois de l’année 1914, et celle qui suit jusqu’à l’armistice de 1918. Évidemment, le contraste est saisissant !
Cette plongée médiatique dans la vie de mon village natal m’a permis de retrouver la trace de plusieurs de nos chers anciens. Ce livre leur est entièrement dédié.
En 1811, Napoléon est au sommet de sa gloire. Du code Napoléon aux préfets, du baccalauréat au franc, il a façonné une France moderne. Son Empire s’étend sur une grande partie de l’Europe.
Cet ouvrage constitue le recueil des rapports et témoignages relatifs aux faits de guerre ayant motivé les citations à l’ordre de l’Armée parues au journal officiel, des formations et bâtiments de la marine française de guerre et de commerce lors du premier conflit mondial. Au fil des pages, découvrez l’abnégation de ces Hommes qui ont contribué à faire de cette guerre La Grande Guerre. Ce que nos marins ont vécu, avec tant de patriotisme et de courage, force respect et admiration. Leur sens du devoir, leur esprit de sacrifice, nous émeuvent toujours et restent à jamais gravés dans la mémoire de nombreuses générations.
Après Les Illusionnistes, Les Passeurs de Vie et Les Chemineaux de la Sauvegarde, l’auteur s’attache à une période oubliée, le Coup d’État du 2 décembre 1851
Cet ouvrage est le résultat d’un travail commencé d’une manière originale… Figurez-vous que l’auteur, gravissant assez régulièrement les pentes du Faron, sur un sentier de chèvres, se retrouva devant une plaque de rue métallique portant fièrement le nom de : CHEMIN
1961-1962, années fatidiques pour les pieds-noirs d’Oran ! Ils sont épouvantés par les exactions du FLN et cette guerre cruelle qui dure depuis si longtemps. Ils sont aussi pris en otages par l’OAS, dont l’emprise sur la ville se fait de plus en plus pesante. Et ils se demandent si les méthodes violentes utilisées par « l’armée secrète » ne vont pas les conduire à leur perte ?
C’est au cœur de cette ville effervescente, que débarque un jeune couple métropolitain, Anne et François. Ce dernier qui effectue un reliquat de service militaire, est affecté à la préfecture d’Oran. Tous deux ont des idées généreuses et ils vont tenter de se rendre utiles et de tracer leur chemin personnel au milieu de la folie générale.
Le contre-amiral DAVELUY, 1863-1939 fait incontestablement partie des grands marins et écrivains maritimes français, de réputation mondiale. Inventeur du périscope dans les années 1890 avec son camarade Violette, créateur de l’aéronautique navale en 1910, commandant des unités françaises en Asie à la recherche de l’Emden en 1914, chef d’état-major de l’armée navale en 1916, il a surtout beaucoup écrit, se plaçant dès 1900 aux avant-postes du retour de la marine française à sa vocation guerrière après les errements de la « Jeune école ».
Durant la campagne de Saxe, Napoléon se retrouvera face à la Sixième Coalition qui réunit Autrichiens, Prussiens et Russes. Cette confrontation, dite la bataille des Nations, se terminera par une cuisante défaite de l’Empereur et l’acculera à la frontière française. De retour à Paris, il organisera la campagne de France. Il sera trahi et devra abdiquer. Il sera condamné à l’exil sur l’île d’Elbe. Plus tard, il décidera de reprendre son trône. L’Aigle s’envolera de clocher en clocher jusqu’aux tours de Notre-Dame. S’ensuivront la période des Cent-Jours et l’ultime bataille : Waterloo. Celle-ci le conduira à une nouvelle abdication et un second exil.