Dans « Le Collège de Neptune », Claude ROUQUETTE évoque les relations historiques des Cévennes avec la mer. L'auteur raconte l'histoire des professeurs et des élèves de marine d'une des premières - École Navale - établies à Alès et à Vannes (1786-1792), il nous entraîne à la découverte du patrimoine maritime atypique et méconnu de l'arrière-pays gardois dans une narration au long cours de ses mémoires de mer cévenoles. Il a collaboré à l'écriture de la longue et inédite préface du « Journal de bord » de Charles Darwin sous la direction du Professeur Patrick Tort.
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Dans « Le Collège de Neptune », Claude ROUQUETTE évoque les relations historiques des Cévennes avec la mer. L'auteur raconte l'histoire des professeurs et des élèves de marine d'une des premières - École Navale - établies à Alès et à Vannes (1786-1792), il nous entraîne à la découverte du patrimoine maritime atypique et méconnu de l'arrière-pays gardois dans une narration au long cours de ses mémoires de mer cévenoles. Il a collaboré à l'écriture de la longue et inédite préface du « Journal de bord » de Charles Darwin sous la direction du Professeur Patrick Tort.
Officier de la Marine à la retraite, Claude ROUQUETTE, de matelot à capitaine de corvette, a exercé des postes à responsabilités à bord des bâtiments de combat de la Marine Nationale. Il quittera le service actif dans la Royale pour se consacrer à la mise en valeur du patrimoine maritime des Cévennes et à des activités de naturaliste à l'Institut Charles Darwin International.
Encore aujourd’hui, s’il est un nom connu de la communauté militaire maritime dans le monde entier, c’est bien celui de MAHAN. Ses théories influèrent toutes les marines du monde vers la fin du XIXème siècle, autour du thème central de la Puissance maritime. La lecture de ses ouvrages, notamment celle de l’Influence de la Puissance maritime dans l’histoire, demeure cependant une affaire de spécialistes.
Victor-François Aguillon est une figure marquante de la grande histoire de France. Une évidence pour les spécialiste de la question maritime. Tout débute lorsque ce fils issu d'une riche famille de bourgeois toulonnais intègre, en 1844, la nouvelle école navale créée par Louis-Philippe. Ses brillantes études à bord du « Borda » lui permettront d'être nommé aspirant de deuxième classe. S'en suit une carrière d’officier de marine qui le conduira en Nouvelle Calédonie, à l 'école normale d'artillerie de Vincennes, en Italie durant la campagne de Napoléon III, en Méditerranée. Le jeune capitaine obtiendra plusieurs commandements pendant lesquels il vivra des moments intenses de la vie des marins du XIX° siècle.
Cet ouvrage constitue le recueil des rapports et témoignages relatifs aux faits de guerre ayant motivé les citations à l’ordre de l’Armée parues au journal officiel, des formations et bâtiments de la marine française de guerre et de commerce lors du premier conflit mondial. Au fil des pages, découvrez l’abnégation de ces Hommes qui ont contribué à faire de cette guerre La Grande Guerre. Ce que nos marins ont vécu, avec tant de patriotisme et de courage, force respect et admiration. Leur sens du devoir, leur esprit de sacrifice, nous émeuvent toujours et restent à jamais gravés dans la mémoire de nombreuses générations.
Après « Mes rêves avaient un goût de sel », cette nouvelle tranche de vie subaquatique, bourrée d’humour et de surprises, se situe à une époque où soufflait encore un parfum de liberté. Comme dans son premier ouvrage, l’auteur écrit avec son style provençal très imagé qui fera sourire, mais aussi entraînera le lecteur vers des rencontres surprenantes et peu ordinaires, qu’elles soient humaines ou animales.
Aucun ouvrage d’ensemble n’a été à ce jour publié sur le contre-amiral René Daveluy, présentant simultanément sa biographie et analysant ses écrits. Cette lacune est aujourd’hui comblée par l’amiral Benoit Chomel de Jarnieu, un de ses arrière-petits-fils, ancien major-général de la marine puis inspecteur général des armées (marine), sur la base d’archives familiales pour la plupart inédites. Daveluy est un des plus grands penseurs maritimes du début du XXème siècle et la marine nationale le distingue encore aujourd’hui par l’attribution annuelle à des étudiants et chercheurs d’un « prix Amiral Daveluy ».
L’école de Santé Navale ce fut d’abord un esprit formé par une camaraderie, un cursus médical solide, où les hommes, certes épris d’aventure, furent ensuite confrontés outre-mer notamment, à des fonctions où l’initiative personnelle et l’acte responsable parfois crucial s’avèrèrent essentiels.
L’auteur s’efforce dans cet essai de décrire la vie de cette école et l’étonnant parcours professionnel des praticiens qui en sont issus, en insistant surtout sur l’apport qu’ils ont pu créer dans le cadre de leur exercice, en métropole, sur les mers et au-delà, en des terres moins favorisées.
Avec le brio exceptionnel qu’on lui connaît, Liddell Hart, le père de la Stratégie indirecte mondialement connu, dresse dans cet ouvrage « RÉPUTATIONS » paru en 1931, un tableau saisissant des personnalités des principaux chefs de guerre de la Première guerre mondiale. Officier et historien de talent, il a scruté les mobiles de leurs actions, n'a pas caché leurs fautes et leurs défauts, n'a pas caché non plus leurs qualités et leurs valeurs. Dans leur succès comme dans leurs revers il a montré la part du hasard, de l'ignorance et de la sottise aussi bien que la part de leur volonté et de leur clairvoyance. Cet ouvrage de Liddell Hart, moins connu que d’autres, méritait pleinement une réédition pour ceux qui veulent approcher le Premier conflit mondial sans faux fuyants.
Depuis les premiers nageurs de combat français formés en 1952, le chiffre de mille n’a pas encore été atteint et cela en fait un certificat d’exception. Sans devenir des icônes, il est vrai que nous représentions un groupe un peu spécial au sein de la Marine nationale, mais nous avons su rester des hommes ordinaires pratiquant, il est vrai, des activités qui elles ne l’étaient pas… Comme je l’ai écrit dans ce livre, nous connaissons dès notre incorporation à l’école des fusiliers marins les risques et les enjeux. Nous étions libres d’abandonner à tout moment, mais pour la grande majorité d’entre nous, l’honneur de porter le béret vert allait au-delà des risques encourus.
Le surnom de « Pingouin », attribué au personnel de l’Aéronautique Navale, remonte à l’histoire de nos premiers porte-avions. Ce sobriquet ironique et amical, donné certainement par des matelots du porte-avions Béarn devant les difficultés qu’éprouvaient les marins aviateurs à faire décoller leurs engins, a traversé le temps. Toujours d’actualité, l’auteur est fier de le porter et il coiffe la figurine reçue en fin de carrière successivement d’un bonnet, d’un casque et d’une casquette. Un résumé parlant de ses 38 années passées au service de la France.
Castex est pratiquement le seul marin stratège français de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle connu du grand public. Il a beaucoup écrit, en particulier ses "Théories stratégiques" que peu lisent car en sept volumes ! "Le Grand État-major Naval", réédité aujourd’hui aux Presses du midi est donc d'autant plus intéressant car il permet d'approcher Castex sans s'y perdre. L'ouvrage ne manquera pas, par ailleurs, de captiver tous les officiers d'État-major d'aujourd'hui, à l'heure où ils doivent appréhender des réorganisations d’états-majors d’armée importantes . Au-delà, le monde civil y trouvera une méthode de réflexion utile pour mieux cerner les organisations de leurs structures.
Le contre-amiral DAVELUY, 1863-1939 fait incontestablement partie des grands marins et écrivains maritimes français, de réputation mondiale. Inventeur du périscope dans les années 1890 avec son camarade Violette, créateur de l’aéronautique navale en 1910, commandant des unités françaises en Asie à la recherche de l’Emden en 1914, chef d’état-major de l’armée navale en 1916, il a surtout beaucoup écrit, se plaçant dès 1900 aux avant-postes du retour de la marine française à sa vocation guerrière après les errements de la « Jeune école ».