Les carnets du tantrisme n°9 : La joie de vivre de Robert BLANCHARD
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La joie de vivre n’est pas un bonheur spontané qui viendrait de l’accumulation des biens divers. Elle nous est donnée avec la vie qui contient tous ses ingrédients.
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La joie de vivre n’est pas un bonheur spontané qui viendrait de l’accumulation des biens divers. Elle nous est donnée avec la vie qui contient tous ses ingrédients. Chaque fonction du corps et chaque fonction de l’esprit ne s’accompagnent-elle pas d’un plaisir ? Nous sommes construits pour être heureux. Mais il y a un mode d’emploi, que le tantrisme nous enseigne.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
Entre ceux « qui croient au ciel » et « ceux qui n’y croient pas », nombre de malentendus et de controverses pourraient bien provenir non seulement de l’ignorance ou de l’indifférence, mais bien davantage encore de l’écart entre ce que l’on croit et ce que l’on sait. Or, cet écart va croissant en raison de l’évolution des connaissances face à l’immutabilité relative des doctrines religieuses, pour la plupart fondées sur des paradigmes obsolètes. Avant d’envisager pourquoi et comment croire en Dieu, il conviendrait donc d’analyser de façon critique les présupposés scientifiques, anthropologiques, métaphysiques qui ont présidé à l’élaboration du christianisme notamment, et de les confronter aux connaissances actuelles.
Dans les théories scientifiques contemporaines, deux notions donnent lieu à des polémiques soutenues. La première, celle de Réalité, est entièrement bouleversée par la Physique Quantique. La seconde, la Conscience, a fait dans les Sciences une révolution complète : de propriété rare et dévolue à la seule espèce humaine, elle est devenue la condition de toute adaptation pour les différentes espèces vivantes et de toute connaissance pour les hommes.
Ce XIIIème carnet aborde de front la mystique tantrique par la théorie du Spanda, ou de la vibration. Il montre que, si dans l’univers tout est mouvement, ce qui est une description relevant de la Physique, l’origine de ce mouvement et sa signification sont données par le Shivaïsme non dualiste. La vibration devient alors la manifestation générale de Shiva en sa création, y compris dans la Conscience.
Le désir de s’adresser à ceux qui vivent dans le monde de l’athéisme, qui a longtemps été le mien, sera présent dans le livre Le Temps de la Passion. C’est également pour eux que fut écrit Le Temps de Pentecôte.
Un célèbre éditeur parisien disparait en partant sur les races d’une femme écrivain. C’est le point de départ d’une quête irraisonnée de personnages qui se croisent et qui défient le temps. Mythes, légendes, traditions et fiction se côtoient dans ce roman aux multiples facettes.
Cette très célèbre invention de la pensée asiatique soutient une théorie parfaite de la connaissance, au modèle des sciences occidentales. Le troisième il est une fonction positive de l’imaginaire, apte à connaître des choses non scientifiques, le mystique, l’émotionnel, l’esthétique, le religieux, le merveilleux, tout ce que Kant résumait dans les mots : Dieu, le monde, l’homme.
Pour les amis du Christ et pour tous ceux qui s’intéressent à ses proches, les révélations faites à l’ancienne petite bergère allemande devenue religieuse augustinienne, Anne-Catherine Emmerich (1774-1824) sont une source d’informations considérable, même si elle n’a fréquenté l’école primaire que quatre mois.
Ce livre est l’œuvre du père Pierre Bilard qui s’est mis au service des personnes détenues comme aumônier catholique à la maison d’arrêt de Dijon pendant 13 ans, jusqu’à ce qu’il soit atteint par la limite d’âge. Ses qualités d’homme de Dieu et d’homme de lettres l’ont conduit à entretenir un abondant courrier avec les prisonniers. C’est l’ensemble de ces témoignages écrits qu’il nous rapporte dans cet ouvrage avec beaucoup de simplicité, sans commentaires excessifs mais avec une grande vérité, laissant au lecteur la liberté de juger de la pertinence de ces témoignages. Ce livre confirme qu’en prison la quête spirituelle est très présente et suscite souvent l’admiration.
Il y a 18 milliards d’année « La matière physique » n’existait pas encore. Seul le vide, infini et obscur était présent dans le Cosmos où en réalité d’innombrables champs d’énergies électriques se côtoyaient dans l’invisible. Un « jour » ces énergies cosmiques commencèrent à se rassembler peu à peu et formèrent en 1 siècle d’immenses piles électriques de 1 à 2 milliards de volts. Celles-ci se déchargèrent en cascade dans l’infini et engendrèrent les milliards d’étoiles du Cosmos. Une grande partie de ces étoiles se refroidirent pour devenir les planètes du Cosmos. Il existe actuellement dans le Cosmos 433 planètes qui possèdent une atmosphère et un écosystème à peu près identiques à la Terre.